On connait les triggers before et after, mais on peut créer des triggers instead of pour remplacer l’action prévue, par exemple en écrivant dans une autre table
Ce type de trigger ne peut être mis que sur des vues
Voici un exemple
Création d’une table des frais
CREATE TABLE PLB/CLIENT_FRAIS ( NOM CHAR ( 40) NOT NULL WITH DEFAULT, PRENOM CHAR ( 30) NOT NULL WITH DEFAULT, MONTANT DEC ( 9, 2) NOT NULL WITH DEFAULT, NUMEMP CHAR ( 6) NOT NULL WITH DEFAULT)
Création d’une table audit des frais
CREATE TABLE PLB/AUDIT_FRAIS ( NUMEMP CHAR ( 06) NOT NULL WITH DEFAULT, MONTANT DEC ( 9, 2) NOT NULL WITH DEFAULT, DATFRAIS DATE NOT NULL WITH DEFAULT, HEUREFRAIS TIME NOT NULL WITH DEFAULT)
Création d’une vue sur la table des frais
CREATE VIEW PLB/CLIENT_FRAIS_vue AS SELECT * FROM PLB/CLIENT_FRAIS
Création d’un trigger Instead of sur cette vue Qui quand on écrit dans la table des frais remplace cette écriture par une écriture dans le fichiers des audits de frais.
CREATE TRIGGER INSTEADTEST INSTEAD OF INSERT ON CLIENT_FRAIS_vue REFERENCING NEW AS N FOR EACH ROW MODE DB2ROW BEGIN ATOMIC INSERT INTO AUDIT_FRAIS VALUES(N.NUMEMP, N.MONTANT, current date , current time);
END;
Test ajout d’un enregistrement
INSERT INTO PLB/CLIENT_FRAIS VALUES(‘Bouzin’, ‘Maurice’, 12100, 253)
Vous retrouvez l’enregistrement dans le fichier audit de frais et non celui des frais
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2024-01-18 16:59:252024-01-30 17:00:12Requêtes SQL dans ACS extraites de Navigator for i
Depuis la V7R1 (SF99701 – DB2 – niveau 23), on peut invoquer des web service via SQL. Les fonctions se trouvent dans SYSTOOLS.
En V7R4 TR5, sont sorties de nouvelles fonctions, elles se trouvent dans QSYS2.
Outre les fonctions HTTP, celles pour encoder / décoder en base64 et pour encoder / décoder L’URL, ont aussi été implémentées dans QSYS2.
Rappel des différences entre ces fonctions
Tout d’abord les performances. Les fonctions de QSYS2 permettent un gain non négligeable, elles sont basé sur les fonctions AXIS en C natif, contrairement à celles de SYSTOOLS qui sont basées sur des classes java.
Les paramètres dans l’entête ou le corps du message sont transmis en JSON pour les fonctions de QSYS2, à la place de XML pour celle de SYSTOOLS.
La gestion des certificats est simplifiée par l’utilisation de DCM, alors qu’avec les fonctions de SYSTOOLS, il fallait pousser le certificat dans le magasin du runtime java utilisé par les fonctions HTTP. En cas de multiple versions de java installées, il fallait s’assurer de laquelle servait pour les fonctions HTTP. L’ajout du certificat, se faisait via des commandes shell.
Les types et tailles des paramètres des fonctions ont été adaptés pour ne plus être des facteurs limitants de l’utilisation des fonctions SQL, voici quelques exemples :
Certaines utilisations ont aussi été simplifiées en automatisant des tâches.
Prenons l’exemple d’un appel à un web service avec une authentification basique. Le couple profil / mot de passe doit être séparé par « : » et l’ensemble encoder en base64. C’est la norme HTTP.
Dans le cas des fonctions de SYSTOOLS, il fallait effectuer l’ensemble des opérations, alors qu’avec les fonctions de QSYS2, il suffit de passer le profil et le mot de passe dans la propriété BasicAuth. La mise en forme et l’encodage étant faits directement par les fonctions AXIS :
Il y a par contre un cas limitatif des fonctions QSYS2, que IBM a rajouté, alors que la norme HTTP autorise ce type d’appel.
Il s’agit d’avoir une authentification basique sur un appel en http.
Ce cas n’est pas trop contraignant, aujourd’hui le https est la norme et le http quasiment disparu…. quasiment ! Nous rencontrons encore chez nos clients des web services « interne » en http. La migration en https n’étant pas vendeur auprès des directions qui n’y voit aucun gain pour le métier. C’est l’éternel problème des changements structurels en IT.
Dans ces cas, la fonction de QSYS2, renverra une erreur, assez claire !
Le premier réflexe est de voir avec le fournisseur du service s’il ne dispose pas d’une version en https.
Maintenant, si vous n’avez pas d’autre choix que d’appeler un web service en http avec authentification basique, il faudra continuer d’utiliser les fonctions de SYSTOOLS. Dans tous les autres cas, aucune hésitation, utilisez les fonctions de QSYS2.
Mais mettons nous d’accord, de l’authentification basique en http, ce n’est pas de la sécurité, c’est une absurdité.
En http, le message passe en clair sur la trame réseau, avec votre profil / mot de passe, encodé en base 64, et non encrypté, donc en clair eux aussi.
Edit :Précision apportée par Gautier Dumas de CFD-innovation. Merci à lui. On peut contourner le problème avec les fonctions de QSYS2. Il ne faut pas utiliser la propriété BASICAUTH, mais construire l’authentification basique comme on le faisait avec celle de SYSTOOLS. VALUES QSYS2.HTTP_GET( ‘http://hostname/wscommon/api/contacts’, ‘{« header »: »Authorization, BASIC dGVzdHVzZXI6dGVzdHB3ZA== »}’); Il n’y a donc vraiment plus de raison de continuer avec les fonctions de SYSTOOLS !
Vous pouvez utiliser le catalogue base de données pour identifier vos informations sensibles
Pour cela vous allez utiliser les vues syscolumns de QSYS2 (norme IBMi) ou sqlcolumns de SYSIBM (norme DB2)
Vous pouvez rechercher toutes les zones qui contiennent (email, mail, RIB, IBAN, ETC..)
Dans notre exemple , on recherchera les zones IBAN dans toutes les tables en analysant : Nom de zone SQL Nom de zone IBMI Entête de colonne Texte de colonne
Sans différentiation de majuscule minuscule
Et on sortira la liste des droits public sur ces objets
— liste des fichiers avec une zone IBAN
— Avec un IBAN
SELECT COLUMN_NAME AS Zone,
IFNULL(COLUMN_HEADING, ' ') AS Entete,
IFNULL(COLUMN_TEXT, ' ') AS Text,
TABLE_SCHEMA AS bibliotheque,
TABLE_NAME AS fichier,
(SELECT OBJECT_AUTHORITY
FROM QSYS2.OBJECT_PRIVILEGES
WHERE SYSTEM_OBJECT_SCHEMA = TABLE_SCHEMA
AND OBJECT_NAME = TABLE_NAME
AND OBJECT_TYPE = '*FILE'
FETCH FIRST ROW ONLY) AS DROIT_public
FROM qsys2.syscolumns
WHERE COLUMN_NAME LIKE ('%IBAN%')
OR SYSTEM_COLUMN_NAME LIKE ('%IBAN%')
OR UCASE(COLUMN_HEADING) LIKE ('%IBAN%')
OR UCASE(COLUMN_TEXT) LIKE ('%IBAN%');
Conclusion :
Ca veut dire que toutes les tables avec *public à *USE sont visualisables par tous les utilisateurs de la machine.
Pour sécuriser vous devez le faire sur les fichiers Soit – Mettre en place des droits sur l’objet, attention l’utilisateur peut avoir droit à ce fichier quand il est dans l’application. Soit – Sécuriser un service d’accès par exemple ici ODBC, pour éviter un accès remote, (Fonctions usage ou programme d’exit sont les meilleurs solutions)
Bien sur si vous créez de nouvelle table vous pouvez crypter ces zones, ce qui la rendrait illisible à un utilisateur qui ne connait pas la clé
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-12-18 10:00:302023-12-18 15:55:55Vue rapide du catalogue DB2
Vous désirez connaitre la taille occupée par les MTI (Maintained Temporary Index) sur votre machine, voici une Méthode. Vous avez des buckets (espaces dans votre mémoire centrale) sur votre partition.
Vous avez un service QSYS2.SYSTMPSTG qui permet de voir ces buckets
La taille des MTI, c’est le bucket 14
Voici la requête pour voir cette taille
SQL SELECT CURRENT TIMESTAMP AS date_heure, BUCKET_NUMBER, GLOBAL_BUCKET_NAME, BUCKET_CURRENT_SIZE, BUCKET_LIMIT_SIZE FROM QSYS2.SYSTMPSTG WHERE bucket_number = 14
Pour diminuer cette taille il faut créer les index qu’Index advisor vous suggère.
Vous avez une fonction table qui vous indique les MTIs de votre système, QSYS2.MTI_INFO
Ceux qui concernent votre base de données doivent être construits
Ici ceux utilisés depuis une semaine sur la bibliothèque exploit !
SELECT * FROM TABLE ( QSYS2.MTI_INFO(‘EXPLOIT’, ‘*ALL’) ) WHERE LAST_BUILD_START_TIME > CURRENT DATE – 7 DAYS
Remarque :
Cet espace sera réutilisé par les autres Buckets
Vous pouvez faire un suivi de ces buckets , par exemple ceux de la base de données pour voir les grandes variations
La mise à jour du fichier d’index Advisor dépendra de la méthode utilisée pour générer l’index, n’hésitez pas à effacer des enregistrements dans le fichier QSYS2.SYSIXADV.
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-11-27 17:15:012023-11-28 09:55:34Connaitre la taille vos MTI
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-11-19 20:07:162023-11-19 20:07:17Générer un XLS avec SQL
La TR3 de la V7R5, nous apporte une nouvelle fonction table qui va nous permettre d’analyser plus finement et surtout plus simplement la fin d’un travail, soit en réalité le message CPF1164, en effet on a accès directement au code secondaire .
Exemple :
SELECT FROM_JOB, JOB_END_CODE, JOB_END_DETAIL, SECONDARY_ENDING_CODE, SECONDARY_ENDING_CODE_DETAIL FROM TABLE ( SYSTOOLS.ENDED_JOB_INFO() ) WHERE JOB_END_CODE > 10
Remarque :
Par défaut il analyse la veille soit (current date – 1)
Administration, SQL_DB2Comprendre comment un travail interactif est affecté à un sous système.
C’est des entrées écran qui peuvent être indiquées sur des sous systèmes, par les commandes ADDWSE et CHGWSE.
Il va utiliser le nom de l’unité écran, il va faire la recherche dans cet ordre :
-Par nom -par nom générique -*all
Vous avez un service SQL qui permet de les visualiser QSYS2.WORKSTATION_INFO
Voici une requête qui permet de voir et comprendre les entrées de votre système
SELECT A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION_LIBRARY, A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION, WORKSTATION_NAME
FROM QSYS2.WORKSTATION_INFO as A Join QSYS2.SUBSYSTEM_INFO AS B
on A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION_LIBRARY= b.SUBSYSTEM_DESCRIPTION_LIBRARY and
A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION = b.SUBSYSTEM_DESCRIPTION
and B.STATUS = 'ACTIVE' and ALLOCATION = '*SIGNON'
where WORKSTATION_NAME not like('%*%')
union
SELECT A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION_LIBRARY, A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION, WORKSTATION_NAME
FROM QSYS2.WORKSTATION_INFO as A Join QSYS2.SUBSYSTEM_INFO AS B
on A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION_LIBRARY= b.SUBSYSTEM_DESCRIPTION_LIBRARY and
A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION = b.SUBSYSTEM_DESCRIPTION
and B.STATUS = 'ACTIVE' and ALLOCATION = '*SIGNON'
where WORKSTATION_NAME like('%*%')
union
SELECT A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION_LIBRARY, A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION, WORKSTATION_TYPE
FROM QSYS2.WORKSTATION_INFO as A Join QSYS2.SUBSYSTEM_INFO AS B
on A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION_LIBRARY= b.SUBSYSTEM_DESCRIPTION_LIBRARY and
A.SUBSYSTEM_DESCRIPTION = b.SUBSYSTEM_DESCRIPTION
and B.STATUS = 'ACTIVE' and ALLOCATION = '*SIGNON'
where WORKSTATION_TYPE = '*ALL'
En principe ca représentera l’ordre de recherche dans votre #ibmi
Remarque :
Quand 2 entrées sont démarrés avec le même critère c’est le premier qui est pris en compte Ici les entrées QPADEV* entrerons dans QINTER On peut également faire des entrées par type les 2 principaux sont IBM-3477-FC 132 IBM-3179-2 80 https://www.rfc-editor.org/rfc/rfc1205 Mais à éviter pas simple à gérer
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-11-03 11:43:412023-11-03 11:43:44Comprendre comment un travail interactif est affecté à un sous système.
Comment gérer simplement les informations de modifications sur les enregistrements utilisateur + date de création ou de modification
Vous connaissez la méthode applicative par sql ou update
Vous connaissez la méthode par trigger after, vous modifiez les zones dans le buffer après avec les informations en cours.
Voici un solution ou vous n’avez rien à faire, vous laissez faire SQL
Soit la table suivante des applications :
CREATE TABLE APPLICATION1 FOR SYSTEM NAME APPLICAT1 ( DESCRIPTION_APPLICATION FOR COLUMN DES_APP CHAR(50) NOT NULL WITH DEFAULT, APPLICATION_CODE FOR COLUMN APP_COD CHAR(8) NOT NULL WITH DEFAULT,
/* Informations de mise à jour */ APPAUSRCHG VARCHAR(18) GENERATED ALWAYS AS (USER), APPATMPCHG TIMESTAMP FOR EACH ROW ON UPDATE AS ROW CHANGE TIMESTAMP NOT NULL, APPAUSRCRT CHAR(18) NOT NULL DEFAULT USER IMPLICITLY HIDDEN, APPATMPCRT TIMESTAMP NOT NULL DEFAULT CURRENT_TIMESTAMP IMPLICITLY HIDDEN ) Explications :
GENERATED ALWAYS AS (USER), indique que la zone est systématiquement forcée avec l’utilisateur en cours FOR EACH ROW ON UPDATE AS ROW CHANGE TIMESTAMP indique qu’a chaque modification, vous aurez la date en cours DEFAULT USER indique valeur par défaut utilisateur en cours DEFAULT CURRENT_TIMESTAMP indique valeur par défaut date en cours HIDDEN indique que la zone n’apparaitra pas dans un select *
UPDATE GDATA.APPLICATION1 SET DESCRIPTION_APPLICATION = ‘TEST2’, APPLICATION_CODE = ‘test2’ WHERE DESCRIPTION_APPLICATION = ‘TEST’
Visualisation du résultat
Sauf zones cachées
SELECT * ROM GDATA.APPLICATION1
Avec les zones cachés
SELECT DESCRIPTION_APPLICATION, APPLICATION_CODE, APPAUSRCHG, APPATMPCHG, APPAUSRCRT, APPATMPCRT FROM GDATA.APPLICATION1
Remarques : Les zones user devront être sur 18 en varchar Vous devez utiliser le format explicite pour la création Voila , Simple et efficace Merci à Patrick pour son exemple de code
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-09-07 21:19:252023-09-12 11:35:57Tables avec informations de création et modification