, , /Include contre /Copy

On entend beaucoup de choses, je vais essayer de vous clarifier un peu les choses

Les directives /COPY et /INCLUDE sont identiques sauf qu’elles sont gérées différemment par le précompilateur SQL, en gros si vous codez avec un Source en SQLRPGLE.

Sur la commande CRTSQLRPGI vous avez le paramètre RPGPPOPT
Permet d’indiquer si le compilateur ILE RPG va être appelé pour prétraiter le membre source avant lancement de la
précompilation SQL. Cette étape sur le membre source SQL permet de traiter certaines instructions de compilation
avant la précompilation SQL. Le source prétraité est placé dans le fichier QSQLPRE de la bibliothèque QTEMP.
Il servira à la précompilation SQL. puis à la complilation RPGLE

3 valeurs possibles sont :
*NONE
Le compilateur n’est pas appelé pour le prétraitement.
*LVL1
Le compilateur est appelé pour le prétraitement afin de développer /COPY et traiter les instructions de compilation conditionnelles à l’exception de /INCLUDE.
*LVL2
Le compilateur est appelé pour le prétraitement afin
de développer /COPY et /INCLUDE et traiter les instructions de compilation conditionnelles

voici un exemple
Un module utilise la description d’un fichier qui est dans un include

le source à inclure

sa déclaration dans le programme ou le module

.

Compile avec *NONE

Compile avec *LVL2

Remarque
Si vous faites du SQLRPGLE, ce qui est fortement recommandé à ce jour forcer cette valeur *LVL2 comme ca pas de doute !

Conversion RPG FREE

Il existe de nombreuses méthodes pour convertir du code RPGLE colonné vers du RPG FREE.

La plupart des conversions se passent sans problème, mais on constate que le code RPG ou RPG IV colonné pouvait être plus permissif et permettre des choses que le FREE ne tolère pas.

Voici un exemple qu’on a rencontré récemment, on est d’accord il résulte d’une incohérence dans le développement initial,
mais jusque la ça passait à l’exécution.

En RPGIV colonné

c z-add 9999999 zone7 7 0
c z-add zone7 zone5 5 0
c eval *inlr = *on

Quand vous exécutez ce code, il n’y a pas d’erreur, on est d’accord le résultat est faux …

En RPGIV FREE

**free
Dcl-S zone5 Zoned(5:0);
Dcl-S zone7 Zoned(7:0);
ZONE7 = 9999999 ;
ZONE5 = ZONE7 ;
*inlr = *on ;

Quand vous exécutez ce code, il y a un plantage, ce qui est normal

Conclusion

On peut donc tomber sur quelques cas que le RPG III ou IV acceptait mais que le nouveau code ne permet plus.
C’est bien sûr du code de mauvaise qualité, et la réécriture peut s’avérer nécessaire surtout si on rencontre des instructions déstructurantes comme des GOTO par exemple.

, Utilisation du MD5 sur votre IBM i

Bien que le MD5 ne soit plus utilisé pour l’encryption, il est toujours utilisé pour valider l’authenticité et la conformité des fichiers.

Qu’est-ce qu’un MD5

Un md5 est une chaine de 16 caractères composée de symboles hexadécimaux. Il s’agit en réalité du nom de l’algorithme utilisé pour générer la chaine.

Comme indiqué précédemment son usage est le contrôle d’intégrité des fichier, par exemple lors du partage d’un fichier, on peut mettre à disposition le MD5 afin de contrôler que le téléchargement du fichier s’est bien passé ou que le fichier n’a pas été modifié entre temps.

Pour la suite nous aurons besoin d’un fichier, par simplicité j’utiliserai un simple .txt qui contient la phrase « This is not a test! » présent dans mon répertoire de l’ifs.

Fichier dans l’ifs/home/jl/file.txt
Contenu du fichierThis is not a test!
md5EDA20FB86FE23401A5671734E4E55A12

QSH – md5sum

La première méthode pour générer le MD5 d’un fichier est d’utiliser la commande unix md5sum via QSH :

$ /QOpenSys/pkgs/bin/md5sum /home/jl/file.txt
eda20fb86fe23401a5671734e4e55a12  /home/jl/md5.txt

La fonction retourne le hash et le chemin du fichier.

RPGLE – _cipher

Il est également possible de générer le MD5 via RPG en exploitant la procédure externe cipher.
Je ne m’épancherai pas sur son implémentation complète ici, car bien plus complexe que les deux autres méthodes présentées. De plus, passer par cette méthode, n’est plus le sens de l’histoire.

// Déclaration de la procédure
dcl-pr cipher extproc('_cipher');
	*n pointer value;
	*n pointer value;
	*n pointer value;
end-pr;

// Appel de la procédure
cipher(%ADDR(receiver) : %ADDR(controls) : %ADDR(source));

Lien vers la documentation IBM pour plus d’informations :
https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=ssw_ibm_i_74/rzatk/CIPHER.htm

SQL – hash_md5

En sql on retrouve la fonction hash_md5, qui retourne le hash d’une chaine de caractère passée en paramètre.

❗ Attention à l’encodage de votre chaine de caractères. ❗

Pour que le résultat soit cohérent entre différents systèmes il faut commencer par convertir la chaine de caractère en UTF-8 :

VALUES CAST('This is not a test!' AS VARCHAR(512) CCSID 1208); -- 1208 = UTF-8
-- Retour : This is not a test!

Le résultat est plutôt flagrant ! D’accord pas vraiment… Par contre si on regarde la valeur hexadécimale de la chaine avec et sans conversion :

VALUES HEX('This is not a test!');
-- Retour : E38889A24089A2409596A3408140A385A2A34F

VALUES HEX(CAST('This is not a test!' AS VARCHAR(512) CCSID 1208));
-- Retour : 54686973206973206E6F742061207465737421

Le hachage se fait en hexadécimal, donc le résultat ne serait pas le même sans conversion préalable.

Il suffit maintenant de hacher notre chaine de caractères :

VALUES HASH_MD5(CAST('This is not a test!' AS VARCHAR(512) CCSID 1208));
-- Retour : EDA20FB86FE23401A5671734E4E55A12

On obtient donc la même valeur que celle que l’on a obtenu précédemment (puisque que le contenu de notre fichier est strictement égale à cette chaine de caractère).

La dernière étape est de générer le MD5 directement à partir du fichier, pour cela il suffit d’utiliser la fonction GET_BLOB_FROM_FILE :

VALUES HASH_MD5(GET_BLOB_FROM_FILE('/home/jl/file.txt')) WITH CS;
-- Retour : EDA20FB86FE23401A5671734E4E55A12

Autres algorithmes de hash

Il existe d’autres algorithmes de hash qui permettent de hacher du texte et des fichiers.
Trois autres algorithmes sont généralement disponibles :

  • sha1 (qui génère une chaine de 20 de long)
  • sha256 (qui génère une chaine de 32 de long)
  • sha512 (qui génère une chaine de 64 de long)

QSH

CommandeRésultat
/qopensys/pkgs/bin/sha1sum /home/jl/file.txt10e2e89feb9287eea7a4b7b849b7a380d95c05b9 /home/jl/file.txt
/qopensys/pkgs/bin/sha256sum /home/jl/file.txtff8fb31c076b42fd63377e7ea4747f98c34291ac6e5f53cfd3940913bc9d7d37 /home/jl/file.txt
/qopensys/pkgs/bin/sha512sum /home/jl/file.txt658efb990d2765ca65adb570daa198ef6bee55e39d3a7b7fa31270c35fdf9ee523ce638dea4796ea8923a2ad428e23d23b62175b26494fa8fdca49d5e85ce502 /home/jl/file.txt

SQL

SyntaxeRésultat
VALUES HASH_SHA1(CAST(‘This is not a test!’ AS VARCHAR(512) CCSID 1208));10E2E89FEB9287EEA7A4B7B849B7A380D95C05B9
VALUES HASH_SHA256(CAST(‘This is not a test!’ AS VARCHAR(512) CCSID 1208));FF8FB31C076B42FD63377E7EA4747F98C34291AC6E5F53CFD3940913BC9D7D37
VALUES HASH_SHA512(CAST(‘This is not a test!’ AS VARCHAR(512) CCSID 1208));658EFB990D2765CA65ADB570DAA198EF6BEE55E39D3A7B7FA31270C35FDF9EE523CE638DEA4796EA8923A2AD428E23D23B62175B26494FA8FDCA49D5E85CE502

Pour plus de détails

MD5 : https://fr.wikipedia.org/wiki/MD5
md5sum : https://fr.wikipedia.org/wiki/Md5sum
Fonction sql HASH() : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=sf-hash-md5-hash-sha1-hash-sha256-hash-sha512
Fonction sql BLOB() : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=functions-get-blob-from-file
CCSID : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=information-ccsid-values-defined-i
cypher : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=ssw_ibm_i_74/rzatk/CIPHER.htm
, , Utilisation du catalogue DB2

Il existe de nombreuses tables dans QSYS qui constituent le catalogue DB2,
Ces tables sont accessibles par des vues qui se trouvent dans QSYS2 de manière globale et dans les bibliothèques de vos collections SQL.

On utilise pas assez ces informations pour analyser la base de données, elles contiennent une multitude d’informations

On va faire une petit exemple:

Imaginons que nous voulons savoir ou est utilisée une zone


Nous fixerons la database par set schema , pour éviter les qualifications

exemple de manière globale
SET SCHEMA QSYS2

On va utiliser une vue qui s’appelle SYSCOLUMNS qui contient les zones de votre database

SELECT
A.SYSTEM_COLUMN_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_SCHEMA
FROM SYSCOLUMNS A
WHERE COLUMN_NAME = ‘NUMCLI’

Vous obtenez une liste de tous les fichiers (tables, vue, PF, LF) etc …

Imaginons ensuite que vous ne vouliez que les tables ou PF vous pouvez utiliser la vue SYSTABLES

SELECT a.SYSTEM_COLUMN_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_SCHEMA
FROM SYSCOLUMNS a join SYSTABLES b on A.SYSTEM_TABLE_NAME=b.SYSTEM_TABLE_NAME
and a.SYSTEM_TABLE_SCHEMA = b.SYSTEM_TABLE_SCHEMA and B.TABLE_TYPE in(‘T’ , ‘P’)
WHERE COLUMN_NAME = ‘NUMCLI’

Vous limitez ainsi votre recherche aux tables et PF

Imaginons maintenant que vous ne vouliez que les tables et PF qui ont été utilisées sur l’année flottante (13 mois), on va utiliser la vue SYSTABLESTAT

SELECT a.SYSTEM_COLUMN_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_NAME,
A.SYSTEM_TABLE_SCHEMA
FROM SYSCOLUMNS a join SYSTABLES b on A.SYSTEM_TABLE_NAME=b.SYSTEM_TABLE_NAME
and a.SYSTEM_TABLE_SCHEMA = b.SYSTEM_TABLE_SCHEMA and B.TABLE_TYPE in( ‘T’ , ‘P’)
join SYSTABLESTAT c on A.SYSTEM_TABLE_NAME=c.SYSTEM_TABLE_NAME
and a.SYSTEM_TABLE_SCHEMA = c.SYSTEM_TABLE_SCHEMA and c.LAST_USED_TIMESTAMP >
(current date – 13 months)
WHERE COLUMN_NAME = ‘NUMCLI’

Cette exemple n’est pas parfait, mais il vous montre qu’avec le catalogue db2 et un peu de SQL vous pouvez avoir de nombreuses informations pertinentes sur cette dernière .
Vous pouvez par exemple avoir des informations statistiques sur vos colonnes par la vue SYSCOLUMNSTAT et une vue globale avec la vue SYSFILES qui permet d’avoir un bon résumé de vos fichiers

https://www.ibm.com/support/pages/node/6486897


Voici un lien qui vous présente les vues disponibles,

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=views-i-catalog-tables

Contrôlez un numéro de sécu

Voici une fonction RPGLE pour contrôler un numéro de sécurité sociale.


Elle reçoit une variable caractère de 15 de long qui contient le numéro de sécu + sa clé
et renvoie un booléen indiquant si la clé calculée est différente ou égale de la clé passée.


C’est une fonction que vous pouvez inclure dans un programme de service par exemple !

Voici le code à inclure dans votre programme de service :

dcl-proc Check_Numero_Secu export;
    dcl-pi *n ind;
        numSecu char(15) const;
    end-pi;

    select;
      when %SUBST(numSecu : 6 : 2) = '2A';
        numSecu = %SUBST(numSecu : 1 : 5) + '19' + %SUBST(numSecu : 8 : 7);
      when %SUBST(numSecu : 6 : 2) = '2B';
        numSecu = %SUBST(numSecu : 1 : 5) + '18' + %SUBST(numSecu : 8 : 7);
    endsl;

    return (97 - (%DEC(%SUBST(numSecu : 1 : 13) : 13 : 0)
              - %DEC(%DEC(%SUBST(numSecu : 1 : 13) : 13 : 0) / 97 : 13 : 0) * 97)
           = %DEC(%SUBST(numSecu : 14 : 2) : 2 : 0));
end-proc;             

Voici le code à inclure dans source de liage :

EXPORT SYMBOL(« CHECK_NUMERO_SECU »)  

Voici le code a ajouter dans dans votre programme pour pouvoir utiliser votre contrôle :

dcl-PR Check_Numero_Secu ind ;        
 W_Num_Sec char(15);                  
end-pr ;                              

// dans votre code

if Check_Numero_Secu ind(‘16403323470623’) ;

  dsply ‘error’ ;

endif;

Remarque :

Vous pouvez améliorer le code en mettant votre code sous monitor pour éviter les numéros de sécu incomplets

, , , , Verrouiller vos sources pour VSCODE

Une des difficultés, quand on développe avec VSCE sur IBMi ,
C’est que si on est 2 deux à modifier le même source, c’est le dernier qui a raison avec perte de modification du premier même s’il a sauvegardé

Voici comment on peut améliorer les choses.
On va créer un fichier base de données qui liste les sources qui sont en cours de maintenance, un peu comme un ALM.

Avec GIT on peut arriver à des mécanismes identiques, et surtout, il faut commencer à mettre vos sources dans l’IFS directement

Voila comment, vous pouvez faire pour améliorer les choses

CREATE TABLE DB_OPENLCK (FICHIER CHAR ( 10) NOT NULL WITH
DEFAULT, BIBLIO CHAR ( 10) NOT NULL WITH DEFAULT, MEMBRE CHAR ( 10)
NOT NULL WITH DEFAULT, PARTAGE CHAR ( 3) NOT NULL WITH DEFAULT,
PUSER CHAR ( 10) NOT NULL WITH DEFAULT, PDATE DATE NOT NULL WITH
DEFAULT, PTIME TIME NOT NULL WITH DEFAULT)

Pour ajouter un source à verrouiller

INSERT INTO DB_OPENLCK VALUES(‘QRPGLESRC’, ‘GDATA’, ‘AAAA’,
‘NON’, ‘PLB’, current date, current time)

Et parmi les programmes d’exit il en a un qui va nous permettre de mettre en œuvre ce contrôle
C’est le QIBM_QDB_OPEN

On va donc écrire un programme, ici en SQLRPGLE

**free
//
// ce programme permet d'éviter de travailler à 2 sur un même source
//
Dcl-Pi *N;
  DS_parm          likeds(ds_parm_t) ;
  reponse          int(10);
End-Pi;
// dsprogramme
 dcl-ds *N PSDS ;
  nom_du_pgm CHAR(10) POS(1);
  init_user  CHAR(10) POS(254);
  enc_user  CHAR(10) POS(358);
End-ds ;
// ds format  DBOP0100
Dcl-DS ds_parm_t qualified template ;
  taille_entete  Int(10);
  format         Char(8);
  offset_liste   Int(10);
  nbr_fichiers   Int(10);
  taille_liste   Int(10);
  job            Char(10);
  profil         Char(10);
  jobnbr         Char(6);
  cur_profil     Char(10);
  reste          Char(1024);
End-DS;
  // liste des fichiers dans notre cas un seul
Dcl-DS liste  ;
  fichier       Char(10);
  biblio        Char(10);
  membre        Char(10);
  filler         Char(2);
  typefichier    Int(10);
  sous_jacent    Int(10);
  access         Char(4);
End-DS;
// variable de travail
Dcl-S partage      char(4);
Dcl-S puser      char(10);

ds_parm.offset_liste += 1;
dsply   enc_user ;

  liste = %subst(ds_parm : ds_parm.offset_liste :
  ds_parm.taille_liste);

    ds_parm.offset_liste += ds_parm.taille_liste;
 // lecture des informations dans le fichier de verrouillage explicite
 // le verrouillage est donc par utilisateur
   exec sql
   SELECT PARTAGE, PUSER into :partage , :puser
      FROM DB_OPENLCK WHERE FICHIER = :FICHIER and BIBLIO
             = :BIBLIO and MEMBRE = :MEMBRE  ;
   //
   // La régle mise en oeuvre ici
   // on autorise
   // si même utilisateur
   // si non trouvé en modification
   // Si on on a dit partage à oui
   //
  if (sqlcode = 100  or partage = 'OUI' or puser = enc_user) ;
    reponse = 1 ;
  else ;
    reponse = 0 ;
  endif ;
  // fin de programme

*inlr = *on; 

ici notre règle est la suivante
on autorise
Si le source n’est pas présent dans le fichier
Si l’utilisateur est le même que celui en cours
Si on a accepté le partage et donc le risque

Pour ajouter votre pgm exit

SYSTEM/ADDEXITPGM EXITPNT(QIBM_QDB_OPEN)
FORMAT(DBOP0100)
PGMNBR(1)
PGM(GDATA/OPENSRC)
REPLACE(*NO)

Quand on essaye d’accéder par VSCDE à notre source

Remarque


Le contrôle marche aussi avec RDI
Il marche également pour SEU, parfois on préfère un contrôle spécifique SEU, vous devrez utiliser le programme d’exit
QIBM_QSU_ALW_EDIT en utilisant le même fichier par exemple !

 **free                                                                                       
 //                                                                                           
 // Ce programme eviter de travailler à 2 sur un même source                                 
 //                                                                                           
 Dcl-Pi *N;                                                                                   
   biblio     char(10);                                                                       
   fichier    char(10);                                                                       
   membre     char(10);                                                                       
   reponse    char(1);                                                                        
 End-Pi;                                                                                      
 // dsprogramme                                                                               
  dcl-ds *N PSDS ;                                                                            
   nom_du_pgm CHAR(10) POS(1);                                                                
   init_user  CHAR(10) POS(254);                                                              
   enc_user  CHAR(10) POS(358);                                                               
 End-ds ;                                                                                     
                                                                                              
 Dcl-S partage      char(4);                                                                  
 Dcl-S puser      char(10); 
                                                                           
 // lecture des informations dans le fichier de verrouillage explicite     
 // le verrouillage est donc par utilisateur                               
   exec sql                                                               
   SELECT PARTAGE, PUSER into :partage , :puser                           
      FROM DB_OPENLCK WHERE FICHIER = :FICHIER and BIBLIO                 
             = :BIBLIO and MEMBRE = :MEMBRE  ;                            
   //                                                                     
   // La règle mise en œuvre ici                                         
   // on autorise                                                         
   // si même utilisateur                                                 
   // si non trouvé en modification                                       
   // Si on on adit partage à oui                                         
   //                                                                     
  if (sqlcode = 100  or partage = 'OUI' or puser = enc_user) ;            
    reponse = '1' ;                                                       
  else ;                                                                  
    reponse = '0' ;                                                       
  endif ;     
  // fin de programme    
                         
*inlr = *on;      

On ajoute comme ca

SYSTEM/ADDEXITPGM EXITPNT(QIBM_QSU_ALW_EDIT)
FORMAT(EXTP0100)
PGMNBR(1)
PGM(GDATA/OPENSRCE)
REPLACE(*NO)


Ca ne fait pas tout, que faire si on est 2 sur le même source ? peut être faut il avoir un source de référence pour éviter le versionnage

Remarque :

Pour diminuer le nombre d’appels du programme d’exit , vous pouvez limiter le déclenchement aux fichiers qui sont audités.

Vous devez indiquer le paramètre PGMDTA(*JOB *CALC ‘*OBJAUD’) sur les commandes ADDEXITPGM ou CHGEXITPGM.

Exemple :

ADDEXITPGM EXITPNT(QIBM_QDB_OPEN)

PGMDTA(*JOB *CALC ‘*OBJAUD’)

Vous devez ensuite indiquer les fichiers à auditer :

Exemple :

CHGOBJAUD OBJ(GDATA/QRPGLESRC)
OBJTYPE(FILE) OBJAUD(CHANGE)

A partir de ce moment la, seuls les fichiers audités déclencheront l’appel du programme d’exit QIBM_QDB_OPEN

, Texte dynamique dans vos commandes

Vous pouvez demander à générer le texte des commandes que vous allez créer à l’utilisation non à la compilation !

Vous devez créer un fichier de message avec vos messages

Vous pouvez ensuite coder votre commande ici LSTFIC

CMD PROMPT(TXT0001) PMTFILE(CMDTXT DYNAMIC)

PARM KWD(BIBLIO) TYPE(NAME) LEN(10) PROMPT(TXT0002)

le fichier message peut être indiqué de 2 manières dans la commande CMD paramètre PMTFILE()
ou
à la compile dans la commande de génération CRTCMD
CRTCMD … PMTFILE()

c’est le paramètre dynamic qui permet cette possiblité

Utilisation

==>LSTFIC <F4>

Exemple pour gérer votre traduction
vous créer
Un fichier message en anglais dans une bibliothèque


vous mettez votre bibliothèque avant l’autre dans la liste des bibliothèques et voila

Utilisation

==>LSTFIC <F4>

Remarque :


Je n’ai pas mis ici le programme de traitement, il reçoit un paramètre char de 10
Ca ne concerne pas les messages d’erreur c’est le paramètre MSGF()
Attention s’il ne trouve pas votre message il ne plante pas vous aurez l’ID du message affiché, exemple TXT0001

, , , Paramétrer NGINX en SSL sur votre IBMi

Une fois que vous avez installé NGINX , vous voudrez sans doute le sécuriser

Voici comment le sécuriser

Pour notre exemple

nous générerons nous même les clés de cryptographie

Nous allons générer 2 fichiers qui vont contenir vos clés
un fichier .pem et un fichier .key
par convention on les appellera cert
on choisira un certificat de type x509 valable une année

pour cela on va utiliser OPENSSL, vous devrez donc vérifier que le produit est installé

sous QSH voici la commande à passer

openssl req -newkey rsa:2048 -nodes -keyout /home/nginx/cert.key -x509 -days 365 -out /home/nginx/cert.pem

Après avoir répondu aux questions vous obtenez vos 2 certificats

Maintenant vous allez devoir indiquer à nginx qu’il est protégé par ces clés

Vous allez devoir modifier le fichier de configuration de nginx dans notre cas celui par défaut
bien sur vous sauvegardez avant l’ancien /QOpenSys/etc/nginx/nginx.conf

Une fois que vous avez fait votre modification vous devez arrêter le serveur nginx et le redémarrer

nginx -c /QOpenSys/etc/nginx/nginx.conf -s stop
puis
nginx -c /QOpenSys/etc/nginx/nginx.conf

Pour tester vous allez indiquer https://votreserveur:1880
dans notre cas le port est 1880.

Vous allez recevoir une alerte de sécurité , c’est normal votre certificat de n’a pas de racine connue
Vous répondez une fois ou de manière définitive et vous obtenez votre première page et vous voyez le https:

, , Utiliser un USER SPACE en SQL

Depuis la TR6 de la V7R4, vous pouvez manipuler entièrement les objets de type *USRSPC
Rappel depuis la TR4 vous pouviez les lire

voici la liste des commandes à utiliser avec un exemple

Création, procédure, CREATE_USER_SPACE

CALL QSYS2.CREATE_USER_SPACE(USER_SPACE => ‘MONUSRSPC’,
USER_SPACE_LIBRARY => ‘GDATA’,
SIZE => 100,
PUBLIC_AUTHORITY => ‘*CHANGE’);


Ecriture, procédure, CHANGE_USER_SPACE ou CHANGE_USER_SPACE_BINARY

CALL QSYS2.CHANGE_USER_SPACE(USER_SPACE => ‘MONUSRSPC’,
USER_SPACE_LIBRARY => ‘GDATA’,
DATA => ‘Tester c »est douter , corriger c »est adbiquer’,
START_POSITION => 1);

Lecture, fonction table, USER_SPACE

SELECT Substr(DATA , 1 , 100) FROM TABLE(QSYS2.USER_SPACE(
USER_SPACE => ‘MONUSRSPC’,
USER_SPACE_LIBRARY => ‘GDATA’));

il existe d’autres services SQL , pour manipuler les USER SPACE

QSYS2.USER_SPACE_INFO pour avoir les informations du user space

SELECT * FROM TABLE(QSYS2.USER_SPACE_INFO(
USER_SPACE => ‘USRSPC1’,
USER_SPACE_LIBRARY => ‘GDATA’));

mais aussi pour modifier


QSYS2.CHANGE_USER_SPACE_ATTRIBUTES()

vous pouvez facilement intégrer ces requêtes dans du RPGLE par exemple

On utilise de plus en plus java dans les travaux de votre IBMi et on a parfois besoin d’avoir des informations d’exécution

Voici comment connaitre la version de la JVM d’un travail ?

2 solutions simples

==> WRKJWMJOB

Puis 5 puis 1

Ou en utilisant sql services par la vue QSYS2.JVM_INFO

exemple :

select JOB_NAME, JAVA_HOME from qsys2.JVM_INFO

plus d’informations ici

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.3?topic=usage-java-system-properties