Nombre de spools d’un job est fixé globalement par la valeur système QMAXSPLF. Elle est par défaut à 9999 et le maximum 999999 sont changement ne nécessite pas d’IPL.
Il est possible que pour un job cette valeur soit insuffisante pour un asynchrone par exemple qui est chargé de faire de l’impression.
Vous recevrez le message CPF4167
Vous pouvez augmenter cette limite en utilisant une variable d’environnement QIBM_SP_MAXSPLF
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-04-14 06:42:392023-04-14 14:19:45Nombre maximum de spools par JOB
WITH dbmon1 (QQRID, total1) AS (
SELECT QQRID,
COUNT(*)
FROM votrebib.QZGxxxxxx << monitor 1
GROUP BY QQRID
),
dbmon2 (QQRID, total2) AS (
SELECT QQRID,
COUNT(*)
FROM votrebib.QZGyyyyyyy << monitor 2
GROUP BY QQRID
)
SELECT dbmon1.QQRID,
dbmon1.total1,
dbmon2.total2
FROM dbmon1
JOIN dbmon2
ON dbmon1.QQRID = dbmon2.QQRID
En temps d’exécution
WITH dbmon1 (QQRID, total1) AS (
SELECT QQRID,
sum(QQETIM - QQsTIM )
FROM votrebib.QZGxxxxxxx << monitor 1
GROUP BY QQRID
),
dbmon2 (QQRID, total2) AS (
SELECT QQRID,
sum(QQETIM - QQsTIM )
FROM votrebib.QZGyyyyyyyy << monitor 2
GROUP BY QQRID
)
SELECT dbmon1.QQRID,
dbmon1.total1,
dbmon2.total2
FROM dbmon1
JOIN dbmon2
ON dbmon1.QQRID = dbmon2.QQRID
Après il vous faudra enquêter sur les différences que vous avez constaté
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-04-13 07:08:342023-04-13 07:08:36Comparer 2 monitors de base de données
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-04-11 16:43:202023-04-11 22:09:25TR2 pour la V7R5
Si vous n’administré pas au quotidien votre base de données, mais que vous devez intervenir ponctuellement, Vous avez un lien qui référence les principales opérations à faire et qui peut vous aider
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-04-10 09:05:432023-04-10 09:05:44Database Information Finder
Une fois le service configuré et l’extension installée, il nous faut régler quelques options importantes.
Nous allons retrouver des options à deux endroits :
Au niveau de la connexion
Au niveau des options de l’extension :
Déboguer avec VSCode
Il y a plusieurs possibilités dans l’éditeur, nous en choisissons une.
Ouvrez le source du programme à déboguer (on parlera ILE plus tard) :
L’outil vous demande votre mot de passe sur l’IBM i pour valider votre profil, et prompte ensuite la commande d’appel du programme :
Vous basculez alors dans l’affichage du déboguer :
Voyons les outils :
affichage des variables
Affiche les variables locales (quand vous êtes dans une procédure, vous ne voyez que les variables locales de la procédures, pas les variables globales du module).
Vous pouvez copier les valeurs, les modifier, ajouter un guet
Guet (watch)
Affiche, et permet la saisie, de guets de variables.
Pile d’appel
Permet de voir la procédure en cours d’exécution :
L’ordre d’affiche est : procédure / module / programme (de service)
Points d’arrêt
Liste les points d’arrêt, permet la création de nouveaux points et la suppression :
Contrôle de l’avancement
Permet d’avancer dans le débogage :
Avancer jusqu’au prochain point d’arrêt (équivalent F12 dans STRDBG)
Avancer et entrer en débogage dans la procédure ou programme appelé (équivalent F22 dans STRDBG)
Continuer jusqu’à ressortir de la procédure en cours
restart : non supporté pour l’IBM i
Arrêt du débogage (équivalent F3 dans STRDBG)
Editeur
Identification visuelle de la ligne en cours de débogage (non encore exécutée) :
Point d’arrêt
Pour ajouter un point d’arrêt :
Soit clique gauche dans la marge
Le débogueur s’arrête sur le point d’arrêt au prochain passage.
Les variables modifiées par la dernière instruction sont mises en évidence.
Point d’arrêt conditionné
Commencer par définir le point d’arrêt, puis clique droit -> Editer sur le point :
Puis indiquer votre condition avec la même syntaxe qu’avec STRDBG :
On ne s’arrêtera que lorsque la condition sera vraie !
Par rapport à RDi, le debug de VSCode ne permet pas, pour le moment, les points d’entrée de service ! Il faut donc que VSCode déclenche lui même l’exécution du programme à déboguer ! Gageons la situation évoluera très vite …
Une fois que vous êtes habitués au débogage, regardez les options de couverture de code …
Elle se base également sur la fonction table COMPARE_FILE
Sélectionner le premier fichier à comparer
sélectionner le deuxième fichier à comparer
Choisissez l’option uniquement les datas
Vous pouvez exporter votre résultat au format csv par exemple
Troisième solution
Un petit script maison
select ‘a except b’ , a.* from fady/clients a except select ‘a except b’ , b.* from fady/clientssv b union all select ‘c except d’ , c.* from fady/clientssv c except select ‘c except d’ , d.* from fady/clients d
Conclusion :
A vous de choisir la solution qui vous convient
Attention cependant au COMPARE_FILE qui se base sur le RRN et un enregistrement recrée à l’identique avec un rrn différent sera considéré comme nouveau !
Merci a ceux qui m’ont aidé pour cette publication
Vous savez peut-être déjà comment créer un point d’arrêt conditionné en Débogage RPG 5250 (commande STRDBG).
Le mode Débogage RDi offre la même possibilité.
Cette fonctionnalité est particulièrement intéressante pour réaliser un Débogage ciblé dans un programme batch qui traite un gros volume de données.
Nous allons le vérifier avec l’exemple ci-dessous :
Considérons une table CLIENTS contenant les colonnes et lignes suivantes :
Le programme PROGTEST lit la tables CLIENTS et exécute la procédure traitement_CLIENTS pour chacun des clients de la table :
Nous allons utiliser le Débogage pour créer un point d’arrêt conditionné sur la ligne d’exécution de la procédure traitement_CLIENTS, afin de pouvoir déboguer ce traitement uniquement pour le client dont le code est 69002.
Point d’arrêt conditionné en Débogage 5250
On crée un point d’arrêt conditionné par une commande BREAK n°ligne WHEN condition
La condition peut utiliser toutes les variables connues du programme, ici le code client = variable CODE
On exécute le programme :
Point d’arrêt juste avant le traitement du client souhaité :
Si on demande la reprise par F12, le programme se poursuit et se termine sans autre point d’arrêt
Point d’arrêt conditionné en Débogage RDi
On crée notre point d’entrée de service pour le programme PROGTEST
On ouvre la perspective Débogage sous RDi puis on exécute le programme en 5250 :
On crée tout d’abord notre point d’arrêt :
Clic droit sur le point d’arrêt + Editer le point d’arrêt :
La condition d’arrêt doit être indiquée sur la ligne « Expression » :
On reprend ensuite l’exécution du programme :
Le programme s’arrête sur notre point d’arrêt pour le client 69002 :
Il existe un comcept dans SQL sur les tables qui s’appelle les zones cachées. Je vais essayer de vous expliquer ce que c’est.
Exemple :
CREATE TABLE SALAR ( NUMERO CHAR(6) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT » , NOM CHAR(20) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT » , PRENOM CHAR(30) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT » , SALAIRE DECIMAL(5, 0) NOT NULL DEFAULT 0 IMPLICITLY HIDDEN )
Pour faire simple ces des zones qui n’apparaîtront pas si vous faites un select *
Il y plusieurs buts à cette démarche , caché sommairement des informations ou simplifier des requêtes en cachant des informations utiles et enfin les zones complétables automatiquement les bien connues date, heure et utilisateur de modification. Maintenant que vous savez ce que c’est je vais vous expliquer l’impact sur vos développements existants. D’abord bien sûr si vous avez des select * dans vos développements ça produira une erreur si vous respectez les règles de développement vous ne devriez pas en avoir. Ensuite sur les insert , par défaut il ne connait que les zones non cachées vous devrez indiquer explicitement les zones cachées que vous voulez alimenter.
Conclusion Ça peut être intéressant dans certains cas pour éviter une vue qui aurait juste pour fonction de limiter les zones. Attention toutefois, si voulez utiliser cette possibilité toutes les zones sont visibles dans les invites Sql …
Et enfin une zone ajoutée même en hidden change le niveau de format puisqu’il est calculé sur l’ensemble des zones.
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-03-15 10:00:392023-03-21 07:01:33Les zones HIDDEN en SQL
L’utilisateur doit avoir un répertoire initial dans l’IFS. (C’est lui qui sera indiqué par le ~ dans les commandes ci-dessous) Produits Open Sources : OpenSSL SFTP
S’assurer que le service SSH est démarré :
Démarrage du service SSH
S’assurer que le service SSH est démarré :
WRKTCPSTS OPTION(*CNN)
S’il n’est pas démarré, via 5250 :
STRTCPSVR SERVER(*SSHD)
Génération des clefs SSH
En 5250 (QSH ou QP2TERM) :
CALL PGM(QP2TERM)
S’il n’exsite pas, on crée le répertoire .ssh, via la commande mkdir, dans le répertoire par défaut de l’utilisateur, on lui attribue les droits de lecture, écriture et execution via la commande chmod, puis on execute la commande ssh-keygen :
Generating public/private rsa key pair.
Your identification has been saved in /home/exploit/.ssh/sftp_key.
Your public key has been saved in /home/exploit/.ssh/sftp_key.pub.
The key fingerprint is:
SHA256:pDxRGtx4YBKbsHTVLpDg8OXyF5VcSBKgfpX4eGXqaGY
The key's randomart image is:
+---[RSA 2048]----+
|. +.**BO++. |
| = Bo*oBB |
| * =.*o+ |
| . o =.O. |
| . + O.S |
| . = . |
| E . |
| + |
| |
+----[SHA256]-----+
Informations supplémentaires :
Options
-t Type de clef créée.
-b Nombres de bits dans la clef créée.
-f Fichier de sortie.
-N Phrase de chiffrement.
Mise en place de la configuration des clefs
Côté client
ATTENTION aux droits des fichiers contenus dans le dossier /.ssh qui ne doit contenir, en principe, que les clefs privées et le fichier config (qui est optionnel).
Côté serveur
S’il n’exsite pas, on crée le répertoire .ssh sur le serveur, via la commande mkdir, dans le répertoire par défaut de l’utilisateur, on lui attribue les droits de lecture, écriture et execution via la commande chmod :
mkdir ~/.ssh
chmod 700 ~/.ssh
Déposer la clef publique sur le serveur distant puis, ajouter la clef publique au fichier authorized_keys :
cat [sshKey.pub] >> authorized_keys
Puis vérifier le propriétaire et les droits du fichier authorized_keys: