Il est difficile de déboguer un watcher parce qu’on ne maitrise pas son lancement.
Voici une méthode en utilisant RDI, qui va vous permet de le faire :
Trouver le nom du programme à analyser :
WRKWCH WCH(*ALL) :
5 pour le détail
Dans RDI, clic droit sur le programme à déboguer => débogage ou couverture de code (entrée de service) => définir un point d’entrée de service
Le message d’affiche :
Pour tester, on peut simuler un traitement qui va planter. Dans notre cas, on fait un call d’un programme qui n’existe pas, et donc ça va faire un plantage dans QSYSOPR.
SBMJOB CMD(CALL PGM(GAIA/ERREURA))
JOB(ERREURA)
JOBQ(QSYSNOMAX)
Une fois le programme a été lancé, sur RDI s’affichera le message suivant :
Cliquer sur « Afficher *LISTING »
Pour avancer d’un pas on peut utiliser la touche F5 ou en cliquant sur la flèche :
Pour afficher les valeurs des variables il suffit de passer la souris sur le nom de la variable :
Conclusion : c’est une solution simple pour déboguer un watcher ou un programme dont vous ne maitrisez pas le lancement.
Le programme doit être compilé avec le source.
Vous devrez avoir le droit pour faire ce type d’opération. Soit au niveau de profil, soit par les fonctions usages.
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2022/08/IMG-20200712-WA0017.jpg1024768admin/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngadmin2023-05-23 09:40:572023-05-29 17:07:14DEBOGUER UN WATCHER
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-05-20 08:21:172023-05-20 08:21:18Informations sur les SAVF
Quand un travail démarre, il crée dans la log système un message CPF1124 et un message CPF1164 quand il se termine.
C’est comme ca qu’on sait qu’un job à tourné
Mais attention, Il existe des travaux pour lesquels les messages CPF1124 et CPF1164 ne sont pas logués dans QHST : il s’agit des SPAWN jobs.
Les travaux QP0ZSPWP & QP0ZSPWT en sont de bons exemples.
Spawn batch jobs : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=jobs-spawn-batch
Spawn est une fonction qui crée un nouveau processus de travail (processus enfant) qui hérite de nombreux attributs du processus appelant (processus parent). Un nouveau programme est spécifié et commence à s’exécuter dans le processus enfant. Lorsque vous lancez un travail par lots, vous utilisez un travail parent pour transmettre des arguments et des variables d’environnement au travail enfant. L’API spawn() utilise des travaux batch immédiats, des travaux pré-démarrés ou des travaux batch pré-démarrés.
Il existe un comcept dans SQL sur les tables qui s’appelle les zones cachées. Je vais essayer de vous expliquer ce que c’est.
Exemple :
CREATE TABLE SALAR ( NUMERO CHAR(6) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT » , NOM CHAR(20) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT » , PRENOM CHAR(30) CCSID 1147 NOT NULL DEFAULT » , SALAIRE DECIMAL(5, 0) NOT NULL DEFAULT 0 IMPLICITLY HIDDEN )
Pour faire simple ces des zones qui n’apparaîtront pas si vous faites un select *
Il y plusieurs buts à cette démarche , caché sommairement des informations ou simplifier des requêtes en cachant des informations utiles et enfin les zones complétables automatiquement les bien connues date, heure et utilisateur de modification. Maintenant que vous savez ce que c’est je vais vous expliquer l’impact sur vos développements existants. D’abord bien sûr si vous avez des select * dans vos développements ça produira une erreur si vous respectez les règles de développement vous ne devriez pas en avoir. Ensuite sur les insert , par défaut il ne connait que les zones non cachées vous devrez indiquer explicitement les zones cachées que vous voulez alimenter.
Conclusion Ça peut être intéressant dans certains cas pour éviter une vue qui aurait juste pour fonction de limiter les zones. Attention toutefois, si voulez utiliser cette possibilité toutes les zones sont visibles dans les invites Sql …
Et enfin une zone ajoutée même en hidden change le niveau de format puisqu’il est calculé sur l’ensemble des zones.
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2017/02/team3.png600600Pierre-Louis BERTHOIN/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngPierre-Louis BERTHOIN2023-03-15 10:00:392023-03-21 07:01:33Les zones HIDDEN en SQL
L’utilisateur doit avoir un répertoire initial dans l’IFS. (C’est lui qui sera indiqué par le ~ dans les commandes ci-dessous) Produits Open Sources : OpenSSL SFTP
S’assurer que le service SSH est démarré :
Démarrage du service SSH
S’assurer que le service SSH est démarré :
WRKTCPSTS OPTION(*CNN)
S’il n’est pas démarré, via 5250 :
STRTCPSVR SERVER(*SSHD)
Génération des clefs SSH
En 5250 (QSH ou QP2TERM) :
CALL PGM(QP2TERM)
S’il n’exsite pas, on crée le répertoire .ssh, via la commande mkdir, dans le répertoire par défaut de l’utilisateur, on lui attribue les droits de lecture, écriture et execution via la commande chmod, puis on execute la commande ssh-keygen :
Generating public/private rsa key pair.
Your identification has been saved in /home/exploit/.ssh/sftp_key.
Your public key has been saved in /home/exploit/.ssh/sftp_key.pub.
The key fingerprint is:
SHA256:pDxRGtx4YBKbsHTVLpDg8OXyF5VcSBKgfpX4eGXqaGY
The key's randomart image is:
+---[RSA 2048]----+
|. +.**BO++. |
| = Bo*oBB |
| * =.*o+ |
| . o =.O. |
| . + O.S |
| . = . |
| E . |
| + |
| |
+----[SHA256]-----+
Informations supplémentaires :
Options
-t Type de clef créée.
-b Nombres de bits dans la clef créée.
-f Fichier de sortie.
-N Phrase de chiffrement.
Mise en place de la configuration des clefs
Côté client
ATTENTION aux droits des fichiers contenus dans le dossier /.ssh qui ne doit contenir, en principe, que les clefs privées et le fichier config (qui est optionnel).
Côté serveur
S’il n’exsite pas, on crée le répertoire .ssh sur le serveur, via la commande mkdir, dans le répertoire par défaut de l’utilisateur, on lui attribue les droits de lecture, écriture et execution via la commande chmod :
mkdir ~/.ssh
chmod 700 ~/.ssh
Déposer la clef publique sur le serveur distant puis, ajouter la clef publique au fichier authorized_keys :
cat [sshKey.pub] >> authorized_keys
Puis vérifier le propriétaire et les droits du fichier authorized_keys:
Les tables de conversion sont des objets de type *TBL
Vous en trouvez un grand nombre dans QSYS ou QUSRSYS les 2 plus connues sont
QEBCDIC *TBL QSYS ASCII TO EBCDIC TRANSLATE TO ASCII QASCII *TBL QSYS EBCDIC TO ASCII TRANSLATE TO EBCDIC
elles servent à convertir une donnée, elle sont utilisées dans certaines commandes FTP ou QUERY Etc …
Vous pouvez également les utiliser vous dans vos développements (bien qu’aujourd’hui SQL semble une meilleur alternative)
Imaginons que vous voulez crypter quelque chose par exemple dans une field proc et que pour vous l’utilisation des API Qc3EncryptData et Qc3DecryptData soit un peu compliqué.
Vous pouvez utiliser cette solution c’est pas le top mais la multiplication des moyens de cryptage ralenti les hackers …
Vous devrez donc créer votre table de conversion dans un fichier source le plus souvent QTBLSRC
Vous devez alors compiler votre table par la commande CRTTBL …
j’ai choisi pour mon exercice de faire une table alternative, la première fois elle crypte la deuxième elle decrypte
il existe une API système qui s’appelle QCDXLATE qui a un format très simple
Nous utilisons de plus en plus de certificats pour crypter nos communications. Leur gestion via DCM sur l’IBM i devient donc de plus en plus nécessaire et « subtile ».
Les outils standards
Interface web de DCM (Digital Certificate Manager)
Beaucoup plus pratique et réactive depuis sa réécriture, elle comprend l’ensemble des fonctions (presque en réalité) : création des autorités, création des certificats, gestion des applications (au sens DCM), affectation, renouvellement, importation et exportation :
C’est propre, pratique.
Pour rappel, le principe : DCM permet de gérer les certificats (stocker, renouveler etc …), mais également de les affecter à une ou plusieurs applications IBM i. La notion d’application dans DCM est proche d’une notion de service : serveur telnet, serveur http, serveur ou client FTP et bien d’autres.
Ainsi un certificat peut être assigné à aucune, une ou plusieurs applications :
Et chaque application dispose de ses propres attributs, permettant par exemple de choisir les niveaux de protocoles :
A priori, on a pas de raison d’aller modifier ces attributs très souvent, l’interface web est parfaite pour ces actions
Services SQL
Pour plus de facilité, et de capacité d’automatisation, IBM délivre une fonction table (UTDF) : qsys2.certificate_info
Grâce à Jesse Gorzinski (M. Open Source chez IBM), vous disposez également de commandes shell pour effectuer les principales actions de DCM : création, affectation de certificats, liste …
Il faut absolument l’installer, cela vous permet d’automatiser de nombreuses actions courantes.
Exemple :
Les applications ?
« Houston, nous avons un problème ! ». Pas si grave non plus …
Il est facile de déterminer quels sont les certificats expirés ou qui vont expirer. Donc ceux à renouveler (création par DM ou importation). Par contre, seul l’interface web de DCM permet de voir les applications assignées, et donc les impacts de la péremption du certificat !
La connaissance des applications est primordiale : certaines nécessitent un arrêt/redémarrage du service (donc une interruption pour les utilisateurs), d’autres non.
Si aucune application n’est liée, on ne va peut être rien faire. Sinon, on va anticiper (sisi).
DCM permet de voir les applications, mais il vous faut aller sur le certificat et voir le détail par l’interface graphique. Donc humainement sur chacune de vos partitions.
API -> fonction table (UDTF)
Cette information est accessible par les APIs de DCM.
Pour plus de faciliter, nous vous proposons une fonction table SQL : listedcmapplication
L’objectif est de lister les applications ET les certificats associés :
Les deux paramètres permettent de sélectionner les applications avec ou sans certificat, les applications serveur ou client.
Vous pouvez également facilement utiliser les informations conjointes de qsys2.certificate_info. Par exemple, quels certificats vont expirer dans le mois et quelles sont les applications impactées :
Le code est open source, il est perfectible, n’hésitez pas à participer !
Quelques idées : agrégation des informations de différentes partitions, service correspondant actif ou non …
https://www.gaia.fr/wp-content/uploads/2023/02/dcm.png268618Nathanaël Bonnet/wp-content/uploads/2017/05/logogaia.pngNathanaël Bonnet2023-02-14 08:33:362023-02-14 08:35:31Gérer vos certificats par DCM
Le SQL package est un objet qui stocke des informations pour en tirer partie au cours d’une future utilisation, depuis l’arrivée du moteur SQE, ils sont utilisés en second par rapport au cache SQL
Il faut différencier 2 types de SQL PACKAGE :
Les sql packages qui font partie de votre programme pour les SQL statiques, vous pouvez les consulter par la commande PRTSQLINF de votre programme sqlrpgle qui produira un spool comme celui ci :
On voit que également en ayant utilisé une variable hôte que l’information n’apparait pas en claire
Il existe une deuxième catégorie de packages SQL qui sont dus à l’utilisation du Extended Dynamic SQL, ce sont des objets qui sont créés essentiellement pour des accès ODBC et dynamiques, ce sont des objets de type *SQLPKG, ils sont en principe créés dans la bibliothèque qui contient la base de données. SQL utilisera les informations qui sont stockées à l’intérieur quand il en aura besoin. Il est difficile de voir le contenu des ces objets , cependant vous pouvez faire un dump de cet objet, par la commande DMPOBJ comme ci-dessous , mais encore une fois pas de contenu des variables hôtes.
Ces objets peuvent être supprimés, le système les recréera automatiquement quand, par exemple, vous changez de version d’IBM i ou quand il occupe trop de place. Attention cependant, il en existe certains qui font partie de SQL comme
QSQLPKG2 de QSYS QSQXDPKG de QSYS
En règle générale, il ne faut pas toucher à ceux dont le nom commence par Q, ni aux objets qui sont dans QSYS.
Vous avez installé un nouveau système et il vous manque des fonctions usage dans navigator for i , attention il y a des fonctions qui ne sont pas administrables par cette interface mais uniquement en 5250 par la commande =>WRKFCNUSG, cela dépendra de la catégorie :
Pour gérer plus simplement les utilisateurs pour les fonctions non administrées dans navigator for i , (par exemple QIBM_DB_ZDA qui sert pour autoriser les accès ODBC) nous proposons un produit téléchargeable à cette adresse https://github.com/Plberthoin/PLB/blob/master/WRKUSRUSG/
Vous pouvez gérer le comportement globale de la fonction <F10> et les users en exception <F6>
Maintenant ,voici comment ajouter celles qui sont administrables et que vous ne voyez pas
Leur affichage dans Navigator for i peut dépendre des produits installés sur votre partition
Ouvrir l’onglet
Ajouter des fonctions dans fonctions usage
Puis choisir dans les actions
sélectionnez l’enregistrement des fonctions
Quand vous revenez dans liste des fonctions, vous en avez maintenant beaucoup plus
On peut analyser les violations des fonctions usage, c’est les postes de type GR dans le journal d’audit.
Soit par un DSPJRN
Soit par une requête SQL
Liste des violations de Fonction Usage sur la journée précédente !
SELECT *
FROM TABLE (
SYSTOOLS.AUDIT_JOURNAL_GR (STARTING_TIMESTAMP => CURRENT DATE – 1 DAYS))
WHERE FUNCTION_REGISTRATION_OPERATION = ‘USAGE FAILURE’
Conclusion :
L’utilisation de certaines de ces fonctions devient primordiale, et il faudra s’habituer à les utiliser .
Vous pouvez ajouter ou supprimer des fonctions liées à des applications installées sur votre partition dans navigator for i mais toutes ne sont pas gérées dans l’interface !