, , , Contrôler le nombre de paramètres passés à un programme CL – %PARMS() / CEETSTA
presence_flagSortie*INTVariable de retour : 1 ou 0
arg_numEntrée*INTPosition de la variable à tester

Remarques

Le compte des paramètres pour la arg_num commence à 1
La valeur de retour est un *INT pas un *LGL

Pour plus de détails

Documentation IBM – %PARMS() : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=procedure-parms-built-in-function
Documentation IBM – CEETSTA : https://www.ibm.com/docs/api/v1/content/ssw_ibm_i_75/apis/CEETSTA.htm
, Surveillez l’état de vos bandes

Vous sauvegardez sur des bandes LTO, et vous voulez savoir si vos bandes sont en bon état,
pour en savoir plus sur les LTO : https://fr.wikipedia.org/wiki/Linear_Tape-Open

La durée de vie théorique d’une bande LTO est donnée pour 30 ans, mais elle dépend beaucoup des conditions d’utilisation et elles peuvent être défectueuses.
Certaines sociétés changent leurs bandes tous les 3 ans.

La bonne pratique c’est de le faire quand vous changez votre POWER en principe tous les 3 à 5 ans.

Mais il peut être important de contrôler l’état de vos supports pour éviter les mauvaises surprises.

Il n’existe pas de service SQL ni de sortie outfile pour l’instant.

Vous allez pouvoir faire une analyse par volume.

C’est vous qui indiquez le nom de volume quand vous formater votre support
INZTAP DEV(TAPXXX) NEWVOL(xxxxxx) vous disposez de 6 caractères

Exemple :
==>INZTAP DEV(TAP01) NEWVOL(LUNDI1) …

La commande qui va vous permettre d’analyser ces volumes est la commande PRTERRLOG
qui va vous générer un spool QPCSMPRT.

En principe vous avez un roulement de bande par semaine.

Vous pouvez contrôler le volume dans le lecteur avant de déclencher une sauvegarde, mais il n’est pas conseillé de la bloquer, vous pouvez remonter un message.

« * Attention bande du LUNDI trouvée dans le lecteur * »

Exemple

Vous devez connaitre le type de votre unité de bande pour utiliser cette commande.

==>DSPDEVD TAP01

==>PRTERRLOG TYPE(VOLSTAT) OUTPUT(PRINT)
VOLTYPE(3580)
VOLSTATTYP(*LIFETIME)

Si vous avez des erreurs il faut remplacer vos bandes.

Pour vous aider à automatiser cette remontée d’information, vous pouvez utiliser notre outil disponible ici :

https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/SNDVOLSTAT

Remarque :

Il est important :
d’avoir un plan de reprise d’activité suite à un crash
de tester une restauration partielle de temps en temps
de passer la cartouche de nettoyage tous les 6 mois

, Vue rapide du catalogue DB2

Comment à voir une vue rapide du catalogue de votre base de données ?

Voici une solution qui consiste à utiliser le centre de santé

Dans l’onglet « Schémas »
sur la base de donnée faites un clic droit
sélectionnez « Centre de santé »

Les fichiers du catalogue DB2 sont dans QSYS et ils commencent par QADB.

Commencez par mettre en place ce filtre et cliquez sur régénération

Vous allez utiliser 2 vues

« limites de taille » , qui vous permettra de voir le nombre d’enregistrements

Vous voyez par exemple dans QADBFILD la liste des zones de votre DB

« Activité« , qui vous donnera des informations sur les mises à jour sur vos fichiers.

Conclusion :


Vous avez une vue syntaxique de la taille et des mouvements de votre catalogue DB2.

L’exécution de la requête peut être un peu longue quand vous cliquez sur régénération.

Pour voir les informations contenues dans votre catalogue, utilisez les vues SYS* de QSYS2 ou de vos SCHEMAS.

, Connaitre la taille vos MTI

Vous désirez connaitre la taille occupée par les MTI (Maintained Temporary Index) sur votre machine, voici une Méthode.
Vous avez des buckets (espaces dans votre mémoire centrale) sur votre partition.

Vous avez un service QSYS2.SYSTMPSTG qui permet de voir ces buckets

La taille des MTI, c’est le bucket 14

Voici la requête pour voir cette taille

SQL SELECT CURRENT TIMESTAMP AS date_heure,
BUCKET_NUMBER,
GLOBAL_BUCKET_NAME,
BUCKET_CURRENT_SIZE,
BUCKET_LIMIT_SIZE
FROM QSYS2.SYSTMPSTG
WHERE bucket_number = 14

Pour diminuer cette taille il faut créer les index qu’Index advisor vous suggère.

Vous avez une fonction table qui vous indique les MTIs de votre système, QSYS2.MTI_INFO

Ceux qui concernent votre base de données doivent être construits

Ici ceux utilisés depuis une semaine sur la bibliothèque exploit !

SELECT *
FROM TABLE (
QSYS2.MTI_INFO(‘EXPLOIT’, ‘*ALL’)
)
WHERE LAST_BUILD_START_TIME > CURRENT DATE – 7 DAYS

Remarque :

Cet espace sera réutilisé par les autres Buckets

Vous pouvez faire un suivi de ces buckets , par exemple ceux de la base de données pour voir les grandes variations

La mise à jour du fichier d’index Advisor dépendra de la méthode utilisée pour générer l’index, n’hésitez pas à effacer des enregistrements dans le fichier QSYS2.SYSIXADV.

sinus cosinus tangentes
, , Générer un XLS avec SQL

La TR 3 de la V7R5 nous apporte un nouveau service qui va permettre de générer un fichier XLS à partir d’une requête SQL

Exemple :

VALUES SYSTOOLS.GENERATE_SPREADSHEET(
PATH_NAME => ‘LST_option.xls’,
SPREADSHEET_QUERY => ‘Select * from qgpl.qauoopt’ ,
COLUMN_HEADINGS => ‘COLUMN’ ,
SPREADSHEET_TYPE => ‘xlsx’)

Remarque:

ACS doit être installé sur votre partition et si possible à jour

Attention par défaut il génère du csv

, Analyse CPF1164

La TR3 de la V7R5, nous apporte une nouvelle fonction table qui va nous permettre d’analyser plus finement et surtout plus simplement la fin d’un travail, soit en réalité le message CPF1164, en effet on a accès directement au code secondaire .

Exemple :

SELECT FROM_JOB,
JOB_END_CODE,
JOB_END_DETAIL,
SECONDARY_ENDING_CODE,
SECONDARY_ENDING_CODE_DETAIL
FROM TABLE (
SYSTOOLS.ENDED_JOB_INFO()
)
WHERE JOB_END_CODE > 10

Remarque :


Par défaut il analyse la veille soit (current date – 1)

, , , SQL – appel de webservice

Depuis la V7R1 (SF99701 – DB2 – niveau 23), on peut invoquer des web service via SQL. Les fonctions se trouvent dans SYSTOOLS.

En V7R4 TR5, sont sorties de nouvelles fonctions, elles se trouvent dans QSYS2.

Outre les fonctions HTTP, celles pour encoder / décoder en base64 et pour encoder / décoder L’URL, ont aussi été implémentées dans QSYS2.

Rappel des différences entre ces fonctions

Tout d’abord les performances. Les fonctions de QSYS2 permettent un gain non négligeable, elles sont basé sur les fonctions AXIS en C natif, contrairement à celles de SYSTOOLS qui sont basées sur des classes java.

Les paramètres dans l’entête ou le corps du message sont transmis en JSON pour les fonctions de QSYS2, à la place de XML pour celle de SYSTOOLS.

La gestion des certificats est simplifiée par l’utilisation de DCM, alors qu’avec les fonctions de SYSTOOLS, il fallait pousser le certificat dans le magasin du runtime java utilisé par les fonctions HTTP. En cas de multiple versions de java installées, il fallait s’assurer de laquelle servait pour les fonctions HTTP. L’ajout du certificat, se faisait via des commandes shell.

Les types et tailles des paramètres des fonctions ont été adaptés pour ne plus être des facteurs limitants de l’utilisation des fonctions SQL, voici quelques exemples :

Certaines utilisations ont aussi été simplifiées en automatisant des tâches.

Prenons l’exemple d’un appel à un web service avec une authentification basique. Le couple profil / mot de passe doit être séparé par « : » et l’ensemble encoder en base64. C’est la norme HTTP.

Dans le cas des fonctions de SYSTOOLS, il fallait effectuer l’ensemble des opérations, alors qu’avec les fonctions de QSYS2, il suffit de passer le profil et le mot de passe dans la propriété BasicAuth. La mise en forme et l’encodage étant faits directement par les fonctions AXIS :

Il y a par contre un cas limitatif des fonctions QSYS2, que IBM a rajouté, alors que la norme HTTP autorise ce type d’appel.

Il s’agit d’avoir une authentification basique sur un appel en http.

Ce cas n’est pas trop contraignant, aujourd’hui le https est la norme et le http quasiment disparu…. quasiment !
Nous rencontrons encore chez nos clients des web services « interne » en http. La migration en https n’étant pas vendeur auprès des directions qui n’y voit aucun gain pour le métier. C’est l’éternel problème des changements structurels en IT.

Dans ces cas, la fonction de QSYS2, renverra une erreur, assez claire !

Le premier réflexe est de voir avec le fournisseur du service s’il ne dispose pas d’une version en https.

Maintenant, si vous n’avez pas d’autre choix que d’appeler un web service en http avec authentification basique, il faudra continuer d’utiliser les fonctions de SYSTOOLS. Dans tous les autres cas, aucune hésitation, utilisez les fonctions de QSYS2.

Mais mettons nous d’accord, de l’authentification basique en http, ce n’est pas de la sécurité, c’est une absurdité.

En http, le message passe en clair sur la trame réseau, avec votre profil / mot de passe, encodé en base 64, et non encrypté, donc en clair eux aussi.

Edit : Précision apportée par Gautier Dumas de CFD-innovation. Merci à lui.
On peut contourner le problème avec les fonctions de QSYS2. Il ne faut pas utiliser la propriété BASICAUTH, mais construire l’authentification basique comme on le faisait avec celle de SYSTOOLS.
VALUES QSYS2.HTTP_GET(
‘http://hostname/wscommon/api/contacts’,
‘{« header »: »Authorization, BASIC dGVzdHVzZXI6dGVzdHB3ZA== »}’);
Il n’y a donc vraiment plus de raison de continuer avec les fonctions de SYSTOOLS !

Diminuer les indicateurs dans vos RPGLE

Pour les nouveaux développeur sur l’IBMi l’utilisation des indicateurs n’est pas naturel, voici comment on peut les diminuer


1) En utilisant l’INFDS pour tester les touches de fonction

2) En utilisant une zone attribut pour les DSPATR

Attention vous ne pourrez pas tous les remplacer


https://www.ibm.com/docs/fr/i/7.5?topic=80-dspatr-display-attribute-keyword-display-files

Voici un exemple

DDS

     A*                                                              
     A                                      DSPSIZ(24 80 *DS3)             
     A                                      CA03                           
     A          R FMT01                                                    
     A*        
     A                                      OVERLAY                        
     A                                  1 28'Test TOUCHES INFDS/ ATTRIBUT' 
     A                                  3  2'Text'                         
     A            ZONE          12A  B  3  9DSPATR(&ATTRIB)                
     A            ATTRIB         1A  P                                     
     A                                 22  3'F3=Exit'                      

RPGLE

**free                                 
// Exemple d'utilisation d'un écran    
// Sans indicateurs                    
//                                     
Dcl-F TOUCHE WORKSTN INFDS(FICHIERDS) ;
/INCLUDE INFDS_INC                     
/INCLUDE TOUCHE_INC                    
/INCLUDE ATTR_INC                      
// initialisation des attributs        
       Zone = 'Welcome';               
       ATTRIB  = P_HI;                 
// Boucle su F3                        
   DOU Touche_Ecran = F3 ;             
       Exfmt FMT01 ;                   
   ENDDO ;                             
//                                     
   *inlr = *on ;                   

Remarque :

Vous retrouverez les inculde ici

https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/INCLUDE