, , SQL nom court / nom long

Rappel :

Pour les noms des objets collection, table, index, view, etc … le système maintient en double un nom SQL et un nom IBM i
Exemple :
SQL / bd_des_articles et IBMi / BD_DE00001
la règle est la suivante pour les noms supérieurs à 10 caractères le système prends les 5 premières positions et incrémente un compteur sur 5 positions, ce qui n’est pas forcément très lisible.

pour éviter ça, il est conseillé d’indiquer les 2 au moment de la création de votre objet SQL

Bien sur vous ne pourrez pas avoir des doublons ni sur le nom long ni sur le nom court

Voici quelques conseils

Création d’une base de données

Par un create schema par exemple

vous indiquez le nom SQL et vous pouvez forcer un nom court par la clause FOR SCHEMA nomcourt

exemple

CREATE SCHEMA BASE_DE_DONNEES_ARTICLES FOR SCHEMA DBARTICLE

Création d’une table

create table

vous indiquez le nom SQL et vous pouvez définir un nom court par la clause SYSTEM NAME nomcourt
il est conseillé pour les mêmes raisons de mettre sur un nom court, un nom long par la clause FOR nomcourt

EXEMPLE

CREATE TABLE DBARTICLE.Fichier_ARTICLES FOR SYSTEM NAME ARTICLES (
NUMERO_ARTICLE FOR COLUMN NUMART DEC ( 6) NOT NULL WITH DEFAULT,
NOMCLI_ARTICLE FOR COLUMN NOMART CHAR ( 30) NOT NULL WITH DEFAULT)

vous pouvez utiliser indifféremment les 2 syntaxes

select
NUMART ,
NOMART
from DBARTICLE.Fichier_ARTICLES
ou

select
NUMERO_ARTICLE ,
NOMART
from DBARTICLE.ARTICLES

pour la plupart des autres objets vous pouvez indiquer la clause FOR SYSTEM NAME nomcourt

Création d’un index

CREATE INDEX nomlong FOR SYSTEM NAME nomcourt
ON bd (long ou court)/ table (nom court ou long)
(nom de zone court ou long)

Exemple

CREATE index DBARTICLE.key_articles_numcli FOR SYSTEM NAME key_numli
on DBARTICLE.ARTICLES
(NUMERO_ARTICLE)

Création d’une vue

CREATE VIEW … FOR SYSTEM NAME nomcourt ()

exemple

CREATE VIEW DBARTICLE.articles_nom_b FOR SYSTEM NAME articleb (
NUMERO_ARTICLE , NOMART )
as
(select
NUMERO_ARTICLE , NOMART
from DBARTICLE.ARTICLES
where NUMART like(‘B%’))

Remarques :

Vous pouvez créer une table en faisant un create table as

exemple

CREATE table DBARTICLE.articles_nom_c FOR SYSTEM NAME articlec as
(select
NUMERO_ARTICLE , NOMART
from DBARTICLE.ARTICLES
where NUMART like(‘B%’))
With data

Ce qui permet de récupérer les attributs des zones de la table

Vous pouvez renommer une zone

exemple

CREATE table DBARTICLE.articles_nom_cbis FOR SYSTEM NAME article1 as
(select
NUMERO_ARTICLE , NOMART as nom_article_bis
from DBARTICLE.ARTICLES
where NUMART like(‘B%’))
With data

Mais c’est une nouvelle zone et le nom court est conservé, bien sur sauf si c’est une zone de travail substr par exemple ….

Si vous souhaitez utiliser vos tables en RPG, vous pouvez préciser un nom de format, ce qui vous evitera un renommage dans le programme RPGLE
c’est en utilisant la clause RCDDFMT
CREATE TABLE nomdb.nomtable ( ) RCDFMT nomfmt

Exemple

CREATE TABLE DBARTICLE.Fichier_ARTICLES FOR SYSTEM NAME ARTICLES (
NUMERO_ARTICLE FOR COLUMN NUMART DEC ( 6) NOT NULL WITH DEFAULT,
NOMCLI_ARTICLE FOR COLUMN NOMART CHAR ( 30) NOT NULL WITH DEFAULT)
RCDFMT ARTICLEF

Pour connaitre les correspondances sur les objets existants, vous pouvez utiliser les vues SQL

pour les tables
SELECT TABLE_NAME, SYSTEM_TABLE_NAME FROM systables
where …

pour les index

SELECT INDEX_NAME, SYSTEM_INDEX_NAME FROM SYSINDEXES
where

pour les vues

SELECT TABLE_NAME, SYSTEM_VIEW_NAME FROM sysviews
where

oui la vue s’appelle TABLE_NAME ?????????? ça sent le copier coller …

on peut renommer des noms systèmes sur des objets SQL

Exemples

RENAME TABLE GDATA.LONG_NOM_TABLE TO SYSTEM NAME LONG_NOM

RENAME index GDATA.LONG_INDEX_ZONE1 TO SYSTEM NAME I_ZONE1

RENAME index GDATA.LONG_VIEW_ALL TO SYSTEM NAME LONG_VIEW

Complément

Particularité pour renommer une table

Nous créerons la table suivante

CREATE TABLE gdata/nom_long_table FOR SYSTEM NAME nom_court (
NUMERO_ARTICLE FOR COLUMN NUMART DEC ( 6) NOT NULL WITH DEFAULT,
NOMCLI_ARTICLE FOR COLUMN NOMART CHAR ( 30) NOT NULL WITH DEFAULT)

rappel
Une table a un nom long et un nom court qui doivent être unique

on essaye de dupliquer la table dans la même bibliothèque

CRTDUPOBJ OBJ(NOM_COURT)
FROMLIB(GDATA)
OBJTYPE(FILE) TOLIB(GDATA) NEWOBJ(NOM_COURT2) DATA(YES)

duplication impossible dans la même bibliothèque, le probléme étant sur le nom long qui est dupliqué

Le message est le suivant
Le nom de remplacement attribué au fichier NOM_COURT2 n’est pas admis.

Pour dupliquer votre table vous devez donc passez par SQL

create table gdata/nom_long_table2 like gdata/nom_long_table

vous obtenez bien une 2éme table qui se nomme nom_long_table2

Mais le nom ibmi est fixé par le système ici NOM_L00001
est si vous voulez le renommer vous pouvez le faire par RNMOBJ

RNMOBJ OBJ(GDATA/NOM_L00001) OBJTYPE(*FILE) NEWOBJ(NOM_COURT2)

Vous avez nom long nom_long_table2
Vous avez nom court nom_court2

Vous devez bien faire les 2 opérations

Si vous voulez juste sauvegarder les données

Préférer un create table as en SQL ou un cpyf crtfile(*YES) en IBMI

, , Moderniser vos menus IBMi

Vous pouvez désormais accéder aux fichiers des messages par SQL grâce à la vue SQL QSYS2.MESSAGE_FILE_DATA.

Vos menus personnalisés utilisent des commandes qui sont stockés dans des fichiers messages.

Voici une idée pour améliorer vos menus : prendre la commande à exécuter et l’afficher, vous pouvez customizer l’affichage du texte

J’ai publié le code sur github l’adresse suivante : https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/GTOOLS

Vous devez récupérer, un DDS , un SQLRPGLE et une CMD.

Voila qui peut vous donner des idées pour la gestion de vos fichiers messages

, , Authentification par JWT (Json Web Token)

Pour mettre en place une authentification par JWT sur IBMi, on utilise l’API Qc3VerifySignature.

Le JWT

Il est composé de trois partie :

  • Un entête (header)
  • Une charge utile (payload)
  • Une signature numérique

Pour obtenir la signature, il faut tout d’abord encoder séparément le header et le payload avec BaseURL64, ensuite, on les concatène en les séparant d’un point.

On calcule enfin une signature d’après le header et le payload afin de garantir que le jeton n’a pas été modifié, d’après l’algorithme défini dans le header (RS256, HS256, HS512, …). Cette signature binaire est elle-même encodée ensuite en Base64URL.

On obtient ainsi le JWT : { header }.{ payload }.{ signature }

Préparation

Afin de tester cette API, il faut dans un premier temps générer une clé au format PEM en suivant les étapes ci-dessous :

  • openssl req -new -out monserveur.csr

Pour créer une demande certificate (.csr = certificat signing request)

Cela crée deux fichiers : monserveur.csr et privkey.pem

  • openssl rsa -in privkey.pem -out monserveur.key

Cela crée le fichier monserveur.key (clé privée sans le mot de passe)

  • openssl x509 -in monserveur.csr -out monserveur.cert -req -signkey monserveur.key

Cela crée le fichier monserveur.cert, qui est le certificat.

Paramètres d’appels de Qc3VerifySignature

  • Signature

La signature est fournie en BASE64, il faut la convertir en binaire pour la fournir à l’API

  • Longueur de signature

La longueur de la signature fournie après sa conversion

  • Donnée à contrôler

{ header }.{ payload } en ASCII

  • Longueur de la donnée à contrôler
  • Format de la donnée à contrôler
  • Description de l’algorithme

C’ ‘est une Data Structure qui contient les paramètres de l’algorithme.

  • Format de la description de l’algorithme
  • Description de la clé

C’ ‘est une Data Structure qui contient les paramètres de la clé.

  • Format de la description de la clé
  • Fournisseur de service cryptographique (0, 1 ou 2)
  • Nom du périphérique de cryptographie (à blanc si fournisseur 1 ou 0)
  • Code Erreur

C’est une Data Structure qui indique le code retour de l’exécution

Cinématique

Pour mettre en place l’appel à Qc3VerifySignature, nous avons défini les formats suivants :

  • Données             DATA0100 : La donnée est contrôlée sur sa valeur et sa longueur
  • Algorithme         ALGD0400 : Paramètres pour une opération de vérification de signature
  • Clé                      KEYD0600 : Certificat PEM (voir paragraphe « Préparation »)

Données

On crée la donnée à contrôler en concaténant header et payload, séparés d’un point, comme expliqué au paragraphe précédent.

Exemple :

ATTENTION : Il faut, pour être utilisable, que celle-ci soit en ASCII. Pour ce faire on utilise le programme système QDCXLATE qui permet de faire de la conversion de chaines de caractères grâce à des tables système.

Data Structure du format ALGD0400 (algorithme) :

cipher   INT(10) inz(50)                  // Code secret pour RSA , initialisé à 50

PKA      CHAR(1) inz(1)                  // PKCS bloc 01

filler   CHAR(3) inz(x’000000’)      // Réservé : ce champ doit rester NULL

hash     INT(10) inz(3)                   // Signature Algorithme de Hash 3=SHA256

Data Structure du format KEYD0600 (clé) :

keylen INT(10)                                       // Longueur du certificat PEM

filler CHAR(4) inz(x’00000000′)           // Réservé : ce champ doit rester NULL

key CHAR(4096) CCSID(65535)           // Certificat PEM en ASCII

Code Retour

L’appel de l’API avec les paramètres choisis , retourne un Data Structure ErrorCode décrite ci-dessous :

bytesProv  INT(10) inz( %size( ErrorCode ) ); // ou 64 pour voir MSGID

bytesAvail INT(10) inz(0);

MSGID CHAR(7);

filler CHAR (1);

data  CHAR (48);

Dans le cas où la signature est vérifiée, les valeurs retour sont les suivantes

  • BYTESPROV = 64                                          
  • BYTESAVAIL = 0                                          
  • MSGID = ‘       ‘                                       
  • FILLER = ‘ ‘                                            
  • DATA = ‘                                                ‘

Si la signature n’est pas vérifiée, les valeurs retour seront  :

  • BYTESPROV = 64                                          
  • BYTESAVAIL = 15                                         
  • MSGID = ‘CPF9DEF’                                       
  • FILLER = ‘0’                                            
  • DATA = ‘                                                ‘
, , Comment repérer les requêtes SQL consommatrices sur votre IBMi

Comment voir à un instant donné, les requêtes les plus consommatrices de votre système ?

Vous êtes sans doute demandé comment connaitre les requêtes SQL qui consomment sur votre système, voici une solution.

Nous allons utiliser un dump du plan cache , vous pouvez aussi y accéder par ACS en quelques clics.

Voici une méthode qui va vous permettre d’automatiser et de trouver plus rapidement un problème.

Commencer par supprimer le fichier qui va servir à extraire le dump

Drop table gdata.dump_cache ;

Extrayez le cache dump dans votre fichier de travail

CALL QSYS2.DUMP_PLAN_CACHE (fileschema => ‘GDATA’, Filename => ‘DUMP_CACHE’) ;

Exécuter une requête sur ce fichier

Dans notre exemple, on sélectionne les jobs actifs sur le système, on sélectionne les requêtes SELECT et on trie par consommation descendante !

With job_act (JOB_NAME_SHORT, JOB_USER, JOB_NUMBER, JOB_USER_IDENTITY)
as (SELECT JOB_NAME_SHORT, JOB_USER, JOB_NUMBER,JOB_USER_IDENTITY
FROM TABLE (QSYS2.ACTIVE_JOB_INFO(DETAILED_INFO => ‘ALL’)) X
where substr(job_user_identity, 1, 1) <> ‘Q’)
Select qqjob, qquser, qvc102, qqjnum, qq1000, qqi6 as temps_execution
from gdata.dump_cache a join job_act b on
QQJOB = JOB_NAME_SHORT and QQUSER = JOB_USER and QQJNUM = JOB_NUMBER
where substr(QQ1000 , 1, 6) = ‘SELECT’
order by qqi6 desc

Vous pouvez changer vos critères de tri et de sélection, ici on est en mode pompier ?
Vous pouvez planifier cette requête et la faire tourner plusieurs fois par jour sur votre système en gardant le résultat ou les dump cache.

Nous avons packagé ce script pour faire une commande WRKSQLJOB que vous pouvez trouver ici !

https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/GTOOLS


Vous retrouvez également une version un peu plus évoluée dans notre produit GODBC
https://www.gaia.fr/produits/

Les sites à connaitre, si vous voulez aller plus loin :

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=services-dump-plan-cache-procedure
https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=cache-creating-snapshots

https://www.ibm.com/docs/api/v1/content/ssw_ibm_i_74/pdf/rzajqpdf.pdf

, , , Renommer votre serveur LDAP Pour EIM

Vous utilisez la solution de single signon sur IBMi à base de kerberos et EIM

Votre serveur LDAP change de nom

Voici la liste des opérations à effectuer

Sur le serveur LDAP, vous n’avez rien à faire

Sur le serveur Kerberos

Vous avez 2 modifications à faire

Changer le nom du KDC sur l’onglet principal

Changer le nom du serveur de mot de passe sur l’onglet Serveur de mot de passe

Sur le serveur EIM

Sur le domaine changer le registre kerberos

Créer un nouveau registre utilisateurs de type source kerberos

et vous devrez ensuite sur chaque inscription remplacer votre source par le nouveau serveur

Ca peut être long si vous n’avez pas d’outils pour le faire

Notre produit GEIM peut vous aider dans cette tache !

, , , QCMDEXC en Fonction SQL

Depuis la TR4 de la version V7R4, vous pouvez utiliser la fonction QCMDEXC

C’est l’occasion de faire un rappel sur les différents usages disponibles jusque la

1 ) C’est une API (un programme) que vous pouvez appelez depuis un programme RPG ou CLP

en RPGLE

Dcl-Pr Exec_Commande QCMDEXC ExtPgm(‘QCMDEXC’);
Cmd Char(3000) Const;
CmdLen packed(15:5) Const;
End-Pr;

Dcl-S Gbl_Cmd Char(3000);

Gbl_Cmd = ‘Votre commande’ ;

Exec_commande(Gbl_Cmd : %len(Gbl_Cmd)) ;

En CLLE

PGM
DCL &CMD *CHAR 300
DCL &LEN *DEC (15 5)

CHGVAR &CMD (‘VOTRE COMMANDE’)
CHGVAR &LEN %LEN(&CMD)
CALL QCMDEXC (&CMD &LEN)

2) C’est une procédure SQL

call qcmdexc(‘votre commande’)

en SQL embarqué

Dcl-S Gbl_Cmd Char(3000);

call qcmdexc(:Gbl_Cmd)

3) C’est une Fonction SQL à partir de la TR4

Réorganisation des fichiers BD

SELECT qcmdexc(‘RGZPFM FILE(‘ concat
trim(substr(TABLE_SCHEMA, 1 , 10))
concat ‘/’ concat
substr(TABLE_NAME, 1 , 10) concat ‘)’) as résultat
FROM systables WHERE TABLE_SCHEMA =
‘GDATA’ and FILE_TYPE = ‘D’

la fonction renvoi 1 si ok et -1 si ko

Conclusion :
Vous avez un aperçu des possibilités qcmdexc sur la machine, à vous de jouer !

, , , Surveillez vos requêtes SQL sur votre #IBMi

Il est possible que vous ayez des doutes sur les performances de vos requêtes SQL, voici comment avoir une idée rapide de ce qui tourne

On va utiliser ACS
dans Base de données choisir
SQL Performance center

Vous avez un onglet Affichage des instructions

Vous choisissez le filtre à appliquer, ici on choisit les actives, vous pouvez être beaucoup plus pertinent en limitant votre choix.

Une fois que vous avez repéré une requête candidate, il vous suffit de faire un clic droit sur celle ci et vous pouvez lancer directement Visual Explain, qui vous expliquera le comportement de cette requête, vous pourrez alors faire les ajustements qui s’imposent

Le résultat dans V-E

PS:
Le principal critère de performance sur SQL, c’est les index, pensez à surveiller les suggestions faites par Index Advisor

Une des nouveautés de TR4 c’est Query Supervisor

L’idée est de limiter les requêtes selon certain critères (de temps d’exécution, d’espace temporaire occupé etc… )
Jusqu’à présent c’était pas toujours simple et un peu binaire

Ajout d’un seuil à contrôler

Se fait par la procédure QSYS2.ADD_QUERY_THRESHOLD

Exemple

CALL QSYS2.ADD_QUERY_THRESHOLD(THRESHOLD_NAME => ‘Seuil’,
THRESHOLD_TYPE => ‘CPU TIME’,
THRESHOLD_VALUE => 1,
INCLUDE_USERS => ‘PLB’,
DETECTION_FREQUENCY => 60)

Vous devez indiquer :
– Un nom ici Seuil
– Le seuil à contrôler
– Une valeur pour ce seuil
– Un filtre d’inclusion ou d’exclusion ici inclusion du profil PLB
– Un délai de rafraichissement en seconde

Vous avez une vue qui permet de voir les seuils définis sur votre partition

C’est la vue QUERY_SUPERVISOR

exemple

voir tous les seuils définis pour Query supervisor

SELECT *
FROM QSYS2.QUERY_SUPERVISOR ORDER BY THRESHOLD_TYPE, THRESHOLD_VALUE DESC;

;

Vous pouvez indiquer un programme d’exit QIBM_QQQ_QRY_SUPER

ci joint un exemple basique pour expliquer ce qui ce passe

pgm parm(&qrysupdta &returncod)
/* Paramètres */
dcl &qrysupdta *char 1024
dcl &returncod char 8

/* Variables de Travail */

DCL VAR(&SIZ_HEADER) TYPE(CHAR) LEN(4) +
STG(DEFINED) DEFVAR(&qrysupdta 1)

DCL VAR(&FMT_NAME) TYPE(CHAR) LEN(8) +
STG(DEFINED) DEFVAR(&qrysupdta 5)

DCL VAR(&JOB_NAME) TYPE(CHAR) LEN(10) +
STG(DEFINED) DEFVAR(&qrysupdta 13)

DCL VAR(&JOB_USER) TYPE(CHAR) LEN(10) +
STG(DEFINED) DEFVAR(&qrysupdta 23)

DCL VAR(&JOB_NUMBER) TYPE(CHAR) LEN(6) +
STG(DEFINED) DEFVAR(&qrysupdta 33)

DCL VAR(&SUBSYSTEM) TYPE(CHAR) LEN(10) +
STG(DEFINED) DEFVAR(&qrysupdta 39)

DCL VAR(&Usr_name) TYPE(CHAR) LEN(49) +
STG(DEFINED) DEFVAR(&qrysupdta 23)

DCL VAR(&QRYPLANID) TYPE(CHAR) LEN(08) +
STG(DEFINED) DEFVAR(&qrysupdta 67)

DCL VAR(&THR_NAME) TYPE(CHAR) LEN(60) +
STG(*DEFINED) DEFVAR(&qrysupdta 75)
dcl &msg *char 2056
chgvar &msg (&JOB_NAME *cat ‘/’ *cat &JOB_USER *tcat ‘/’ *tcat +
&JOB_NUMBER *bcat ‘Arreté pour dépassement, ‘ *bcat &THR_NAME)
SNDUSRMSG MSG(&MSG)
/* on force l’arret de la requete */
CHGVAR VAR(%BIN(&returncod 1 4)) VALUE(1)
ENDPGM
Pour en savoir plus le lien ici

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=ssw_ibm_i_74/apis/xqrysuper.htm

Le message ne cas de débordement

Le message remonté depuis notre programme d’exit

Vous pouvez voir vos statistiques de sollicitation dans ACS SQL performance center

Vous pouvez enlever vos seuils

c’est la procédure REMOVE_QUERY_THRESHOLD

CALL QSYS2.REMOVE_QUERY_THRESHOLD(THRESHOLD_NAME => ‘Seuil’);

vous indiquez le nom que vous avez donné à votre seuil

Conclusion

C’est une bonne nouveauté pour les administrateurs DB2

On peut regretter l’absence du procédure de change qui permettrait de revenir sur les paramètres de définition.

, , UTILISATION DES API EN SQL

Récupérer une API

Il existe un grand nombre d’API aux fonctionnalités diverses dont certaines nous permettent de récupérer des données structurées dans différents formats (XML, JSON, …).

Grace aux fonctions SQL de l’IBMi nous pouvons récupérer ces données pour les insérer dans les fichiers de la base de données.

Pour les exemples qui suivent, on se base sur trois API tirées du site https://openweathermap.org/ :

  • Une première qui récupère la météo dans une ville donnée

https://api.openweathermap.org/data/2.5/weather?q={city name}&appid={API key}&mode=xml’

  • Une qui récupère jusqu’à 50 communes autour de coordonnées choisies

https://api.openweathermap.org/data/2.5/find?lat=45.75&lon=4.5833&cnt=50&appid={API key}&mode=xml

  • Une qui récupère jusqu’à des communes dans un rectangle de coordonnées choisies

https:// api.openweathermap.org/data/2.5/box/city?bbox=4,45,8,46,50&appid={API key}

Extraire les données de l’API

Sortie API en XML

La commande SQL suivante permet d’afficher les données dans un champ DATA 

SELECT DATA FROM (values
char(SYSTOOLS.HTTPGETCLOB('https://api.openweathermap.org/data/2.5/weather?q={city name}&appid={API key}&mode=xml',''), 4096))
ws(data);

Sortie API en JSON

La commande SQL suivante permet d’afficher les données dans un champ DATA 

SELECT DATA FROM (values
char(SYSTOOLS.HTTPGETCLOB('api.openweathermap.org/data/2.5/weather?q={city name}&appid={API key}',''), 4096))
ws(data);

Sortie API en HTML

La commande SQL suivante permet d’afficher les données dans un champ DATA 

SELECT DATA FROM (values
char(SYSTOOLS.HTTPGETCLOB('https://api.openweathermap.org/data/2.5/weather?q={city name}&appid={API key}&mode=html',''), 4096))
ws(data);

Récupération des données

En XML

On crée un fichier qui contiendra les colonnes que l’on veut récupérer (Ville, Température en cours, date, …)

CREATE TABLE GG/METEODB
(VILLE_ID DECIMAL (9, 0) NOT NULL WITH DEFAULT,
VILLE_NOM CHAR (50) NOT NULL WITH DEFAULT,
TEMPERATURE DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT,
TEMP_MIN DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT,
TEMP_MAX DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT,
DATE_MAJ CHAR (20) NOT NULL WITH DEFAULT)
;

Récupérer les données de l’API dans le fichier créé :

INSERT INTO GG.METEODB
select xdata.* FROM xmltable('$doc/cities/list/item'
PASSING XMLPARSE(document SYSTOOLS.HTTPGETCLOB('https://api.openweathermap.org/data/2.5/find?lat=45.75&lon=4.5833&cnt=10&appid={API key}&mode=xml','')) AS "doc"
COLUMNS
ville_id decimal(9, 0) PATH 'city/@id',
ville_nom varchar(50) PATH 'city/@name',
temperature decimal(5, 2) PATH 'temperature/@value',
temp_min decimal(5, 2) PATH 'temperature/@min',
temp_max decimal(5, 2) PATH 'temperature/@max',
date_maj varchar(20) PATH 'lastupdate/@value' ) as xdata;

En JSON

Contrairement à XML, on peut créer tout de suite un fichier qui contiendra les colonnes que l’on veut récupérer.

CREATE TABLE GG.METEOBD
(VILLE_ID DECIMAL (9, 0) NOT NULL WITH DEFAULT,
VILLE_NOM CHAR (50) NOT NULL WITH DEFAULT,
TEMPERATURE DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT,
TEMP_MIN DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT,
TEMP_MAX DECIMAL (5, 2) NOT NULL WITH DEFAULT,
DATE_UX_MAJ DECIMAL (12, 0) NOT NULL WITH DEFAULT)

Récupérer les données de l’API dans le fichier créé :

INSERT INTO GG.METEOBD
select * from JSON_TABLE(SYSTOOLS.HTTPGETCLOB('https://api.openweathermap.org/data/2.5/box/city?bbox=4,45,8,46,50&appid={API key}','') ,
'$.list[*]'
COLUMNS
(ville_id decimal(9, 0) PATH '$.id',
ville_nom varchar(50) PATH '$.name',
temperature decimal(5, 2) PATH '$.main.temp',
temp_min decimal(5, 2) PATH '$.main.temp_min',
temp_max decimal(5, 2) PATH '$.main.temp_max',
date_ux_maj decimal(12, 0) PATH '$.dt'));

Pour aller plus loin

En utilisant une API de LA POSTE qui ne nécessite pas d’inscription au préalable, ni d’identification. Nous pouvons réaliser un programme qui nous aide à retrouver une commune à partir d’un code postal, dans l’optique d’aider au remplissage de certains formulaires.
On crée un fichier temporaire en interrogeant directement l’API.

, , Variables SQL utilisables dans vos scripts ?

Voici quelques variables que vous pouvez utiliser dans vos requêtes SQL

par exemple Client_Ipaddr qui est arrivée avec la TR4

Quelques registres et variables d’environnement

select
current time as heure_en_cours,
current date as date_en_cours,
current user as utilisateur_courant,
current timestamp as timestamp_en_cours,
CURRENT CLIENT_ACCTNG as Client_connexion,
CURRENT CLIENT_APPLNAME as Client_Application,
Current timezone as Fuseau_Horaire,
Current server as Current_Server ,
current path as Current_path,
CURRENT CLIENT_APPLNAME as Programme_client,
CURRENT CLIENT_USERID as Utilisateur_client,
CURRENT CLIENT_PROGRAMID as Programme_client
from sysibm.sysdummy1

Quelques Variables globales dans SYSIBM

select
SYSIBM.Client_Host as Client_Host,
SYSIBM.Client_Ipaddr as Client_Ipaddr,
SYSIBM.Client_Port as Client_Port,
SYSIBM.Package_Name as Package_Name,
SYSIBM.Package_Schema as Package_Schema,
SYSIBM.Package_Version as Package_Version,
SYSIBM.Routine_Schema as Routine_Schema,
SYSIBM.Routine_Specific_Name as Routine_Specific_Name,
SYSIBM.Routine_Type as Routine_Type
from sysibm.sysdummy1

Comme dans nos exemples, ces variables sont utilisables dans vos requêtes

exemple

les travaux actifs de l’utilisateur en cous