, , Utilisez DRDA sur #IBMi

Dans ACS vous avez des exemples comme si dessous

Vous indiquer le nom de votre base de données distantes et vous exécuter votre requête sur le système distant.

derrière cette requête ce cache un protocole nommé DRDA , comme ODBC il permet de ce connecté à une base de donnée distante.

Nous allons voir comment le mettre en œuvre .

sur le système source
Vous devez créer une entrée pour la base de données

le plus simple c’est de passer par la commande WRBRDBDIRE , vous ajouterez une connexion IP à votre système distant.

Sur le système cible
Vous devez paramétrer le service par la commande CHGDDMTCPA , il faut avoir le même mode d’authentification que la base de données distante, par défaut user + mot de passe
vous devez démarrer le service STRTCPSVR *DDM

voila c’est tout
vous pouvez à partir de votre système source faire un connect SQL sur votre système cible si vous avez un mot de passe.

Si vous ne voulez pas renseigner de mot de passe comme dans les exemples ACS vous allez devoir utiliser sur votre système source les postes poste d’authentification serveur.
Pour les ajouter vous avez la commande ADDSVRAUTE, vous devrez également avoir mis la valeur système QRETSVRSEC à ‘1’ pour que vos mots de passe soit enregistrés

il est conseillé d’ajouter un poste générique, par exemple QDDMDRDASERVER en indiquant un user et un mot de passe du système cible !

il n’y a pas de commande WRKSRVAUTE mais vous pouvez en trouver une ici https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/GTOOLS/

Exemple :

A partir de ce moment la mot de passe sera passé directement.

Vous pouvez facilement, par des services sql comparer 2 partitions (valeurs systèmes, fonctions , etc …)

Remarques

Les noms doivent être en majuscule
il est conseillé de mettre un programme d’exit de contrôle
Attention, vous pouvez vous connecter avec un utilisateur *disabled
Les fichier DDM sur IP s’appuient sur cette technologie

, Utilisez NFS sur votre IBMi

NFS est un protocole de partage de fichier issu du monde Unix, SMB est celui de windows c’est celui qui est utilisé dans NETSERVER.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Network_File_System

Nous allons voir comment l’utiliser NFS sur l’IBMi qui peut être client et serveur par exemple pour partager un fichier d’installation ou de paramétrage.

Sur le serveur

Vous devez démarrer le serveur.

STRNFSSVR SERVER(*ALL)

Vous devez créer le répertoire à exporter

CRTDIR (‘/SHARE_NFS’)

Vous devez monter l’export

Paramétrage dans exports vous avez un fichier

EDTF STMF(‘/etc/exports’)
/SHARE_NFS/URANUS -ro

pour exporter

EXPORTFS

Si tout se passe bien vous aurez ce message :

Demande d’exportation exécutée.
1 postes exportés, 0 postes non exportés.

Vous pouvez être obligé de rajouter des droits sur votre partage :

CHGNFSEXP OPTIONS(‘-I -O RW=,ANON=0’) DIR(‘/SHARE_NFS/URANUS’)

Votre répertoire est maintenant exporté.

Sur le client

Vous devez démarrer le même serveur.

STRNFSSVR SERVER(*ALL)

Vous devez créer un répertoire pour le montage

MKDIR DIR(‘/MNT/NEPTUNE’)

Vous devez faire le montage

MOUNT TYPE(*NFS) MFS(‘NEPTUNE:/SHARE_NFS/URANUS’)
MNTOVRDIR(‘/MNT/NEPTUNE’)

Si tout va bien vous aurez ce message :


Système de fichiers monté.

Vous pouvez contrôler par :

DSPMFSINF OBJ(‘/MNT/NEPTUNE’)

Objet . . . . . . . . . . . . : /MNT/NEPTUNE

Type de système de fichiers . : Syst. de fichiers réseau (NFS)

Taille de bloc . . . . . . . . : 32768
Nombre total de blocs . . . . : 23303175
Blocs libres . . . . . . . . . : 5182808
Nombre maximal de liens à des
objets . . . . . . . . . . . : 32767
Nombre maximal de liens à un
répertoire . . . . . . . . . : 1000000
Longueur maximale d’un
composant de nom de chemin . : 255
Longueur maximale de nom de
chemin . . . . . . . . . . . : Pas de maximum

Pour accéder au fichier par exemple :

wrklnk (‘/mnt/NEPTUNE/*’)

Répertoire . . . . : /mnt/NEPTUNE

Vous pourrez voir votre fichier par 5

Remarque :

Vous pouvez l’utiliser que en serveur ou en client avec un système distant sous Linux le plus souvent.

C’est un protocole très connu par les administrateurs Unix.

Pour échanger entre IBMi, vous pouvez également utiliser QFileSvr.400

, , Nommer un groupe d’activation pour des programmes RPGLE

Vous voulez nommer votre groupe d’activation pour toute une application
donc sans indiquer d’option dans le source qui seraient prioritaires par rapport à votre commande de compile

On va parler ici des BIND c’est l’opération que fait une commande pour compiler le module et l’assembler pour en faire un programme

Pour les sources RPGLE

C’est simple vous avez un paramètre

CRTBNDRPG PGM(GDATA/AAACTGRP)
SRCFILE(GDATA/QRPGLESRC)
SRCMBR(AAACTGRP)
DFTACTGRP(NO) ACTGRP(GAIA) <======== c’est ici

Pour les SQLRPGLE

Vous n’avez pas le paramètre ACTGRP dans la commande CRTSQLRPGI

il faut donc passer par les options de compile c’est le paramètre COMPILEOPT

CRTSQLRPGI OBJ(GDATA/AAACTGRP2)
SRCFILE(GDATA/QRPGLESRC)
SRCMBR(AAACTGRP2)
OBJTYPE(PGM) REPLACE(NO)
COMPILEOPT(‘DFTACTGRP(*NO) ACTGRP(GAIA)’) <====== comme ceci

On est obligé de mettre les 2 paramètres même si DFTACTGRP(*NO) dans le source ????

Attention, il n’y a pas de contrôle de syntaxe sur le paramètre

Remarque

Bien sur mes informations concernent les binds, pour l’assemblage de modules l’option est dans la commande CRTPGM directement

, , , Connaitre la bibliothèque du programme en cours

Vous voulez connaitre la bibliothèque d’un programme en cours d’exécution, pour ajouter cette bibliothèque par exemple, pour contextualiser un exit programme, un watcher, un trigger ou pour limiter un environnement prod, versus dev.
Le tout, sans harcoder une bibliothèque qui figera votre code et vos environnements.

Voici 2 exemples

En RPGLE

dcl-ds *N PSDS ;                  
  bibli_du_pgm CHAR(10) POS(81);  
  nom_du_pgm CHAR(10) POS(1);     
 End-ds ;                          
dcl-s present ind ;
// on tente d'ajouter la bibliothèque
 exec sql                                                                  
 call qcmdexc('Addlible ' concat :bibli_du_pgm concat ' *FIRST') ;         
if sqlcode = 0 ;
  present = *on ;
endif ;
// votre traitement ici
// on enlève si on a ajouté 
if present = *on ;
 exec sql                                                                  
 call qcmdexc('Rmvlible ' concat :bibli_du_pgm ) ;         
endif ;

En CLLE

PGM                                                    
            DCL        VAR(&DATA) TYPE(*CHAR) LEN(80)  
            DCL        VAR(&LIB) TYPE(*CHAR) LEN(10)   
            DCL        VAR(&PGM) TYPE(*CHAR) LEN(10)   
            DCL        VAR(&TEMOIN) TYPE(*LGL)
 /* Paramétrage de l'appel */                          
            CHGVAR     VAR(%BIN(&DATA  1 4)) VALUE(80) 
            CHGVAR     VAR(%BIN(&DATA  5 4)) VALUE(80) 
            CHGVAR     VAR(%BIN(&DATA  9 4)) VALUE( 0) 
            CHGVAR     VAR(%BIN(&DATA 13 4)) VALUE( 0) 
 /* Appel de la procédure */                           
            CALLPRC    PRC('_MATPGMNM') PARM(&DATA)    
 /* Extraction des informations  */                    
            chgvar &pgm %SST(&DATA 51 10)              
            chgvar &lib %SST(&DATA 19 10) 
/* ajout de la bibliothèque */
ADDLIBLE &LIB *FIRST
monmsg cpf2103 exec(do)
chgvar &temoin '1'
enddo 
/* Votre traitement ici */
/* on enlève si on a ajouté */
if cond(*not &temoin) then(do)
RMVLIBLE &LIB
enddo          
ENDPGM          

Remarque :

On a mis également le programme en cours dans les exemples

On a mis le code pour enlever la bibliothèque après le traitement, uniquement si c’est notre programme qui l’a ajouté.


En RPGLE si vous avez un fichier vous devrez déclarer votre fichier en USROPN et ouvrir le fichier par un OPEN, après avoir ajouté la bibliothèque

, , Fichier SQLPRE de QTEMP

Vous avez des sources SQLRPGLE qui sont différents des tailles par défaut de 100

Vous pouvez avoir ce message à la compile RNF0733
C’est le fichier, QTEMP/QSQLPRE de pré-compilation qui est trop court QTEMP/QSQLPRE
Ce fichier est utilisé dans les commandes CRTBNDRPG , CRTRPGMOD, ou CRTSQLRPGI

Vous avez une variable d’environnement QIBM_RPG_PPSRCFILE_LENGTH qui permet de changer la valeur par défaut qui est de 112.
Elle doit avoir la longueur de votre donnée + 12
Exemple
SRCDTA = 140
Vous devrez indiquer 152

Pour ajouter la variable :

ADDENVVAR ENVVAR(QIBM_RPG_PPSRCFILE_LENGTH.)
VALUE(152)
LEVEL(*SYS)

*SYS pour l’ajouter à tout le système

Pour ne savoir plus ici

https://www.ibm.com/support/pages/node/6857461

, , Trigger sur insert

Vous voulez créer un trigger qui vous indique la création d’un enregistrement dans un fichier par exemple pour superviser, dans notre exemple on enverra un email , il est conseillé de faire un fichier de paramétrage

En CLLE soit le programme Alerte_msg


             PGM        PARM(&BUFFER &BUFLEN)             
/* Paramètres */                                          
             DCL        VAR(&BUFFER) TYPE(*CHAR) LEN(200) 
             DCL        VAR(&BUFLEN) TYPE(*CHAR) LEN(4)   
/* Variables de travail */                                
             DCL        VAR(&USR) TYPE(*CHAR) LEN(10)     
             DCL        VAR(&JOB) TYPE(*CHAR) LEN(10)     
             DCL        VAR(&NBR) TYPE(*CHAR) LEN(06)
             DCL        VAR(&EMAIL) TYPE(*CHAR) LEN(50)
             DCL        VAR(&SUJET) TYPE(*CHAR) LEN(100)
             DCL        VAR(&NOTES) TYPE(*CHAR) LEN(200)
             RTVJOBA    JOB(&JOB) USER(&USR) NBR(&NBR)    
             CHGVAR     VAR(&EMAIL) VALUE('votre@mail.fr')
             CHGVAR     VAR(&SUJET) VALUE('Enregistrement crée')
             CHGVAR     VAR(&NOTES) VALUE('Job :' +
                          *BCAT &NBR *TCAT '/' *TCAT &USR *TCAT '/' +
                          *TCAT &USR)                                    
 SNDSMTPEMM RCP((&EMAIL)) SUBJECT(&SUJET) NOTE(&NOTES) +
             CONTENT(*HTML)            
  MONMSG     MSGID(CPF0000) EXEC(GOTO CMDLBL(ERREUR))
goto fin                                                           
/* Gestion des erreurs  */                                         
erreur:                                                            
             SNDUSRMSG  MSG('Envoi email impossible pour msgint ' +
                          *bcat &job *bcat &usr *bcat &nbr ) +     
                          MSGTYPE(*INFO)                           
fin:                                                               
ENDPGM 

Pour attacher votre programme et enregistrer votre trigger

 ADDPFTRG   FILE(&LIB/REP_VALID) TRGTIME(*AFTER)     
              TRGEVENT(*INSERT) PGM(&LIB/ALERT_MSG) 
              TRGLIB(&LIB) 

&lib sera le nom de votre bibliothèque

En SQL ca créera un programme CEE et ca l’associera au trigger

CREATE OR REPLACE TRIGGER ALERTE_MSG                                   
 AFTER  INSERT ON REP_VALID                                            
 REFERENCING NEW AS N                                                  
 FOR EACH ROW                                                          
 MODE DB2ROW                                                           
-- email destinataire                                                  
 BEGIN                                                                 
DECLARE W_EMAIL CHAR(50);                                              
DECLARE W_SUJET CHAR(100);                                             
DECLARE W_NOTES CHAR(200);                                             
DECLARE EXIT HANDLER FOR SQLSTATE '38501'                              
 RESIGNAL SQLSTATE '38501' SET MESSAGE_TEXT = 'ENVOI MAIL IMPOSSIBLE.';
SET W_NOTES = 'Job : ' concat trim(N.REPNBR)                  
concat '/' concat trim(N.REPUSER) concat '/' concat trim(N.REPJOB) ;
SET W_EMAIL = 'votre@email.fr' ;                 
SET W_SUJET = 'Enregistrement crée' ;   
CALL QCMDEXC('SNDSMTPEMM RCP((''' concat trim(w_email) concat           
''')) SUBJECT(''' concat trim(replace(w_sujet , '''', '"'))             
concat ''') NOTE('''                                                    
concat trim(replace(W_NOTES , '''' , '"')) concat''') CONTENT(*HTML)') ;
END;  

Remarques :

Dans les 2 cas si l’utilisateur n’est pas inscrit à la liste de distribution votre email ne sera pas envoyé
c’est plus simple de gérer l’erreur en CLP.
Si vous devez accéder aux données du buffer ca sera plus rapide et plus simple en SQL ici n.zone

C’est des triggers après , puisque l’information doit être écrite dans tous les cas .

, , Afficher plusieurs colonnes d’enregistrements dans un sous-fichier

Contexte

Un sous-fichier nous permet d’afficher un nombre de lignes qui est limité par la taille de l’écran.
Cette taille est définie dans le script source de l’écran par le paramètre SFLPAG.

On possède un fichier que l’on souhaite afficher et qui contient plus de 19 enregistrement. Il serait donc intéressant de l’afficher sur plusieurs colonnes.

Solution

Une petite modification du script source permet de créer un sous fichier qui contient plusieurs colonnes. Il faut donc indiquer le nombre total de données que l’on souhaite voir à l’écran dans SFLPAG ainsi que le nombre de caractère qui séparent deux colonnes

La maquette se présente ainsi, le paramètre de SFLLIN correspond à l’espace (en caractères) entre deux colonnes.

En exécutant le programme, on obtient :

, Prompt override program

Le programme de substitution d’invite (prompt override program) vous permet de pouvoir précharger les valeurs d’une commande afin de pouvoir modifier les paramètres existants. Comme les commandes CHGUSRPRF, CHGCMD etc…

Dans mon exemple, j’ai créé une commande CHGCLIENT afin de pouvoir modifier le libellé et le pays d’un client. Je veux que l’utilisateur saisisse le numéro du client et que ma commande récupère les valeurs actuelles. On est d’accord qu’il faudrait rajouter plus de contrôles mais c’est pour montrer le fonctionnement.

Tout d’abord il faut créer la commande en précisant le mot clé KEYPARM(*YES) sur les paramètres clé.

Ecrire ensuite le programme de récupération des données du client (CHGCLIENTO). Dans mon exemple c’est un programme RPG mais vous pouvez faire un programme CL.

Il doit recevoir en paramètres :
1. Le nom de la commande (alpha de 10)
2. Les paramètres clés (numéro client pour moi)
3. La suite des paramètres de la commande (LIBELLE et PAYS). Il faudra préciser la taille du paramètre en hexa en début de variable.

Ecrire le programme de traitement de la commande (CHGCLIENT).

Il ne vous restera plus qu’à créer votre commande en précisant le paramètre PMTOVRPGM

Exemple : CRTCMD CMD(CURLIB/CHGCLIENT) PGM(CURLIB/CHGCLIENT) TEXT(‘Modification client’) PMTOVRPGM(*CURLIB/CHGCLIENTO)

Au lancement de la commande, vous saisissez le numéro du client et les autres informations seront chargées.

, , Intégrer Windows dans vos applications 5250

Vous avez des possibilités en standard sur votre IBMi :
Pour générer du PDF
Pour générer du CSV
Pour Générer du TXT

Comment rendre efficace et intégrer ces fichiers sous WINDOWS ?

1 ) Le profil utilisateur propose en standard un répertoire par défaut, /home/votreuser.

Vous devez créer cette directory qui deviendra alors votre répertoire par défaut.
La prise en compte est à la prochaine connexion
Vous pouvez contrôler en faisant
==> WRKLNK

2 ) Sur l’ibmi vous devez monter un partage, s’il n’existe pas encore sur le répertoire /home

3 ) Sur votre PC il est conseillé de monter un partage windows sur /home/votreuser chez nous lettre P.

4 ) Sur votre PC vous devrez vérifier que vos associations d’extension de fichier sont bien rattachées au bon logiciel

5 ) Vous devez ensuite générer le fichier

Exemple :

Génération d’un csv par les commandes de l’IBMI

CPYTOIMPF FROMFILE(QGPL/QAUOOPT)
TOSTMF(Liste_Options_PDM.csv)
MBROPT(REPLACE) STMFCCSID(PCASCII)
RCDDLM(CRLF) STRDLM(NONE) FLDDLM(‘;’)
ADDCOLNAM(*SQL)

Le fichier produit s’appelle Liste_Options_PDM.csv

Si vous allez dans le partage windows vous le voyez

Si on voulait boucler la boucle il faudrait pouvoir le lancer directement à partir de l’interface 5250

Vous disposez de 2 commandes coté IBMi pour faire

La première (STRPCO) va démarrer l’intégrateur qui va vous permettre de passer des commmandes sur votre pc

La deuxième (STRPCCMD) va exécuter la commande windows demandée

Ci joint un petit scripte pour enchainer tout ca ici c’est un programme indépendant, mais vous pouvez facilement le glisser dans un pgm de services

Je vous ai joint une commande pour habiller, si vous voulez tester

Le programme

**free
 // Paramètres
DCL-PI *N;
  P_Commande         CHAR(1023);  // IN / COMMANDE À EXECUTER
  P_Status           CHAR(02);    // OUT/ STATUS KO ET OK
END-PI;
if %parms() < 2 ;
dsply 'Ce programme nécessite 2 paramétres' ;
  *inlr = *on ;
  return ;
endif ;
  // démarrage de PCO
  exec sql call qsys2.qcmdexc('STRPCO') ;
  // démarrage de explorer
  exec sql
  call qsys2.qcmdexc('STRPCCMD PCCMD(''' concat :P_Commande  concat ''') PAUSE(*NO)') ;
  if sqlcode = 0 ;
    P_Status = 'OK'  ;
  else ;
    P_Status = 'KO'  ;
  endif ;
// Fin de programme
*inlr = *on ;

La commande

             CMD        PROMPT('Exécution commande windows')
             PARM       KWD(COMMANDE) TYPE(*CHAR) LEN(1023) +
                          DFT(EXPLORER) PROMPT('Commande windows')
             PARM       KWD(STATUS) TYPE(*CHAR) LEN(2) +
                          PMTCTL(*PMTRQS) PROMPT('Status sur +
                          l''exécution')

Exemple :

On demande l’ouverture du fichier généré

==>EXECWIND COMMANDE(‘P:LISTE_DES_OPTIONS_DE_PDM.CSV’)
P: lettre de partage
.CSV associé à excel

Conclusion :

Simple mais efficace
Ne pas oublier de faire du ménage dans les répertoires utilisateurs

, Nouvelle vue SYSMEMBERSTAT

Avec TR4 de la version V7R5 est arrivé la vue SYSMEMBERSTAT qui permet d’avoir des statistiques sur les membres, des informations supplémentaires à celles existantes à ce jour.

Voici un exemple :

SELECT TABLE_SCHEMA,
       TABLE_NAME,
       SYSTEM_TABLE_MEMBER,
       SOURCE_TYPE,
       LAST_CHANGE_TIMESTAMP,
       LAST_SAVE_TIMESTAMP,
       NUMBER_ROWS,
       OPEN_OPERATIONS,
       CLOSE_OPERATIONS,
       INSERT_OPERATIONS
    FROM QSYS2.SYSMEMBERSTAT
    WHERE table_schema = 'GMODERN'
          AND last_change_timestamp > CURRENT DATE - 1 MONTH
          AND SOURCE_TYPE IS NOT null
    ORDER BY last_change_timestamp DESC

Résultat

Rappel :

Il existe déjà une vue SYSPARTITIONSTAT qui donne sensiblement les mêmes informations

et ne rêver pas vous n’avez toujours pas le dernier utilisateur qui a modifié