Archive pour l’année : 2025
Vous pouvez indiquer des moniteurs dans Navigator for I
C’est des moniteurs qui vont se déclencher sur un évènement, vous avez 2 types de moniteur (Système et message)
Vous devrez pouvez indiquer une action sur ces évènements, voici le template d’un programme en CLLE pour un moniteur de message
C’est conseiller d’en utiliser un pour organiser cette supervision
La Commande à mettre dans l’interface sera
CALL PGM(MYLIB/ALERTALL) PARM(‘&MON’ ‘&EVENTTYPE’ ‘&DATE’ ‘&TIME’ +
‘&MSGID’ ‘&MSGSEV’ ‘&MSGTYPE’ ‘&MSGCOUNT’ ‘&MSGTEXT’ +
‘&FRMJOBNAME’ ‘&FRMJOBNUMBER’ ‘&FRMPROGRAM’ ‘&FRMUSER’ +
‘&OWNER’ ‘&VAL’ ‘&TVAL’ ‘&TDUR’ ‘&INTVL’ ‘&RVAL’ ‘&RDUR’)
Les variables seront remplacés par les valeurs correspondantes

Vous devrez lui indiquer un nom
Les paramètres à remplir sont intuitifs , par exemple tous les messages avec réponse
.

Vous indiquerez ici votre commande de traitement
.
Programme exemple ALERTALL
le plus souvent, on aura qu’un seul moniteur ou plusieurs qui supervisent la même file généralement QSYSOPR
et on aura des alertes adaptées en fonction des identifiants de messages
les messages sont données à titre d’exemple
PGM PARM(&MON &EVENTTYPE &DATE &TIME +
&MSGID &MSGSEV &MSGTYPE &MSGCOUNT &MSGTEXT +
&FRMJOBNAME &FRMJOBNUMBER &FRMPROGRAM &FRMUSER +
&OWNER &VAL &TVAL &TDUR &INTVL &RVAL &RDUR)
/* Déclaration des paramètres généraux */
DCL VAR(&MON) TYPE(*CHAR) LEN(20) /* Nom du moniteur */
DCL VAR(&EVENTTYPE) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Type d’événement (TRIGGER, RESET, etc.) */
DCL VAR(&DATE) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Date (format système) */
DCL VAR(&TIME) TYPE(*CHAR) LEN(6) /* Heure HHMMSS */
/* Variables spécifiques aux moniteurs de messages */
DCL VAR(&MSGID) TYPE(*CHAR) LEN(7) /* Identifiant du message */
DCL VAR(&MSGSEV) TYPE(*CHAR) LEN(2) /* Gravité */
DCL VAR(&MSGTYPE) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Type de message */
DCL VAR(&MSGCOUNT) TYPE(*CHAR) LEN(5) /* Nombre de messages */
DCL VAR(&MSGTEXT) TYPE(*CHAR) LEN(256) /* Texte du message */
DCL VAR(&FRMJOBNAME) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Nom du job émetteur */
DCL VAR(&FRMJOBNUMBER) TYPE(*CHAR) LEN(6) /* Numéro du job */
DCL VAR(&FRMPROGRAM) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Programme origine */
DCL VAR(&FRMUSER) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Utilisateur origine */
/* Variables spécifiques aux moniteurs systèmes */
DCL VAR(&OWNER) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Propriétaire du moniteur */
DCL VAR(&VAL) TYPE(*CHAR) LEN(20) /* Valeur mesurée */
DCL VAR(&TVAL) TYPE(*CHAR) LEN(20) /* Seuil déclencheur */
DCL VAR(&TDUR) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Durée de dépassement */
DCL VAR(&INTVL) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Intervalle de mesure */
DCL VAR(&RVAL) TYPE(*CHAR) LEN(20) /* Valeur de reset */
DCL VAR(&RDUR) TYPE(*CHAR) LEN(10) /* Durée de reset */
/* choix du traitement en fonction du message */
SELECT
/* Objet verrouillé */
WHEN COND(&MSGID *EQ ‘CPF3202’) DO
SUBR SUBR(T_CPF3202)
ENDDO
/* Fichier Plein */
WHEN COND(&MSGID *EQ ‘CPF5272’) DO
SUBR SUBR(T_CPF5272)
ENDDO
/*objet non trouvé */
WHEN COND(&MON *EQ ‘CPF9801’) DO
SUBR SUBR(T_CPF9801)
ENDDO
OTHERWISE DO
/* traitement par défaut */
/* Envoi d’un message à l’opérateur système */
SNDMSG MSG(‘ALERTE : Moniteur ‘ *CAT &MON *BCAT +
‘MSGID=’ *CAT &MSGID *BCAT +
‘VAL=’ *CAT &VAL *BCAT ‘TVAL=’ *CAT &TVAL) +
TOUSR(*SYSOPR)
ENDDO
RETURN
/* Sous programme traitement CPF3202 */
SUBR SUBR(T_CPF3202)
/* Traitement ici */
SUBRRTN
/* Sous programme traitement CPF5272 */
SUBR SUBR(T_CPF5272)
/* Traitement ici */
SUBRRTN
/* Sous programme traitement CPF9801 */
SUBR SUBR(T_CPF9801)
/* Traitement ici */
SUBRRTN
ENDPGM
Vous pouvez gérer leurs status de moniteurs
Arrêt / redémarrage des moniteurs
CALL PGM(QSYSDIR/QNAVMNSRV) PARM(‘*START’)
CALL PGM(QSYSDIR/QNAVMNSRV) PARM(‘*STOP’)
ils sont démarrés par défaut à l’IPL à l’identique des ce qui tournait avant l’arrêt
Conclusion :
C’est une solution simple si vous n’avez pas de solution de supervision
Mais il est conseillé de centralisé toute votre supervision en un point unique par exemple un Centreon / Nagios
Plutôt que de multiplier les solution hétéroclites, qui complexifie la vision globale
Remarque :
Comme solution IBMi, vous pouvez également utiliser les WATCHERs pour réaliser la même chose
Vous êtes nombreux à vous poser des questions, voici quelques précisions, pour envisager une migration maitrisée
Première modification importante BRMS n’est plus édité par IBM, mais par la société Fortra, il change de nom de produit 5770BR1 devient 5770BR2 , https://www.fortra.com/fr
A partir du premier octobre 2025 BRMS (5770BR1) n’est plus supporté par IBM, si voulez du support vous devrez passer sur BR2 qui n’est pas commercialisé par IBM. Il est édité par la société Fortra et vous devrez prendre une souscription facturable par processeur au près de cette éditeur
Pour commencer, vous devez télécharger BR2 ici
https://login.ibm.com/authsvc/mtfim/sps/authsvc?PolicyId=urn:ibm:security:authentication:asf:basicldapuser&Target=https%3A%2F%2Flogin.ibm.com%2Foidc%2Fendpoint%2Fdefault%2Fauthorize%3FqsId%3D141fac42-f0c4-4497-a665-94b2d3418770%26client_id%3DNGY4NTg4MWUtNjZlMy00
Attention :
BR1 et BR2 sont incompatibles sur une même partition, mais ils pourront continuer à communiquer au sein d’un même Power pour la durée de votre migration, qui doit être le plus réduite possible, a cause des nouveautés qui arrivent
Avant de migrer sauvegarder la bibliothèque QUSRBRM qui contient vos fichiers de paramétrages
Vous devrez faire attention à tout ce que vous avez customisé, attention particulièrement aux fonctions usage et programmes d’exit et aux jobs planifiés etc …
Pour éviter les problèmes ,vous devrez suivre rigoureusement la procédures de migration proposé par FORTRA
2 liens à connaitre
2 Dates à connaitre
Premier octobre 2025 BRMS (5770BR1) n’est plus supporté par IBM sauf bug connus
Premier janvier 2026, le support de (5770BR1) deviendra limité aux incidents ou défauts connus. Plus aucune nouvelle fonctionnalité ni correctif ne sera proposé.
Conclusion :
Pas de panique ca ne s’arrête pas d’un coup, mais vous devrez envisager une migration pour bénéficier du nouvel interface graphique et des évolutions futures
Merci à Benoit THEVENET pour l’alerte
Voici un complément sur mes informations erronées ou incomplètes , merci à celui qui m’a remonté ces précisons
Je me permets de te contacter au sujet du post que tu as fait sur BRMS. Je suis désolé mais je vais te contredire sur plusieurs points en raison d’informations erronées.
1) Lorsque tu indiques que BRMS n’est plus édité par IBM, malheureusement cela n’est pas exact. IBM a externalisé le développement de BRMS, il y a près de … 10 ans déjà. Cela n’est donc pas une nouveauté. Mais Fortra ne commercialise pas BRMS, la seule société commercialisant BRMS est IBM. IBM est donc toujours l’unique éditeur du produit. De plus ce sont eux qui fournissent le cahier des charges des développements à Fortra.
Pour information, c’est également le cas pour PowerHA qui est également développé par Fortra et cela se passe dans les locaux d’IBM Rochester avec les anciens déveoppeurs d’IBM. RDi et une partie des développements de Db2 sont également externalisés.
2) Seul IBM fourni une licence BRMS sur le produit 5770-BR2. Fortra ne peut pas le faire. L’acquisition des licences s’effectue obligatoirement chez IBM.
3) BRMS ne change pas de nom, il se nomme toujours … BRMS. C’est le code produit qui change, mais encore une fois, cela n’est absolument pas une nouveauté car cela date de mars 2024.
4) A partir du 1er octobre 2024, contrairement à ce que tu indiques, BRMS (5770-BR1) sera toujours supporté par IBM. C’est le support de nouveaux problèmes qui ne sera plus dans le scope du support IBM. En clair, l’assistance au paramétrage et à la configuration de l’ancienne version de BRMS (5770-BR1) et la correction des défauts connus seront toujours effectués par le support IBM.
5) Ton lien de téléchargement n’est pas bon. Il ne fonctionne pas. Le bon lien est généré par ESS et reste valable 24 à 48 heures maximum.
Le lien de base est https://www.ibm.com/servers/eserver/ess/index.wss puis il faut aller ensuite dans les téléchargements.
6) La bibliothèque QUSRBRM n’est pas désinstallée lors du retrait de BRMS (5770-BR1), au contraire elle reste sur le système afin de migrer sur la nouvelle version 5770-BR2.
7) Il n’y a aucune spécificité sur BRMS au 1er janvier 2026, quelle que soit la version.
Les principales nouveautés ne sont pas là car il s’agit plutôt d’un produit qui désormais est commercialisé en mode souscription, qui intègre toutes les options historiques et qui est facturé au core et non plus au système.
Il est possible avec certains logiciels de voir le schéma relationnel de votre base de données sous forme de diagramme.
Exemple dans DBEAVER :


L’inconvénient est qu’il faut ouvrir une fenêtre supplémentaire.
Si vous travaillez dans VSCode, voici une petite astuce pour afficher un schéma de BDD.
Installation de l’extension
Tout d’abord il faut installer l’extension DBML Entity-Relationship Diagrams visualizer :
https://marketplace.visualstudio.com/items?itemName=bocovo.dbml-erd-visualizer
Si vous ne l’avez pas encore fait, installer l’extension Code For i
https://marketplace.visualstudio.com/items?itemName=HalcyonTechLtd.code-for-ibmi
Récupération et compilation
Ensuite télécharger et compiler le programme RPG / commande ci-dessous :
Compiler en remplaçant <BIBOBJ> et <BIBSRC> par votre bibliothèque :
CRTSQLRPGI OBJ(<BIBOBJ>/TODBML) SRCFILE(<BIBSRC>/QRPGLESRC) CLOSQLCSR(*ENDMOD) OPTION(*EVENTF) DBGVIEW(*SOURCE) TGTRLS(*CURRENT) RPGPPOPT(*LVL2)
CRTCMD CMD(<BIBOBJ>/TODBML) PGM(<BIBOBJ>/TODBML) SRCFILE(<BIBSRC>/QCMDSRC) ALLOW(*ALL) CURLIB(*NOCHG) PRDLIB(*NOCHG)
Ajout de l’action Code for i
Ajouter l’action dans VSCode en remplaçant <BIBOBJ>, <BIBBDD>, <PATH> par votre bibliothèque, la bibliothèque de base de données et le chemin du fichier à générer :
?<BIBOBJ>/TODBML LIB(<BIBBDD>) PATH('<PATH>')
Paramètres de la commande:
LIB : Bibliothèque de la base de données
PATH : Le chemin du fichier dbml qui sera généré
Exemple :

ps : Vous pouvez faire une action de type « fichier » avec rafraichissement de filtre.
Lancer l’action


Visualisation du diagramme
Ouvrir le fichier et cliquer sur l’icone « show diagram » en haut à droite.


A vous de jouer !
Il est intéressant de constater que la richesse du rendu semble proportionnelle à la densité des relations dans la base… une coïncidence, sans doute 🙂
Si comme nous vous avez de nombreux certificats sur vos systèmes, le ménage peut s’avérer compliqué. En effet, au fur et à mesure des renouvellements, les nouveaux certificats sont installés, les nouvelles autorités également.
Mais les suppressions de certificats sont souvent remises à plus tard. Et l’on se retrouve avec un nombre importants de certificats pour lesquels il est préférable de contrôler la non utilisation avant suppression.
SQL va nous aider ici, avec le service qsys2.certificate_info (cf https://www.ibm.com/docs/en/i/7.6.0?topic=services-certificate-info-table-function) capable de nous donner la liste des certificats et leurs attributs.
qsys2.certificate_info
Permet d’obtenir facilement les principales informations sur les certificats et autorités de certification du magasin *SYSTEM :

La même vue dans DCM :

Et on remarque donc la nécessité du ménage (dans mon cas).
Premièrement, comment faire la distinction entre les certificats et les autorités de certifications ? En utilisant la colonne PRIVATE_KEY_STORAGE_LOCATION.
Autorité de certification
select CERTIFICATE_LABEL,
VALIDITY_START,
VALIDITY_END,
DOMAIN_NAMES,
SUBJECT_COMMON_NAME,
SUBJECT_ORGANIZATION,
ISSUER_COMMON_NAME,
ISSUER_ORGANIZATION,
PRIVATE_KEY_STORAGE_LOCATION
from table (
qsys2.certificate_info(certificate_store_password => '*NOPWD')
)
where( PRIVATE_KEY_STORAGE_LOCATION <> 'SOFTWARE' or PRIVATE_KEY_STORAGE_LOCATION is null)
Certificat
select CERTIFICATE_LABEL,
VALIDITY_START,
VALIDITY_END,
DOMAIN_NAMES,
SUBJECT_COMMON_NAME,
SUBJECT_ORGANIZATION,
ISSUER_COMMON_NAME,
ISSUER_ORGANIZATION,
PRIVATE_KEY_STORAGE_LOCATION
from table (
qsys2.certificate_info(certificate_store_password => '*NOPWD')
)
where PRIVATE_KEY_STORAGE_LOCATION = 'SOFTWARE'
Validité
Le premier élément trivial : quels sont les certificats périmés :
select CERTIFICATE_LABEL,
VALIDITY_START,
VALIDITY_END,
DOMAIN_NAMES,
SUBJECT_COMMON_NAME,
SUBJECT_ORGANIZATION,
ISSUER_COMMON_NAME,
ISSUER_ORGANIZATION,
PRIVATE_KEY_STORAGE_LOCATION
from table (
qsys2.certificate_info(certificate_store_password => '*NOPWD')
)
where validity_end <= current timestamp
order by validity_end asc ;
Lien
Les certificats sont émis (signés) par des autorités de certification, le lien entre les deux est donc un élément indispensable.
Nous pouvons donc maintenant répondre aux questions suivantes :
Pour chaque certificat client/serveur, quel est l’autorité de certification ?

Mais cela génère des doublons :

En effet, nous faisons le lien via le Common Name de l’autorité. Mais celui-ci n’est pas obligatoirement unique, et c’est bien le cas sur les autorités locales créées via les assistants de configuration IBM i.
Pour avoir un identifiant unique, il nous faut utiliser les identifiants de clés, qui elles sont distinctes :

Mais cette information est absente de la fonction table qsys2.certificate_info.
Nous donnerons une solution (pas si simple) lors d’un prochain article dédié.
Malgré tout, ce problème ne concerne « que » les certificats générés depuis une autorité locale, elle même créée via les assistants IBM i, les autorités publiques ayants des noms uniques.
Si l’on prend un certificat acheté via Gandi :

On obtient bien une information unique et exploitable.
Pour chaque autorité, quels sont les certificats émis ?
Par exemple :

Extrait du résultat :

Par extension, quelles sont les autorités inutilisées ?

Produit :

Et le ménage ?
Avec les requêtes précédentes, vous pouvez isoler les certificats et autorités périmés ou les autorités inutilisés (dans notre cas les autorités n’ayant pas généré de certificat). Et vous pouvez donc les supprimer de façon ciblée.
Attention : les autorités et certificats peuvent être utiles et utilisés en dehors des liens vus ici. Ces requêtes permettent donc d’aider à la décision, mais ce n’est pas un automatisme !
Pour aller plus loin
Nous pouvons inclure l’analyse des applications DCM : liens applications/certificats.
Et également utiliser les API RSE pour automatiser la suppression des certificats.
Et rendre nos requêtes récursives pour permettre de suivre une hiérarchie à plus d’un niveau
Voir l’idea soumise pour avoir le lien certificat -> autorité dans la vue qsys2.certificate_info : https://ibm-power-systems.ideas.ibm.com/ideas/IBMI-I-4628
Suite à des demandes multiples, je propose une implémentation de « DUMP » des enregistrements d’une table (plutôt d’un objet *FILE / PF-DTA, que ce soit un PF ou une table).
L’idée est d’obtenir u script SQL contenant les instructions INSERT permettant de reproduire les données dans une autre base.
A l’image de la commande mariadb-dump par exemple (https://mariadb.com/docs/server/clients-and-utilities/backup-restore-and-import-clients/mariadb-dump). C’est un moyen commun de faire des sauvegarde/restauration de la base pour ces technologies.
DMPSQL
Oui, je ne détaille pas ici le processus de mise à jour, c’est classique : téléchargement des images et clés sur ESS, PRUV pour les contrôle etc …
Le fichier SQLSAMPLE/EMPLOYEE est ici produit par :
CALL QSYS.CREATE_SQL_SAMPLE ('SQLSAMPLE')
Cette procédure vous permet de créer et recréer des bases de données à des fins d’exemple et de tests.
Contenu du fichier :

Il s’agit d’une table très classique, représentative de la plupart des données dans nos applications.
Exemple d’usage :
DMPSQL FILE(SQLSAMPLE/EMPLOYEE)
SQLSCRIPT('/home/NB/employee.sql')
Le résultat de notre commande :

Le fichier est en UTF-8 afin de permettre la gestion de l’ensemble des caractères usuels.
Le code est disponible ici : https://github.com/FrenchIBMi/Outils/tree/master/DMPSQL
Usage ?
Cela permettait de répondre à plusieurs demandes.
Premièrement, la réplication de données sans utiliser les commandes de sauvegarde/restauration. Ces dernières nécessitent des droits élevés, alors qu’ici nous ne faisons que manipuler de la donnée.
Deuxièmement, dans le cadre de traitement de journaux (initialement en vue d’une fonction de type CDC), pour permettre d’isoler un enregistrement que l’on souhaite répliquer (avec ou sans transformation) dans une autre table.
Vous trouverez certainement d’autres usages !
Limites
Le code est fourni « as is », pour démonstration.
Quelques limites d’usage actuellement
- Types de colonnes non supportées actuellement : CLOB, BLOB, DATALINK, XML, GRAPHIC, VARGRAPHIC, {VAR}CHAR CCSID 65535
- Pas plus de 16Mo par enregistrement
- On ne gère pas les alias, partitions, IASP
- 250 colonnes maximum
- En cas de multi-membres, seul le premier membre est traité
On peut bien évidemment ajouter de nouvelles fonctionnalités !
N’hésitez pas à donner un feedback, améliorer le code
Vous connaissez les programmes en adoption de droit, ce sont des programmes qui s’exécutent avec le droit du propriétaire et non celui du job en cours.
C’est relativement clair sur les accès natifs, mais sur SQL et sur des instructions mixtes c’est pas toujours évident à comprendre
Voici un détail sur les fichiers, on peut agir sur 3 paramètres
un sur la commande de compile ou d’assemblage USRPRF()
2 qui peuvent être fixés par la commande compile ou par les options SQL
EXEC SQL
Set Option
..
UsrPrf = *USER,
DynUsrPrf = *USER,
..
;
On va donc essayer de voir les combinaisons possibles de ces 3 options
Voici notre protocole un programme sqlrpgle et une table en *exclude et la convention *SYS
**free
ctl-opt DFTACTGRP(*NO) ;
//
// CREATE TABLE GDATA/ATSTADOPT (CODE DEC (6 , 0) NOT NULL WITH
// DEFAULT, TEXT CHAR (30 ) NOT NULL WITH DEFAULT)
// droit public *exclude
//
dcl-f
ATSTADOPT
USAGE(*UPDATE:*OUTPUT) usropn
rename(ATSTADOPT:ATSTADOPF) ;
dcl-s sqldta char(100);
//
// Option SQL
//
EXEC SQL
Set Option
Naming = *Sys,
Commit = *None,
UsrPrf = *Owner, // ici
DynUsrPrf = *Owner, // ici
Datfmt = *iso,
CloSqlCsr = *EndMod;
// accès natif
// 2 instructions Lecture + Maj
open(e) atstadopt ;
if not %error() ;
read(e) atstadopt ;
if not %error() ;
dsply (%char(%status) + ‘ accès natif ok’) ;
code = 2 ;
update(e) ATSTADOPF ;
else ;
dsply (%char(%status) + ‘ accès natif ko’) ;
endif ;
else ;
dsply (%char(%status) + ‘ ouverture native ko’) ;
endif ;
//
// sql statique
//
exec sql
UPDATE ATSTADOPT SET CODE = 3 ;
if sqlcode <> 0;
dsply (%char(sqlcode) + ‘ SQL statique ko’) ;
else ;
dsply (%char(sqlcode) + ‘ SQL statique ok’) ;
endif ;
//
// sql dynamique
//
sqldta = ‘UPDATE ATSTADOPT SET CODE = 4’ ;
EXEC SQL EXECUTE IMMEDIATE :SQLDTA ;
if sqlcode <> 0;
dsply (%char(sqlcode) + ‘ SQL dynamique ko’) ;
else ;
dsply (%char(sqlcode) + ‘ SQL dynamique ok’) ;
endif ;
Return ;
Test 1
USRPRF(*user)
UsrPrf = *User,
DynUsrPrf = *User,
call atstadopt
Opération non autorisée sur fichier ATSTADOPT de *LIBL, membre, ou unité
*N.
DSPLY 1217 ouverture native ko
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT de GDATA type *FILE.
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT dans GDATA, de type *FILE.
DSPLY -551 SQL statique ko
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT de GDATA type *FILE.
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT dans GDATA, de type *FILE.
DSPLY -551 SQL dynamique ko
Test 2
USRPRF(*owner)
UsrPrf = *User,
DynUsrPrf = *User,
call atstadopt
DSPLY 0 accès natif ok
DSPLY 0 SQL statique ok
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT de GDATA type *FILE.
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT dans GDATA, de type *FILE.
DSPLY -551 SQL dynamique ko
Test 3
USRPRF(*owner)
UsrPrf = *OWNER,
DynUsrPrf = *OWNER,
call atstadopt
DSPLY 0 accès natif ok
DSPLY 0 SQL statique ok
DSPLY 0 SQL dynamique ok
Test 4
USRPRF(*USER)
UsrPrf = *OWNER,
DynUsrPrf = *USER,
call atstadopt
Opération non autorisée sur fichier ATSTADOPT de *LIBL, membre, ou unité
*N.
DSPLY 1217 ouverture native ko
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT de GDATA type *FILE.
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT dans GDATA, de type *FILE.
DSPLY -551 SQL statique ko
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT de GDATA type *FILE.
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT dans GDATA, de type *FILE.
DSPLY -551 SQL dynamique ko
Test 5
USRPRF(*USER)
UsrPrf = *OWNER,
DynUsrPrf = *OWNER,
call atstadopt
Opération non autorisée sur fichier ATSTADOPT de *LIBL, membre, ou unité
*N.
DSPLY 1217 ouverture native ko
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT de GDATA type *FILE.
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT dans GDATA, de type *FILE.
DSPLY -551 SQL statique ko
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT de GDATA type *FILE.
Non autorisé à l’objet ATSTADOPT dans GDATA, de type *FILE.
DSPLY -551 SQL dynamique ko

Remarques
2 petites particularités sur
1) sur Usrprf SQL
*NAMING (la valeur par défaut)
Le profil utilisateur est déterminé par la convention d’appellation. S’il s’agit de la convention *SQL,
USRPRF(*OWNER) est utilisé. S’il s’agit de la convention *SYS, USRPRF(*USER) est utilisé.
2) Option SQL souvent inutile
Si vous n’êtes pas en adoption de droit sur le programme
UsrPrf et DynUsrPrf sont sans effet
Si le programme est en adoption de droit
UsrPrf = *OWNER est implicite
à l’inverse de DynUsrPrf qui doit être à *OWNER pour fonctionner
Une petite requête pour analyser une bibliothèque :
// liste des programmes avec les users d’exécution d’une bibliothèque
SELECT A.PROGRAM_SCHEMA,
a.PROGRAM_NAME,
a.PROGRAM_TYPE,
IFNULL(a.NAMING, ‘*NOSQL’) AS convention,
a.PROGRAM_OWNER,
b.user_profile AS user_program,
IFNULL(A.USER_PROFILE, ‘*NOSQL’) AS user_static,
IFNULL(A.DYNAMIC_USER_PROFILE, ‘*NOSQL’) AS usre_dynamic
FROM qsys2.sysprogramstat a
JOIN QSYS2.PROGRAM_INFO b
ON a.PROGRAM_SCHEMA = b.Program_library
AND a.PROGRAM_NAME = b.PROGRAM_NAME
where A.PROGRAM_SCHEMA = ‘votre bib’;
le but n’est pas d’appendre à faire java sur ibmi
mais de savoir faire un programme basic sur IBMI et de l’appeler
on va faire hello World
Les exécutables de java se trouve ici /QOpenSys/QIBM/ProdData/JavaVM/
==>WRKLNK (‘/QOpenSys/QIBM/ProdData/JavaVM/’)

pour connaitre la version en cours sous QSH
==>java -version

pour faire votre premier développement vous allez créer un répertoire
==>crtdir (‘/home/votreuser/java’)
placez vous dans le répertoire CHGCURDIR ou CD
vous pouvez créer alors votre premier fichier
==> edtf FILE(‘java/HelloIBM.java’)
sortez enregistrent par F3

ca va créer un fichier
vous devrez change le ccsid pour passer en 1208
==>chgatr OBJ(‘java/HelloIBM.java’) ATR(*CCSID) VALUE(1208)
vous pouvez saisir votre code par l’éditeur de votre choix
exemple en 5250
edtf FILE(‘java/HelloIBM.java’)

et saisissez votre code
sous qsh , SSH ou QP2TERM
Compiler votre programme par javac
==>javac HelloIBM.java
Votre source est un point class, votre programme est un point java
pour lancer
Sous QSH
==>java HelloIBM

Sous 5250
==>QSH CMD(‘java HelloIBM’)
Sous qp2term
==>CALL PGM(QP2SHELL) PARM(‘/QOpenSys/usr/bin/java’ ‘HelloIBM’)
Conseil:
Bien évidemment utiliser un vrai éditeur, si vous avez des développements à faire
Ne mettez pas les sources avec les objets
Vous avez intérêt à ajouter votre répertoire dans le path
export CLASSPATH=/home/tonuser/java:/QIBM/ProdData/HTTP/Public/jt400/lib/jt400.jar:.
Bien sur les kevin connaissent tout ca par cœur
Vous avez un nouveau paramètre sur les commandes CRTBNDRPG ou CRTRPGMOD DATEYY( )
DATE WITH 2-DIGIT YEARS . . . . DATEYY( *ALLOW)
Ce paramètre n’est pas encore documenté dans l’aide mais vous comprenez , que c’est pour les dates sur 6 caractères
Rappel sur les dates à 6 , vous avez un point de bascule:
40 – 99 : Le siècle est supposé être « 19 »
00 – 39 : Le siècle est supposé être « 20 »
C’est dans 14 ans
Pour ce paramètre, DATEYY vous avez 3 valeurs possibles
DATEYY(*ALLOW) : autorise tous les formats de date, autrement dit, n’effectue aucune validation. DATEYY(WARN) : si une date est détectée, elle est considérée comme une année sur deux caractères, une erreur de compilation de niveau 10 est générée.
DATEYY(*NOALLOW) : si une date pourrait être détectée, la compilation est renvoyée avec une erreur de niveau 30. La valeur par défaut est « *ALLOW ».
il est conseillé de compiler avec *WARM, vous aurez une liste des problèmes potentiels
Ce message apparaitra
Msg id Sv Number Seq Message text
*RNF0201 10 5 002300 WARNING: A DATE WITH 2 DIGITS FOR THE YEAR ONLY SUPPORTS
THE YEARS 1940 TO 2039. REASON CODE: xxxxxx.
Rappel:
Pensez dans SQL à bien utiliser des formats sur 8 *ISO par exemple pour tous vos calculs
Exec SQL
Set Option
Datfmt = *iso ;
Vous voulez changer le groupe d’activation d’un programme. Contrairement à une idée reçue, on peut dans certains cas renommer le groupe d’activation d’un programme ILE
Si vous créez un programme
CRTPGM
Ou
CRTBNDRPG
Vous allez indiquer le groupe d’activation d’exécution de votre programme
Vous ne pouvez pas changer le groupe d’activation par CHGPGM !
Mais vous pouvez le faire par la commande UPDPGM
avant ==> DSPPGM AATSTRET
Attribut du groupe d’activation . . . . . . . : PLB1
UPDPGM PGM(AATSTRET) MODULE(*NONE) ACTGRP(PLB45)
Valeurs des paramètres AUT et USRPRF ignorées.
L’objet remplacé AATSTRET type *PGM a été déplacé dans QRPLOBJ.
Programme AATSTRET créé dans la bibliothèque GDATA.
Programme AATSTRET mis à jour dans GDATA.
après ==>DSPPGM AATSTRET
Attribut du groupe d’activation . . . . . . . : PLB45
la seule limitation est que le groupe doit être nommé
Pour interdir ce changement à l’assemblage vous devez indiquer
CRTPGM … ALWUPD(*NO)
PS :
Cette option n’existe pas sur le CRTBNDRPG donc modifiable par défaut
Vous devez avoir le droit *change sur programme.
Rappel:
En batch on essaye d’avoir le premier programme qui crée le groupe d’activation et les programmes appelés s’exécuteront en *caller
Dans les autres cas, webservice, interactif, etc il peut être préférable d’avoir un groupe d’activation par programme
Pour analyser les groupes actifs, vous pouvez utiliser le service : QSYS2.ACTIVATION_GROUP_INFO
— Liste des groupes par Travail
SELECT A.JOB_NAME,
count(*)
FROM TABLE (
QSYS2.ACTIVE_JOB_INFO()
) AS A
LEFT JOIN TABLE (
QSYS2.ACTIVATION_GROUP_INFO(JOB_NAME => A.JOB_NAME)
) AS G
ON 1 = 1
group by A.JOB_NAME
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;



