, , , Convertir un SAVF en PF

il faut savoir qu’un fichier SAVF est un fichier PF de 528 de long.

Vous pouvez avoir besoin pour différentes raisons de convertir SAVF en PF pour manipuler plus simplement par SQL, pour contourner des restrictions d’utilisations etc ..

Vous trouverez ici 2 commandes qui vont vous permettent de réaliser cette opération : https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/CPYSAVF

Copier un SAVF dans un PF

Voir le PF

Copier un PF dans un SAVF

Voir le Résultat

Pour voir ce résultat taper la commande DSPSAVF , Voir WRKSAVF si vous avez installez notre outil

Remarque :

Outil simple mais efficace qui peut rendre des services à des administrateurs

, , Plugin JCRCMDS pour RDI

Plugin open source peu connu de Craig Rutledge mais qui est bien utile pour convertir les spécifications H, F et D en RPG full free.

Il existe plusieurs outils pour convertir ces spécifications mais l’avantage de celui-ci est qu’on peut le faire directement dans RDI .

Lien pour le téléchargement :

https://sourceforge.net/projects/jcrcmds/

Installation

Extraire l’archive.

Comme pour le plugin isphere, il faut lancer RDI puis Aide > Installer un nouveau logiciel

Il suffit ensuite de sélectionner le dossier précédemment extrait.

Utilisation

1ère solution : Sélectionnez le code à convertir puis faites un clic droit JCRCMDS > convert selection(H,F,D).

Résultat :

2ème solution : Faites un clic droit directement dans le code puis JCRCMDS > Convert all(H,F,D)

Toutes les spécifications H, F ou D seront transformées.

, Utilisez un booléen dans une commande

Voici un exemple classique, vous devez définir dans vos commandes, un paramètre qui peut prendre comme valeur oui ou non par exemple

Généralement vous allez faire comme ceci

dans la commande

PARM KWD(CRTFILE) TYPE(CHAR) LEN(4) RSTD(YES) +
DFT(NO) VALUES(NO *YES) PROMPT('Création du +
fichier')


dans le programme

         PGM        PARM(.... &CRTFILE)
/* Paramètres */
//
DCL &CRTFILE *CHAR 4
//
IF COND(&CRTFILE = '*YES' ) THEN(DO)
//
ENDDO

Voici une solution en utilisant un booléen dans le programme

dans la commande

        PARM       KWD(CRTFILE) TYPE(*CHAR) LEN(4) RSTD(*YES) + 
                     DFT(*NO) VALUES(*NO *YES) SPCVAL(('*YES' + 
                     '1') ('*NO' '0')) PROMPT('Création du +    
                     fichier')                                  

dans le programme

         PGM        PARM(.... &CRTFILE)
/* Paramètres */
//
DCL &CRTFILE *LGL
//
IF COND(&CRTFILE) THEN(DO)
//
ENDDO

L’astuce consiste à indiquer une valeur à renvoyer dans la commande ici on se borne à ‘0’ et ‘1’ ce qui peut être interprété par votre programme comme un booléen

L’intérêt d’utiliser un booléen c’est d’avoir un code simplifier , un peu comme les indicateurs qui simplifient la lecture d’un code RPGLE ou CLLE

, , Tracer l’usage d’une commande

Vous voulez savoir si une commande est utilisée, il y a plusieurs solutions en voici une basée sur les
programme d’exit qui est assez simple

Il existe un programme d’exit QIBM_QCA_CHG_COMMAND

Pour ajouter votre programme vous avez une commande ADDEXITPGM

ADDEXITPGM EXITPNT(QIBM_QCA_CHG_COMMAND)   +
           FORMAT(CHGC0100)                +
           PGMNBR(1)                       +
           PGM(VOTREBIB/HSTCMD)           +
           TEXT('Tracer une commande') +
           PGMDTA('RSTLIB    QSYS')

Vous devrez lui indiquer dans la paramètre PGMDTA la commande qualifiée à tracer
exemple :
‘STRDBG QSYS’

Les données reçues sont sur le format CHGC0100 qui vous donne le découpage du buffer reçu par votre programme

Vous pouvez faire un programme générique qui va loguer l’utilisation d’une commande, vous pouvez en mettre plusieurs et la prise en compte est immédiate

Voici le source en clle du programme HSTCMD

 PGM    PARM(&ExitInfo  &NewString   &Newlength)                 
       DCL  &Class       *CHAR   10                                                                                 
       DCL  &OffsetDec   *DEC  (7 0)
       DCL  &CmdLenDec   *DEC  (7 0)
       DCL  &ExitInfo    *CHAR 2000   /* CHGC0100 interface data      */
/* Input parameters                                                   */
       DCL  &ExitPoint   *CHAR   20   /* Exit Point name              */ 
       DCL  &ExitFormat  *CHAR    8   /* Exit Point Format            */ 
       DCL  &CmdName     *CHAR   10   /* Command name being executed  */ 
       DCL  &CmdLib      *CHAR   10   /* Command Library              */ 
       DCL  &Change      *CHAR    1   /* Change allowed? 1=yes 0=no   */ 
       DCL  &Prompt      *CHAR    1   /* Prompt requested? 1=yes 0=no */ 
       DCL  &Filler      *CHAR    2   /* Reserved by IBM              */ 
       DCL  &Offset      *CHAR    4   /* Offset to command string     */ 
       DCL  &CmdLength   *CHAR    4   /* Command string length        */ 
       DCL  &CmdString   *CHAR 2000   /* Command String               */          
/* Output Parameters                                                  */
       DCL  &NewString   *CHAR 2000   /* Replace with this command    */
       DCL  &NewLength   *CHAR    4   /* Length of new command        */
                                      /* 0 = no new command           */ 
DCL &JOB *CHAR 10
DCL &USR *CHAR 10
DCL &NBR *CHAR  6
       MONMSG   CPF0000    EXEC(GOTO ERROR)
/* découpage du paramètre reçu                                   */
       CHGVAR  &ExitPoint  %SST(&ExitInfo   1  20)             
       CHGVAR  &ExitFormat %SST(&ExitInfo  21   8)              
       CHGVAR  &CmdName    %SST(&ExitInfo  29  10)             
       CHGVAR  &CmdLib     %SST(&ExitInfo  39  10)              
       CHGVAR  &Change     %SST(&ExitInfo  49   1)              
       CHGVAR  &Prompt     %SST(&ExitInfo  50   1)              
       CHGVAR  &Filler     %SST(&ExitInfo  51   2)              
       CHGVAR  &Offset     %SST(&ExitInfo  53   4)              
       CHGVAR  &CmdLength  %SST(&ExitInfo  57   4)               
       CHGVAR  &CmdLenDec  %BIN(&Cmdlength)                   
       CHGVAR  &OffsetDec  (%BIN(&Offset) + 1)          /* Set offset */
       CHGVAR  &CmdString  %SST(&ExitInfo &OffsetDec &CmdLenDec)
/* Extraction du travail */
                    RTVJOBA    JOB(&JOB) USER(&USR) NBR(&NBR)          
/* envoi message à qsysopr */ 
             SNDUSRMSG  MSG(&job *tcat '/' *tcat &usr *tcat +   
                          '/' *tcat &nbr *bcat %sst(&CmdString 1 + 
                          100) ) MSGTYPE(*INFO) TOUSR(*SYSOPR)
/* passage de la commande sans transformation */
chgvar &NewString &CmdString
chgvar &NewLength &CmdLength 
ERROR:
return
ENDPGM 

Remarque :

Vous n’avez pas besoin de mettre en place des audits et tout est dynamique

Vous pouvez transformer une commande ou la remplacer par une autre

Pour voir les commandes que vous tracez

==> WRKREGINF QIBM_QCA_CHG_COMMAND

Exemple :


Les commandes qui commencent par DLT, je remplace par un message suppression refusée pour certain utilisateurs

Rappel :

Un programme d’exit doit être simple et ne pas planter !

Vous voulez mettre à jour des informations dans une table sans faire de boucle de lecture ? Cet article est pour vous.

Prenons un exemple. Vous consommez un service web qui vous transmet une liste d’article que vous devez stocker en base de données.

L’ordre DB2 MERGE vous permettra d’ajouter les articles qui n’existent pas et de mettre à jour ceux qui existent.

Création de table ARTICLE

CREATE TABLE ARTICLE ( 
	CDART CHAR(10) CCSID 1147 DEFAULT ' ' , 
	DESART CHAR(30) CCSID 1147 DEFAULT ' ' )   
	  
	RCDFMT ARTICLE    ; 
  
LABEL ON TABLE ARTICLE 
	IS 'Base article' ; 
  
LABEL ON COLUMN ARTICLE 
( CDART IS 'Code article         ' , 
	DESART IS 'Désignation article  ' ) ;

Code RPG avec ajout ou mise à jour d’un article.

ctl-opt alwnull(*usrctl) option(*nodebugio:*srcstmt);

//Variables
dcl-s code_article        char(10);
dcl-s designation_article char(30);

exec sql SET OPTION commit = *none;

code_article        = 'AB123456';
designation_article = 'Ma désignation';

Exec Sql
   MERGE INTO ARTICLE as ARTICLE
   USING(VALUES (:code_article, :designation_article))
   AS SOURCE(CDART,DESART)
   ON ARTICLE.CDART = SOURCE.CDART
   -- Mise à jour de la désignation si code article trouvé
   WHEN MATCHED THEN UPDATE
         SET DESART  = SOURCE.DESART
   -- Ajout de l'article
   WHEN NOT MATCHED THEN INSERT VALUES (SOURCE.CDART,
                                        SOURCE.DESART)
   NOT ATOMIC CONTINUE ON SQLEXCEPTION;


*inLR=*ON;

Vous pouvez également supprimer l’article s’il est trouvé.

WHEN MATCHED THEN DELETE

On peut rajouter des conditions en plus du MATCHED. Dans la ligne ci-dessous je ne veux mettre à jour que l’article ‘TEST’. Pas grand intérêt mais c’était pour montrer un exemple.

WHEN MATCHED AND CDART='TEST' THEN UPDATE SET DESART  = SOURCE.DESART

Vous pouvez aussi tester la valeur pour la contrôler avant de faire la mise à jour.

WHEN MATCHED AND SOURCE.DESART IS NOT NULL THEN UPDATE SET DESART  = SOURCE.DESART

Il est également possible de prendre le résultat d’un select au lieu des deux variables

MERGE INTO ARTICLE as ARTICLE
   USING(VALUES (SELECT CDART, DESART FROM ARTICLE2))
   AS SOURCE(CDART,DESART)
   ON ARTICLE.CDART = SOURCE.CDART
   -- Mise à jour de la désignation si code article trouvé
   WHEN MATCHED THEN UPDATE
         SET DESART  = SOURCE.DESART
   -- Ajout de l'article
   WHEN NOT MATCHED THEN INSERT VALUES (SOURCE.CDART,
                                        SOURCE.DESART)
   NOT ATOMIC CONTINUE ON SQLEXCEPTION;

Je ne l’ai pas dit au début de l’article mais ça fonctionne aussi sur les PF.

, Plugin Isphere pour RDI

Isphere est un plugin open-source qui vous apportera quelques fonctionnalités intéressantes. Vous pourrez le télécharger grâce au lien ci-dessous :

https://isphere.sourceforge.io/

Pour l’installer, il faut tout d’abord télécharger et extraire l’archive en local puis lancer RDI. Cliquez ensuite sur l’onglet Aide > Installer un nouveau logiciel.

Cliquez sur local, sélectionnez le dossier que vous avez précédemment extrait puis faites OK.

Vous pouvez tout sélectionner et faire suivant jusqu’au bout.

Afficher les intitulés

Plus besoin de cliquer sur un objet / membre et de regarder la vue propriété pour avoir le texte.

Pour activer l’affichage des intitulés, cliquez sur Affichage > Préférences puis activez les deux rubriques isphere dans Général > Apparence > Décorations d’intitulés.

Résultat :

Recherche de chaine de caractères

Vous pouvez déjà le faire dans RDI en faisant un clic droit sur un fichier source / bibliothèque « Rechercher la chaine ». Mais cette option peut prendre du temps. Utilisez plutôt « Isphere source file search ».

Saisir la chaine à recherche et faites OK.

Si vous faites un double-clic sur la ligne ça ouvrira le source en édition.

Gestion des MSGF

Comme pour la recherche de chaine, on peut déjà modifier un fichier de message mais ce n’est pas très pratique. Il faut déplier le fichier de message, faire un clic droit modifier sur le message et modifier le texte.

Avec Isphere vous pouvez faire un clic droit « Isphere Message File Editor ».

Il va ouvrir le fichier de message et vous pourrez effectuer des recherches de texte, double cliquer sur un message pour l’éditer etc…

Gestion des postes d’un répertoire de liage

Clic droit sur le répertoire de liage puis « Isphere Binding Directory Editor ».

Dans l’onglet qui vient de s’ouvrir, vous pouvez ajouter un programme de service au répertoire de liage avec un simple clic droit / New (équivalent de la commande ADDBNDDIRE).

Vous avez également la possibilité d’en supprimer.

Copier un membre source

Très pratique si vous voulez copier un source d’un système à un autre (ou sur le même).

Clic droit sur un membre (ou plusieurs), puis « Copy Member’s to ».

Choisissez le système / fichier source / bibliothèque de destination et cliquez sur « Copy ».

Comparer des sources

Déjà disponible dans RDI mais Isphere permet de le faire plus facilement. Très pratique si l’on veut comparer deux sources sur deux systèmes (ou le même).

Faites un clic droit sur le source puis « Isphere compare Editor ».

, Mot de passe QSECOFR désactivé

Il y a plusieurs solutions, la plus simple est sans doute celle la ,vous devrez avoir accès à la console et connaitre un mot de passe sur la console (HSCROOT par exemple)

Il faut savoir que vous pouvez vous connecter à celle ci, même si vous avez un mot de passe désactivé.

A partir d’ACS

Sélectionner Console 5250

Vous devez rentrer un mot de passe de votre HMC, exemple HSCROOT

Vous devez choisir votre partition

et saisir le mot passe même *DISABLED sur la mire d’ouverture

Une fois connecter il suffit de réactiver le profil

==>CHGUSRPRF USRPRF(QSECOFR) STATUS(*ENABLED)

Remarque:

Il est malgré tout conseillé d’avoir un compte de secours que vous dédiez à une reprise derrière une désactivation intempestive.

Par exemple :

SECOURS qui sera dédié à ca avec des droits identiques à QSECOFR et avec un mot de passe gardé au coffre

plus d’informations ici : https://www.ibm.com/support/pages/qsecofr-profile-disabled

, Simplifiez vous la gestion de vos SAVF

Vous avez tous trop de SAVF sur vos systèmes voici une commande qui va vous aider à les manager : WRKSAVFD.


Bibliothèque :

  • *ALL si vous souhaitez avoir la liste de tous les SAVF existants sur votre machine.
  • Nommez la bibliothèque si vous ne souhaitez afficher QUE les SAVF de cette dernière.

Confirmer si suppression :

  • *YES, par défaut, vous permettra de valider par « entrée » pour chaque fois ou vous aurez sélectionner l’option 4 : Supprimer dans l’écran suivant.
  • *NO, pour supprimer sans passer par un écran de validation de la suppression demandée lors de l’option 4 : Supprimer dans l’écran suivant.

Une option 5 : Gérer vous envoi sur la commande précédemment expliquée ici .

Vous trouverez les sources sur le GitHub Gaia-Mini-Systemes .

, , Savoir où un programme est utilisé

Vous voulez savoir où un programme est utilisé sur votre partition.

Généralement vous avez une cross référence de vos programmes basée sur des sorties de DSPPGMREF, et vous retrouvez assez facilement les programmes qui l’utilisent dans votre application.

Mais votre programme peut être tagué dans d’autres ressources, (Systèmes, SQL, etc …), voici une liste et comment les analyser

1) Table des travaux planifiés WRKJOBSCDE

SELECT * FROM QSYS2.SCHEDULED_JOB_INFO where command_string like(‘%VOTREPGM%’);

2) Table des travaux planifiés AJS (Advanced Job Scheduler)

SELECT * FROM QUSRIJS.QAIJS1CM where cmcmd like(‘%VOTREPGM%’)

Rappel, il est gratuit à partir de la version V7R5

3) Triggers, fonctions, procédure (catalogage SQL)

select * from qsys2.sysroutine where external_name like(‘%VOTREPGM%’)
and routine_body = ‘EXTERNAL’;

4) Webservices

echo "Recherche : VOTREPGM" > lst_webservices.txt ;
echo "/www/*/webservices/services/*/WEB-INF/classes/*.config" >> lst_webservices.txt ;  
echo "---------------" >> lst_webservices.txt ;       
/usr/bin/grep -i -n "VOTREPGM" /www/*/webservices/services/*/WEB-INF/classes/*.config  >> lst_webservices.txt

On suppose que vos configurations sont dans www ce qui est le défaut, et on écrit dans un fichier lst_webservices.txt de votre répertoire courant.

5) Menus SDA

SELECT *
FROM QSYS2.MESSAGE_FILE_DATA
where
MESSAGE_ID like(‘USR%’) and
MSG_TEXT like(‘%VOTREPGM%’)

6) Exit PGM

select *
from qsys2.exit_program_info where exit_program = ‘VOTREPGM‘ ;

7) Les watchers

select * from qsys2.watch_info where WATCH_PROGRAM = ‘VOTREPGM‘;

8) Les postes travaux à démarrage automatique des sous-systèmes

SELECT a.autostart_job_name, a.job_description_library, a.job_description, b.request_data
FROM QSYS2.AUTOSTART_JOB_INFO a
JOIN QSYS2.JOB_DESCRIPTION_INFO b
ON a.job_description_library = b.job_description_library
AND a.job_description = b.job_description
WHERE UPPER(b.request_data) Like(‘%VOTREPGM%’);

Remarques :

C’est sans doute pas exhaustif , mais c’est déjà ça

Pensez à regarder les planificateurs si vous en avez ?

Si vous avez une machine de PROD et de DEV, il peut être intéressant d’analyser les 2 partitions.

Voila, simple mais efficace

, , Contrôler l’existence d’un fichier stream (IFS)

Voici donc trois exemples de solutions pour tester l’existence d’un fichier dans l’IFS en CL et en SQLRPGLE.
(Il existe d’autres méthodes, mais celles-ci sont les plus simples).

La commande CHKOUT permet de verrouiller un objet, ainsi les autres utilisateurs et travaux ne peuvent plus que le lire ou le copier. Il suffit de monitorer cette commande en attendant le message CPFA0A9 qui indique que le fichier n’existe pas.

Cette méthode est donc utile lorsque l’on souhaite par la même occasion verrouiller l’objet recherché.

Il ne faut pas oublier de déverrouiller l’objet une fois votre opération terminée avec la commande CHKIN.

En SQL et SQLRPGLE, le plus simple reste d’utiliser la fonction table IFS_OBJECT_STATISTICS. Pour s’assurer ne pas tomber sur un répertoire portant le nom du fichier ou autre, il est préférable de renseigner les paramètres subtree_directories et object_type_list (bien entendu en renseignant *DIR si on cherche un répertoire).

Il suffit ensuite de tester le sqlCode, s’il est égal à 100 cela signifie que le fichier est inexistant.

Remarque

Il faut tout de même prendre en compte les droits de l’utilisateur qui réalise ces tests, en fonction de la méthode utilisée, un autre message pourrait être émit ou le fichier pourrait lui apparaitre comme inexistant.

Pour plus de détails

Documentation IBM – CHKOUT : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=ssw_ibm_i_75/cl/chkout.html
Documentation IBM – CHKIN : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=ssw_ibm_i_75/cl/chkin.html
Documentation IBM – MOV : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=ssw_ibm_i_75/cl/mov.html
Documentation IBM – IFS_OBJECT_STATISTICS : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=services-ifs-object-statistics-table-function