Sécurisez vos services IBM i ! Nous ne le répéterons jamais suffisamment : vous devez crypter les accès au telnet 5250, au serveur de base de données etc … Bref partout où transitent aussi bien vos profils/mots de passe que vos informations métier.

Nous prenons ici l’exemple de telnet, le plus visuel.

Pour crypter vos connexions telnet : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=server-assigning-certificate-telnet

En synthèse :

  1. Importer ou créer un certificat dans DCM (Digital Certificate Manager)
  2. Associer ce certificat aux services à sécuriser : TELNET ici mais aussi CENTRAL, SIGNON, DATABASE …
  3. Ne pas oublier de permettre la connexion sécurisée à telnet :
Permettre l'accès non sécurisé et sécurisé (ports 23 et 992) :
CHGTELNA ALWSSL(*YES) 

Permettre l'accès sécurisé uniquement (port 992 uniquement) :
CHGTELNA ALWSSL(*ONLY)

Dès lors vous pouvez vous connecter avec ACS en mode sécurisé. Soit en indiquant au niveau de la configuration dans l’émulateur 5250 (menu Communication puis Configuration) :

Soit au niveau de la connexion système dans sa globalité :

A la prochaine connexion vous obtenez :

Mais comment ces certificats sont-ils gérés par ACS ?

Principe d’un certificat, chaîne de certification

Un certificat est une clé de cryptage permettant de chiffrer les données entre un serveur et un client.

La question est de savoir comment faire confiance à un certificat (celui de votre banque par exemple ?).

Un certificat est lui-même signé, c’est à dire validé, par une autorité de certification à laquelle nous faisons confiance.

Exemple avec les informations issues d’un navigateur :

Le navigateur fait confiance à www.volubis.fr car le certificat est lui-même signé par « Gandi Standard SSL CA 2 » et « USERTrust RSA Certification Authority » qui sont eux connus du navigateur :

D’autres critères entrent en compte comme la durée de validité par exemple

Pour un certificat non reconnu par votre navigateur, vous avez :

Validation par Access Client Solutions

ACS va utiliser la même mécanique : si l’autorité de certification est connue de ACS, alors le certificat est validé.

Si l’autorité n’est pas connue : demande à l’utilisateur de valider ou non l’accès.

Access Client Solutions utilise plusieurs magasins de certificats pour stocker les autorités :

  • le magasin lié à votre JVM qui exécute ACS
  • un magasin propre à ACS en complément

Magasin lié à la JVM

Pour trouver la JVM utilisée par ACS :

Java utilise par défaut un magasin de certificats JAVA_HOME\lib\security\cacerts. Ce magasin est protégé par un mot de passe (défaut = changeit)

Remarque :

Cette configuration par défaut peut être modifiée par fichier de configuration ou arguments de démarrage de la JVM.

Ou outil de gestion des certificats est fourni avec votre JVM : keytool (cf https://docs.oracle.com/javase/8/docs/technotes/tools/unix/keytool.html)

Exemple :

Nous retrouvons bien notre autorité primaire « USERTrust RSA Certification Authority » :

Magasins liés à ACS

Par défaut, chaque utilisateur d’ACS dispose de son propre magasin de certificat (complémentaire à celui de l’environnement Java ci-dessus).

Dans les préférences vous retrouvez l’emplacement des configurations :

Access Client Solutions dispose également d’un outil de gestion des certificats pour son propre magasin uniquement : menu « Outils » puis « Gestion des clés » :

Cela vous permet d’importer, supprimer, voir vos certificats.

Remarque :

Cette configuration par défaut peut être modifiée par fichier de configuration AcsConfig.properties : permet d’indiquer l’emplacement du magasin de certificats.

Cas d’un certificat « internet »

Si vous avez acheté votre certificat auprès d’un organisme certificateur (Gandi pour nous, mais aussi OVH, Sectigo … Let’s encrypt gratuit), Access Client Solutions ne devrait rien vous demander et accepter directement le certificat : les autorités présentes dans le magasin associé à votre JVM permettent la validation.

Vous pouvez rencontrer des problèmes avec d’anciennes installations de Java non mises à jour : les nouvelles autorités de certification ne seront pas présentes. Bien sûr cela n’arrive jamais.

Cas d’un certificat « local »

Pour un certificat que vous avez généré sur votre IBM i, ou autre plateforme dans votre SI, si vous disposez de vos propres autorités de certification internes (fréquent dans les sociétés de grande taille) : Access Client Solutions ne dispose pas des autorités permettant la validation !

Remarque :

Si vos équipes de déploiement des postes client livrent les autorités de certification dans le magasin de la JVM, vous revenez dans le cas précédent.

A la première connexion, vous avez ce message :

Non : vous refusez la connexion

Oui : l’autorité de certification est ajoutée au magasin de certificats d’ACS.

Après avoir répondu « Oui » :

Aucun message affiché lors des prochaines connexions.

Changement de certificat

Comment faire en sorte que la sécurisation de vos services ou un changement de certificat soit transparent pour vos utilisateurs ?

Nous savons que demander à des centaines d’utilisateurs de répondre « Oui » peut générer un support très important aux équipes et être anxiogène.

Mise en place

Au-delà du certificat, il faut procéder aux changements de configurations : au niveau de la définition du système et/ou de la session 5250.

Pour le certificat, plusieurs solutions :

  1. Vous disposez d’un poste modèle sur lequel vous avez installé ACS, et importez manuellement l’autorité de certification. Il vous suffit alors de déployer le fichier cacerts de ACS sur les différents postes.

Ce dernier est ici : "C:\Users\{USER}\Documents\IBM\iAccessClient\Private\{USER}\cacerts"

  1. Dans le fichier de configuration AcsConfig.properties : vous pouvez indiquer un fichier cacerts mutualisé sur un lecteur réseau par exemple :

  1. Injection du certificat en mode commande

ACS dispose de commande, avec option silencieuse :

/PLUGIN=certdl => demande à downloader l’autorité de certification et l’importer dans le magasin

/SYSTEM=nom système configuré => depuis le système en question

A intégrer dans vos outils de déploiement pour exécution sur chaque poste client ! Le certificat est ensuite visible dans le menu « Outils » puis « Gestion des clés ».

Renouvellement

  1. Le certificat est issu de la même autorité de certification que le précédent : rien à faire ! C’est l’autorité qui est stockée, pas le certificat lui-même
  2. Le certificat est issu d’une autre autorité (autre fournisseur, autorité précédente périmée ou invalidée) : il faut injecter l’autorité dans le magasin de certificat (cf Mise en place)

En synthèse : pas de difficulté, plusieurs solutions en fonction de votre organisation et outillage !

N’oubliez pas de renouveler vos certificats avant la date d’expiration …

, Un moniteur DB limité dans le temps

La commande STRDBMON vous permet de lancer des moniteurs de base de données, si vous lancez un moniteur privé (sur le travail en cours), il prendra fin quand le job se terminera.

Mais si vous lancez un moniteur public pour tous les travaux par exemple, comment l’arrêter, vous pouvez vouloir un moniteur tous les jour de 14h à 18h pour analyser les JOB ODBC ou autres.

Nous proposons un petit code que vous pourrez améliorer qui fera cette opération :

   PGM    parm(&fil &lib &dly)
/* Ce programme démarre un moniteur base de données */
/* pour les jobs ODBC , Pendant x secondes          */
/* ce job doit être soumis dans QSYSNOMAX           */
/* par exemple                                      */
/* Paramètres */
    DCL        VAR(&FIL ) TYPE(*CHAR) LEN(10)
    DCL        VAR(&LIB ) TYPE(*CHAR) LEN(10)
    DCL        VAR(&DLY ) TYPE(*CHAR) LEN(06)
/* Variables de travail */
    DCL        &MSGID *CHAR LEN(7)
    DCL        &DATA *CHAR LEN(100)
    DCL        &ID  *CHAR LEN(10)
/* Contrôle des paramètres */
    chkobj &lib  *lib
    monmsg cpf9801 exec(do)
             SNDUSRMSG  MSG('Bibliothèque,' *BCAT &LIB *BCAT +
                          'inexistante') MSGTYPE(*INFO)
                          return
    enddo
    chkobj &lib/&fil *file
    monmsg cpf9801 exec(do)
    goto suite
    enddo
             SNDUSRMSG  MSG('Monitor,' *BCAT &fil *BCAT +
                          'déjà existant') MSGTYPE(*INFO)
                          return
    suite:
   /* démarrage */
             STRDBMON   OUTFILE(&LIB/&FIL) +
                          JOB(*ALL/QUSER/QZDASOINIT) +
                          HOSTVAR(*SECURE) COMMENT('ODBC JOBS')
   /* Lecture de l'id du moniteur  */
   /* message  CPI436A             */
             DOUNTIL    COND(&MSGID = 'CPI436A')
             RCVMSG     MSGQ(*PGMQ)           MSGDTA(&DATA) +
                          MSGID(&MSGID)
             enddo
             CHGVAR     VAR(&ID) VALUE(%SST(&DATA 29 10))
             SNDUSRMSG  MSG('Moniteur, ' *BCAT &ID *BCAT 'démarré') +
                          MSGTYPE(*INFO)
   /* Retardement de l'arrêt en secondes */
      DLYJOB     DLY(&dly)
             ENDDBMON   JOB(*ALL) MONID(&ID)
             SNDUSRMSG  MSG('Moniteur, ' *BCAT &ID *BCAT 'arrêté') +
                          MSGTYPE(*INFO)
           ENDPGM 

Vous pouvez indiquer la bibliothèque et le fichier de sortie pour le monitor et le temps d’exécution en secondes

Vous pouvez changer les filtres au niveau du STRDBMON en précisant ce que vous voulez analyser

vous pouvez faire une commande comme ceci pour lancer plus facilement votre programme !

CMD        PROMPT('DBMON limité dans le temps')          
 PARM       KWD(FILE) TYPE(*NAME) LEN(10) MIN(1) +        
              PROMPT('Fichier')                           
 PARM       KWD(LIB) TYPE(*NAME) LEN(10) MIN(1) +         
              PROMPT('Bibliothèque')                      
 PARM       KWD(DELAY) TYPE(*CHAR) LEN(06) DFT(000600) +  
              RANGE(000010 999999) MIN(0) PROMPT('Delay + 
              en secondes')                               

Conclusion

Vous pouvez le planifier dans votre Scheduler et indiquer par exemple un nom de fichier DBMAAMMJJ pour chaque jour, vous pourrez ainsi comparer au fil du temps ce qui ce passe sur cette période dans votre base de données.

Attention à bien le soumettre dans une file qui ne bloquera pas vos traitements, par exemple QSYSNOMAX ou QUSRNOMAX

, , Gérer vos SPOOLS graphiquement

Il existe 2 solutions pour gérer vos spools sans passer par un écran 5250, je vais vous les présenter.

La première solution est ACS


Vous devez avoir le java bundle sur votre PC.

Vous cliquez sur Sortie imprimante

Vous avez une grande possibilité de filtres par défaut vous voyez les spools de votre utilisateur.

En faisant un clic droit vous avez un menu qui va vous permettre de gérer vos spools, vous pouvez facilement

télécharger votre spool , il sera converti au format PDF.

La deuxième solution est Navigator for i

Se service d’administration doit être démarré

Vous devez choisir « Mes sorties imprimante »

Vous arrivez sur les spools de votre utilisateurs

Vous pouvez
Convertir en PDF
Si vous choisissez exporter, le fichier obtenu sera au format TXT
en choisissant avancé, vous pouvez gérer votre imprimante

Conclusion :


Les principales différences sont
ACS
Plus de filtres
NFI
Possibilité de convertir en txt
Possibilité de gérer l’imprimante

, , Comment tracer immédiatement la création d’un PF ou d’une table dans une bibliothèque ?

Vous voulez savoir immédiatement quand un fichier PF ou table est créé dans votre bibliothèque

4 principales techniques sont à votre disposition,

La première, les programmes d’exit

QIBM_QCA_CHG_COMMAND pour

CRTPF
CRTDUPOBJ
CPYF
MOVOBJ
RSTOBJ

QIBM_QZDA_SQL1 ou QIBM_QZDA_SQL2
Pour les create table SQL
Attention sera appelé pour chaque requête SQL sur votre système
et la syntaxe peut être compliqué

La deuxième technique consiste à utiliser la journalisation

Si votre bibliothèque est journalisée

— Mise en plage des règles d’héritages
— pour avoir tous les événnements, ce qui n’est pas le cas par défaut

ENDJRNLIB LIB(votre bib)

STRJRNLIB LIB(votre bib)
JRN(votre bib/votre journal)
INHRULES((*ALL *ALLOPR *INCLUDE *BOTH *OPNCLO))

Protocole de test

CREATE TABLE
code D Type CT

CRTPF
code D Type CT

CRTDUPOBJ
code D Type CT

MOVOBJ OBJ(GAIA/APF3) OBJTYPE(*FILE) TOLIB(GDATA)
Pas de poste est le fichier n’est pas journalisé

CPYF
code D type CT

RSTOBJ
Pas de poste et le fichier n’est pas journalisé
il est journalisé que si c’est une restauration de lui même, paramètre du RSTOBJ … STRJRN(*YES)

vous pourrez faire un programme d’exit sur le journal pour les code D type CT
mais attention donc
donc pas de poste pour les MOVOBJ et les RSTOBJ

La troisième technique est d’utiliser le journal d’audit


s’il est démarré et qu’il a la valeur *CREATE, vous allez avoir des postes code T type CO pour les créations
et OR, RA, RO pour les restaurations

Vous pourrez faire un programme d’exit sur le journal d’audit pour les postes vues ci dessous,
remarque les outils de replication logiciel utilise cette techno.

La quatrième, le journal du catalogue DB2

Le catalogue bénéficie de son propre journal, QDBJRNFILE de la Bibliothèque QRECOVERY

Quand vous créez une table ou un PF, vous avez un poste code R type PT ou PX qui sont générés

Vous pouvez mettre en place un programme d’exit journal sur celui ci

C’est une solution simple et efficace

Conclusion

Pas de solution miracle
si votre base est journalisée utiliser la solution 2 semble la plus simple
surtout que dans certain cas on ne voudra pas tracer les MOVOBJ et les RSTOBJ

Dans la dernière TR est apparue une nouveauté très intéressante « API RSE », c’est un ensemble d’API REST fournies avec votre système d’exploitation au travers du serveur ADMIN5.


Ces APIs sont utilisables depuis le web et permettent de lancer des commandes, accéder à l’IFS, de lancer de requêtes SQL…

Ce service ne fonctionne qu’en TLS vous devrez donc le sécuriser par l’administration http ://Votre_systeme:2001/HTTPAdmin

Vous devez ensuite le démarrer s’il ne l’est pas c’est le serveur ADMIN5

==>STRTCPSVR SERVER(*IAS) INSTANCE(admin5)

Ce serveur tourne par défaut sur le port 2012

https://Votre_systeme:2012/openapi/ui/

Vous devrez vous authentifiez pour commencer utilisez un user et un mot de passe ibmi, vous cliquez sur authorize

Nous allons tester une commnde CL

Vous cliquez sur try input

Vous avez un flux json avec vos commandes IBMI à l’intérieur vous cliquez sur execute

Vous avez alors le résultat

A noter que vous avez le lien, en haut pour l’intégrer dans vos applications

Conclusion
C’est gratuit c’est technologies actuelles, testez les possibilités de ce service

Pour en savoir plus


la pause café de volubis ici : https://www.volubis.fr/Pausecaf/PAUSECAF91.html

le site IBM : https://www.ibm.com/support/pages/node/6982701

, Offrez une indexation à votre IBMi avec OMNIFIND

Il existe un produit sur #IBMi qui permet d’indexer des fichiers DB (zones), des spools, des membres sources et l’IFS.

De plus en plus vous utilisez l’IFS et il peut être intéressant d’indexer les fichiers utilisateurs dans /HOME par exemple,

voici ce qu’il vous faudra faire pour démarrer avec cette solution.

Vous devez avoir le produit (gratuit) 5733OMF

la page IBM est ici

https://www.ibm.com/support/pages/omnifind-ibm-i

Vous avez plusieurs services SQL qui vont vous permettre d’administrer ce serveur

1) Vous devrez d’abord le démarrer

Vous avez un server par défaut c’est le 1

call sysproc.systs_start(1)

Pour voir si votre server est démarré vous avez un service SQL

SELECT substr(SERVERNAME, 1, 30) as serveur
, SERVERSTATUS FROM QSYS2.SYSTEXTSERVERS

Attention 0 indique démarré et 1 arrêté

vous pouvez lui donner un nom comme ceci

UPDATE QSYS2/SYSTEXTSERVERS SET SERVERNAME = ‘NOM_SERVEUR’ WHERE
SERVERID = 1

2) Vous devez créer une collection qui contiendra les éléments nécessaires à l’administration et les index par exemple

create collection omnifind

CALL SYSPROC.SYSTS_CRTCOL(‘OMNI_COL’,‘FORMAT INSO’)

Vous pouvez indiquer la fréquence de mise à jour, par défaut, pas de mise à jour automatique.

3) Vous allez ensuite créer un index, ici un index sur l’IFS

Si vous voulez indexer /HOME et les sous répertoires vous devrez utiliser la procédure suivante

SET schema pour mettre OMNI_COL comme collection par défaut

CALL MYCOLLECTION.ADD_IFS_STMF_OBJECT_SET(‘/home/’);

3) Vous allez devoir lancer la mise à jour de l’indexation

call SYSPROC.SYSTS_UPDATE(‘OMNI_COL’ , ‘IFS_OMNI_COL’)

ca peut prendre du temps

4) Vous avez une procédure qui permet de rechercher SEARCH

Vous devrez être autorisé à cette procédure

SET CURRENT SCHEMA OMNI_COL

GRANT EXECUTE ON PROCEDURE SEARCH(VARCHAR) TO QPGMR

set schema omni_col ;

CALL SEARCH(‘TEXT’)

la procédure vous renvoi un result SET que vous pouvez intégrer dans un programme RPGLE par exemple

5) Vous pouvez utiliser un dictionnaire de synonyme

Le fichier modèle se trouvera ici

/QOpenSys/QIBM/ProdData/TextSearch/server1/config/spell/Synonymes.xml

<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
<synonymgroups version="1.0">
<synonymgroup>
<synonym>cheval</synonym>
<synonym>chevaux</synonym>
</synonymgroup>
 ...

</synonymgroups>

Pour importer

Vous devrez connaitre le nom de la collection

select * from qsys2.systextindexes

Puis passer le scripte sh suivant pour faire l’importation

QSH

cd /Qopensys/QIBM/ProdData/TextSearch/server1/bin

synonymTool.sh importSynonym

-synonymFile /QOpenSys/QIBM/ProdData/TextSearch/server1/config/spell/Synonymes.xml

-collectionName ‘nom_votre_collection’ true

-configPath /QOpenSys/QIBM/ProdData/TextSearch/server1/config

Quand vous rechercherez cheval, vous aurez les fichiers qui ont également chevaux dans le texte

Conclusion:

Ca peut être intéressant d’utiliser ce type d’index pour améliorer la performance de recherche
le produit est gratuit testez le !

, Comparer les PTF de 2 systèmes

Vous avez besoin de connaitre les niveaux de PTF de 2 systèmes.

Voici comment vous pouvez faire pour comparer les PTF de 2 systèmes, avant on pouvait le faire par Navigator for i – voir le post https://www.gaia.fr/comparer-le-niveau-de-ptf-entre-2-systemes-ibmi/

Pour les groupes

Vous avez la vue QSYS2.GROUP_PTF_INFO

Vous allez devoir comparer les niveaux installés sur les 2 systèmes. Voici comment le faire simplement :

Vous devrez faire une extraction des éléments sur le système à comparer par exemple

create table gaia.remote_ptf as (
select * from QSYS2.GROUP_PTF_INFO
) with data

Vous envoyez le fichier sur la machine cible

select a.PTF_GROUP_NAME, a.PTF_GROUP_LEVEL, b.PTF_GROUP_LEVEL
from QSYS2.GROUP_PTF_INFO a join gaia.remote_ptf b on
A.PTF_GROUP_NAME = B.PTF_GROUP_NAME

pour n’avoir que les différences

select distinct
substr(a.PTF_GROUP_NAME, 1, 30) ,
a.PTF_GROUP_LEVEL, b.PTF_GROUP_LEVEL
from QSYS2.GROUP_PTF_INFO a join gaia.remote_ptf b on
A.PTF_GROUP_NAME = B.PTF_GROUP_NAME
where a.PTF_GROUP_LEVEL <> b.PTF_GROUP_LEVEL

Attention vous avez 2 niveaux de groupe dans le fichier, il faudrait améliorer le script en prenant un max pour avoir le plus haut sur les 2 systèmes

Exemple :

with
LCL (PTF_GROUP_NAME, PTF_GROUP_LEVEL) as
(
SELECT substr(PTF_GROUP_NAME, 1, 20), max(PTF_GROUP_LEVEL) FROM
QSYS2.GROUP_PTF_INFO GROUP BY PTF_GROUP_NAME
),
RMT (PTF_GROUP_NAME, PTF_GROUP_LEVEL) as
(
SELECT substr(PTF_GROUP_NAME, 1, 20), max(PTF_GROUP_LEVEL) FROM
gaia.remote_ptf GROUP BY PTF_GROUP_NAME
)
select A.PTF_GROUP_NAME, A.PTF_GROUP_LEVEL, B.PTF_GROUP_LEVEL
from LCL A join RMT B on A.PTF_GROUP_NAME = B.PTF_GROUP_NAME

Pour les PTF unitaires

Vous avez la vue QSYS2.PTF_INFO, vous pouvez également utiliser un DSPPTF en OUTFILE

Vous allez devoir trouver les PTF manquantes

Vous devrez faire une extraction des éléments sur le système à comparer par exemple

create table gaia.remote_ptf1 as (
select * from QSYS2.PTF_INFO
) with data

Vous envoyez le fichier sur la machine cible

Pour avoir les PTF qui manquent sur le remote :

SELECT a.PTF_PRODUCT_ID, a.PTF_IDENTIFIER
FROM QSYS2.PTF_INFO a exception join
gaia.remote_ptf1 b on
a.PTF_PRODUCT_ID = b.PTF_PRODUCT_ID and
a.PTF_IDENTIFIER = b.PTF_IDENTIFIER

Si voulez les PTF qui manquent sur la source, le plus simple est de changer l’ordre des fichiers :

SELECT a.PTF_PRODUCT_ID, a.PTF_IDENTIFIER
FROM gaia.remote_ptf1 a exception join
QSYS2.PTF_INFO b on
a.PTF_PRODUCT_ID = b.PTF_PRODUCT_ID and
a.PTF_IDENTIFIER = b.PTF_IDENTIFIER

Remarque :

Vous pourriez utiliser une connexion DRDA pour comparer vos fichiers sans les envoyer, si c’est paramétré chez vous
exemple :
select distinct
substr(a.PTF_GROUP_NAME, 1, 30) ,
a.PTF_GROUP_LEVEL, b.PTF_GROUP_LEVEL
from QSYS2.GROUP_PTF_INFO a join Votresystéme.QSYS2.GROUP_PTF_INFO b on
A.PTF_GROUP_NAME = B.PTF_GROUP_NAME
where a.PTF_GROUP_LEVEL <> b.PTF_GROUP_LEVEL

Mai ca ne marche pas vous ne pouvez pas joindre un système avec un distant vous devrez créer une table local

exemple :

create table qtemp/votre bib as (

select * from Votresystéme.QSYS2.GROUP_PTF_INFO

) With Data

Vous avez des outils comme ARE qui permettent également de faire ce type d’opération


un lien avec un exemple DSPPTF OUTFILE
https://www.ibm.com/support/pages/ptfs-comparing-ptfs-between-systems

Il est difficile de déboguer un watcher parce qu’on ne maitrise pas son lancement.

Voici une méthode en utilisant RDI, qui va vous permet de le faire :

  1. Trouver le nom du programme à analyser :

WRKWCH WCH(*ALL) :

  • 5 pour le détail
  • Dans RDI, clic droit sur le programme à déboguer => débogage ou couverture de code (entrée de service) => définir un point d’entrée de service

Le message d’affiche :

Pour tester, on peut simuler un traitement qui va planter. Dans notre cas, on fait un call d’un programme qui n’existe pas, et donc ça va faire un plantage dans QSYSOPR.

SBMJOB CMD(CALL PGM(GAIA/ERREURA)) 

        JOB(ERREURA)                

        JOBQ(QSYSNOMAX)         

Une fois le programme a été lancé, sur RDI s’affichera le message suivant :

Cliquer sur « Afficher *LISTING »

Pour avancer d’un pas on peut utiliser la touche F5 ou en cliquant sur la flèche :

Pour afficher les valeurs des variables il suffit de passer la souris sur le nom de la variable :

Conclusion : c’est une solution simple pour déboguer un watcher ou un programme dont vous ne maitrisez pas le lancement.

Le programme doit être compilé avec le source.

Vous devrez avoir le droit pour faire ce type d’opération. Soit au niveau de profil, soit par les fonctions usages.

, , Informations sur les SAVF

Les groupes DB2 pour la TR2 de la V7R5 et de la TR8 de la V7R4 sont disponibles, une des nouveautés c’est les vues sur les fichiers de sauvegarde

La première vue sur les SAVF SAVE_FILE_INFO permet d’avoir des informations sur le SAVF

par exemple
vous voulez connaitre les SAVF qui date de plus de 6 mois

select * from QSYS2.SAVE_FILE_INFO
where SAVE_TIMESTAMP < current date – 6 month
order by SAVE_TIMESTAMP desc

Vous pouvez par exemple utiliser la fonction SQL QCMDEXC pour faire le ménage plus d’informations ici
https://www.gaia.fr/qcmdexc-en-fonction-sql/

La deuxième vue sur les objets sauvegardés dans les SAVF, QSYS2.SAVE_FILE_OBJECT permet d’avoir des informations sur les ojets contenus dans le SAVF

Par exemple vous voulez savoir, si un objet est dans une sauvegarde et sa date de sauvegarde

select * from QSYS2.SAVE_FILE_OBJECTS
where OBJECT_NAME = ‘votre objet’ and OBJECT_TYPE = ‘votre type’
order by SAVE_TIMESTAMP desc

Attention
Ces fonctions sont à lancer en batch, c’est des informations qui mettent du temps à être extraites

, Migration en V7R4 et IFS

Il est possible que vous ayez un effet de bord sur les fichiers téléchargés par FTP ou SFTP par exemple dans vos cpyfrmstmf ou cpyfrmimpf vous avez un plantage.

Les fichiers étaient jusqu’ici encodés en CCSID = 819 et maintenant par défaut, ils sont encodés en CCSID = 1208

Le problème est référencé ici

https://www.ibm.com/support/pages/after-v7r4-upgrade-encoding-scheme-not-compatible-utilizing-gifsgatecpyfrmstmf-gentran-server-iseries

En résumé, vous devez rajouter une variable d’environnement et redémarrer vos services

Voici comment ?

// Ajout d’une variable d’environnement

ADDENVVAR ENVVAR(PASE_DEFAULT_UTF8) VALUE(N) LEVEL(*SYS)

// Redémarrage du FTP

STRTCPSVR SERVER(*FTP)

ENDTCPSVR SERVER(*FTP)

// Redémarrage du SFTP

ENDTCPSVR SERVER(*SSHD)

STRTCPSVR SERVER(*SSHD)

Conclusion :

Ca vous permet de contourner le problème, mais le mieux est de passer en unicode donc CCSID = 1208