https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2024-01-18 16:59:252024-01-30 17:00:12Requêtes SQL dans ACS extraites de Navigator for i
Il est possible d’effectuer un contrôle sur les paramètres passés dans une commande avant que le programme de traitement ne soit exécuté et d’envoyer un message de diagnostic au sein même de la commande en cas d’erreur.
Pour ajouter des contrôles sur les paramètres d’une commande (en plus des contrôles inclus dans celle-ci), on peut lui affecter un programme de contrôle de validité créé en amont.
Ce programme recevra tous les paramètres de la commande et on pourra y réaliser divers contrôles/tests avant l’exécution du programme de traitement. Il permet également d’envoyer des messages de diagnostic pour que l’utilisateur puisse ajuster la saisie de ses paramètres.
Pour assigner le programme de contrôle de validité à la commande, on indique son nom dans le paramètre VLDCKR de la commande CRTCMD (lors de la compilation de la commande).
Cas d’exemple
Prenons le cas où nous souhaitons créer une commande simple qui permettrait de récupérer une extraction CSV des ventes réalisées par un utilisateur sur une année donnée.
On souhaitera donc vérifier deux choses :
L’utilisateur doit exister sur la machine
L’année choisie doit être comprise dans une période de 10 ans avant l’année en cours
On commence donc par créer la commande GETUSRVEN qui recevra ces deux paramètres :
Une fois la commande prête on peut préparer le programme de contrôle de validité. Pour cet exemple on créera un programme VGETUSRVEN (CLLE) :
Dans ce programme, on récupère les différents paramètres de la commande GETUSRVEN et la date actuelle en décimal.
On procède ensuite aux contrôles :
De l’utilisateur
Ici on utilise une suite de requêtes SQL pour vérifier que l’utilisateur existe sur la machine.
En cas d’absence d’utilisateur correspondant au paramètre de notre commande, on utilise la commande SNDPGMMSG (MSGTYPE *DIAG) avec le code message CPD0006 (conçu pour être utilisé dans des programmes de contrôle de validité).
On peut indiquer le message de notre choix dans le paramètre MSGDATA, mais attention, les quatre premiers caractères étant réservés il faut commencer son message par ‘0000’.
Une fois le message de diagnostic indiqué on réutilise la commande SNDPGMMSG (MSGTYPE *ESCAPE) avec le code message CPF0002 ce qui permettra d’indiquer à l’appelant que des erreurs ont été trouvées et de suspendre l’exécution de la commande.
De l’année choisie
On applique ici la même méthode que précédemment, en vérifiant que l’année n’est pas antérieure de 10 ans par rapport à l’année en cours, et qu’elle n’est pas supérieure.
On peut maintenant compiler le programme VGETUSRVEN (commande CRTBNDCL).
Enfin on compile la commande GETUSRVEN en spécifiant VGETUSRVEN dans le paramètre VLDCKR de la commande CRTCMD.
On peut maintenant essayer la commande, et constater les messages de diagnostic en cas de mauvaise saisie :
Il est également possible de voir quel programme de contrôle de validité est utilisé pour une commande (s’il y en a un) avec la commande DSPCMD CMD(nom de la commande) :
/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.png00Luigi Aubry-Pouget/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngLuigi Aubry-Pouget2024-01-18 11:36:322024-01-18 12:22:27Les programmes de contrôle de validité sur IBM i
Vous cherchez un client SSH et vous avez commencé à toucher les limites de PUTTY ?
Nous en avons testé plusieurs et nous avons bien aimé smarTTY
L’interface est simple et épurée, vous avez les icônes avec les sites que vous avez définis
Vous pouvez utiliser une connexion existante ou définir une nouvelle connexion il vous demandera les éléments classiques, vous pourrez ensuite passer à un échange de clés pour vous identifier.
Vous avez le choix entre 2 interfaces, j’ai préféré l’interface plus classique, les plus jeunes préféreront le « SMART »
Dans l’interface SMART vous pouvez par exemple éditer directement les fichiers …
Vous pouvez alors saisir vos commandes et travailler comme sur n’importe quelle interface .
Le petit plus que nous avons aimé
C’est le bouton SCP qui est une alternative à Filezilla pour les échanges simples
Vous choisissez le fichier à télécharger
Vous avez une fenêtre qui apparait pour indiquer l’avancement du téléchargement Vous pouvez suspendre, fermer la fenêtre
Voila , comme on dit à Gaia c’est simple et efficace, vous pouvez le tester
Remarque :
Pour l’intégrer dans ACS vous devez modifier le fichier AcsConfig.properties
Attention de vérifier que vous utiliser bien le bon fichier de configuration plus d’informations ici
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2024-01-08 11:47:272024-01-16 12:01:32SSH Alternative à PUTTY
Vous voulez savoir ou vous êtes positionné dans votre écran , pour appeler un programme liste par exemple.
Vous avez plusieurs solutions on va en présenter 4 ici
1) INFDS sur le fichier écran (DSPF)
Permet d’avoir la ligne et la position du curseur sur votre écran dans votre programme Dcl-F votre-ecran WORKSTN INFDS(FICHIERDS) … dcl-ds fichierDS; ligne INT(3) POS(370); // curseur : ligne colonne INT(3) POS(371); // curseur : colonne end-ds; .. if ligne = 4 and colonne = 22; … endif;
Avantage, tout ce passe dans le programme rien à faire dans l’écran
Nous vous conseillons d’utiliser un include pour normaliser l’utilisation de cette data structure
2) Nom de la zone active
dans votre écran A RTNCSRLOC(&W_FMT &W_ZON) A CF04(04) A CA12(12) A CF10(10) A W_FMT 10A H TEXT(‘Nom du format’) A W_ZON 10A H TEXT(‘Nom de la Zone’) dans votre programme
if W_FMT = ‘FMT01’ and C1 = W_ZON = ‘NUMCLI’; … endif;
Avantage, vous avez directement le nom de la zone dans la quelle vous vous trouvez
3) Positionnement du curseur sur souris
Vous devez déclarer dans les dspf les zones qui contiendront les informations dans votre écran
A RTNCSRLOC(MOUSE &L1 &C1 &L2 &C2) A RÉCUPÉRATION DU CURSEUR A L1 3S 0H A C1 3S 0H A L2 3S 0H A C2 3S 0H dans votre programme if C1 = 4 and C1 = 22; … endif;
Avantage, Vous avez un exemple ici https://www.gaia.fr/utilisation-de-la-souris-dans-un-dspf/
c’est la seule solution pour gérer la souris
4) Divers sur sous fichier
Il y a un mot clé méconnu qui permet de connaitre le rang du SFL sans faire de readc dans l’écran A SFLCSRRRN(&R1)) A* RÉCUPÉRATION DU CURSEUR A R1 3S 0H dans votre programme R1 CHAIN SFL01 ;
Avantage , sur les sélections simples c’est une alternative au readc
Remarque :
Vous avez sans doute d’autres solutions, mais celles ci sont simples et efficaces Vous avez des mots clés pour les zones liés au aide, qui ne sont pas traités ici, regardez plutôt la, https://www.gaia.fr/ajouter-de-laide-a-vos-dspf/
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2024-01-07 12:10:012024-01-08 08:58:15Pour se repérer dans un écran DSPF
Vous pouvez utiliser le catalogue base de données pour identifier vos informations sensibles
Pour cela vous allez utiliser les vues syscolumns de QSYS2 (norme IBMi) ou sqlcolumns de SYSIBM (norme DB2)
Vous pouvez rechercher toutes les zones qui contiennent (email, mail, RIB, IBAN, ETC..)
Dans notre exemple , on recherchera les zones IBAN dans toutes les tables en analysant : Nom de zone SQL Nom de zone IBMI Entête de colonne Texte de colonne
Sans différentiation de majuscule minuscule
Et on sortira la liste des droits public sur ces objets
— liste des fichiers avec une zone IBAN
— Avec un IBAN
SELECT COLUMN_NAME AS Zone,
IFNULL(COLUMN_HEADING, ' ') AS Entete,
IFNULL(COLUMN_TEXT, ' ') AS Text,
TABLE_SCHEMA AS bibliotheque,
TABLE_NAME AS fichier,
(SELECT OBJECT_AUTHORITY
FROM QSYS2.OBJECT_PRIVILEGES
WHERE SYSTEM_OBJECT_SCHEMA = TABLE_SCHEMA
AND OBJECT_NAME = TABLE_NAME
AND OBJECT_TYPE = '*FILE'
FETCH FIRST ROW ONLY) AS DROIT_public
FROM qsys2.syscolumns
WHERE COLUMN_NAME LIKE ('%IBAN%')
OR SYSTEM_COLUMN_NAME LIKE ('%IBAN%')
OR UCASE(COLUMN_HEADING) LIKE ('%IBAN%')
OR UCASE(COLUMN_TEXT) LIKE ('%IBAN%');
Conclusion :
Ca veut dire que toutes les tables avec *public à *USE sont visualisables par tous les utilisateurs de la machine.
Pour sécuriser vous devez le faire sur les fichiers Soit – Mettre en place des droits sur l’objet, attention l’utilisateur peut avoir droit à ce fichier quand il est dans l’application. Soit – Sécuriser un service d’accès par exemple ici ODBC, pour éviter un accès remote, (Fonctions usage ou programme d’exit sont les meilleurs solutions)
Bien sur si vous créez de nouvelle table vous pouvez crypter ces zones, ce qui la rendrait illisible à un utilisateur qui ne connait pas la clé