Fenêtre sans le mot clé WINDOW

Vous connaissez tous le mot clé WINDOW dans les DDS qui vous permet d’afficher une fenêtre.

Cette solution a certaine contraintes comme les réaffichages par exemple.

Voici une alternative qui permet d’afficher une fenêtre sans utiliser ce mot clé

Le code l’écran

     A*%%TS  SD  20231003  225454  PLB         REL-V7R4M0  5770-WDS
     A* EXEMPLE DE FENETRE SANS WINDOW
     A*
     A*%%EC
     A                                      DSPSIZ(24 80 *DS3)
     A                                      USRDSPMGT
     A                                      INDARA
     A          R FMT01
     A*%%TS  SD  20231003  225454  PLB         REL-V7R4M0  5770-WDS
     A                                      CA03(03)
     A                                      CA12(12)
     A                                      SLNO(01)
     A                                      CLRL(*NO)
     A            TITRE         25A  O 15 45DSPATR(HI)
     A                                      DSPATR(RI)
     A                                 16 45' '
     A                                      DSPATR(HI)
     A                                      DSPATR(RI)
     A            TEXTE01       21A  O 16 47
     A                                 16 69' '
     A                                      DSPATR(HI)
     A                                      DSPATR(RI)
     A                                 17 45' '
     A                                      DSPATR(HI)
     A                                      DSPATR(RI)
     A            TEXTE02       21A  O 17 47
     A                                 17 69' '
     A                                      DSPATR(RI)
     A                                      DSPATR(HI)
     A                                 18 45' '
     A                                      DSPATR(HI)
     A                                      DSPATR(RI)
     A            TEXTE03       21A  O 18 47
     A                                 18 69' '
     A                                      DSPATR(HI)
     A                                      DSPATR(RI)
     A                                 19 45' F2=Valider       F3=Fin '
     A                                      DSPATR(HI)
     A                                      DSPATR(RI)

Le programme RPGLE

**free
// Affiche une fenêtre sans window
// renvoi OK si vous appuyez sur <ENTER>
// renvoi KO si vous appuyez sur F3 ou F12
// call fenetre ('Titre' 'texte01' 'texte02' 'texte03' ' ')
dcl-f fenetre  workstn  ;
  dcl-pi *N ;
   Titre   char(25);   // Titre fenêtre
   Texte01 char(21);   // texte première ligne
   Texte02 char(21);   // texte deuxiéme ligne
   Texte03 char(21);   // texte troisième ligne
   Retour  char(2);    // code retours
  end-pi ;
if %parms = 0 ;
  dsply ('Ce programme nécessite 6 paramètres') ;
else ;
  // Affichage format
  Exfmt FMT01 ;
  if *in03 or *in12 ;
    Retour = 'KO' ;
  else ;
    Retour = 'OK' ;
  endif ;
endif;
// Fin de programme
*inlr = *on ;

Exemple :

call fenetre (‘Titre’ ‘texte01’ ‘texte02’ ‘texte03’ ‘ ‘)


, , , Effacer la log de votre travail

Vous faites le l’administration, le plus souvent en 5250 sous l’écran de commandes IBMI
==> call QCMD

Vous voulez effacer la log que vous voyez par la commande DSPJOBLOG.

La première solution consiste à vous déconnecter, du coup la log est effacée ou transformée en spool.

Cette méthode efface tout le contexte mis en place, liste de bibliothèques , variables d’environnement, objets dans QTEMP que vous avez peut être mis beaucoup de temps à construire dans vos tests.

L’idée c’est d’avoir une solution moins radicale qui permette de n’effacer que la log de votre travail, c’est pourquoi vous devriez avoir dans vos tools un outil comme celui la

Une commande qu’on a appelé astucieusement CLRLOG que vous pouvez trouver ici

https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/CLRLOG

Comme le code est simple on le remet ici

On utilise la commande RMVMSG qui n’est utilisable que dans un programme CLLE

Le programme en CLLE

 PGM /*------------------------------------*/        
 /* Supprime les messages de votre log     */        
 /* Ne supprime pas les messages *PGMQ     */        
 /*----------------------------------------*/        
              RMVMSG     PGMQ(*ALLINACT) CLEAR(*ALL) 
              RMVMSG     PGMQ(*EXT) CLEAR(*ALL)      
 ENDPGM                                              

La commande

 /* Supprime les messages de votre log     */ 
CMD        PROMPT('Clearer la log de votre job') 

Remarque :

Cette commande n’efface pas les messages de type *PGMQ

, Différence touche CAXX et touche CFXX

Vous avez encore des développements en 5250 avec des DSPF et vous vous posez la question : dois je utiliser une touche CA ou CF ?

Nous allons essayer de vous apporter quelques éclaircissements sur les usages et les bonnes pratiques

Première chose, vous pouvez utiliser une touche de fonction de 2 manières

CA03(03)
ou
CA03 uniquement

Avec CA03(03), vous testerez *IN03 dans vos programmes RPGLE et &IN03 en CLLE.
Avec CA03, vous testerez *INKC dans vos programmes RPGLE et c’est plus compliqué à gérer en CLLE.

Jusque la on utilisait les indicateurs *inka … pour économiser les indicateurs de 01 à 24 (99 disponibles),
sur les nouveaux développement on utilise moins d’indicateurs et plus de fonctions intégrées comme %EOF(). Il est donc conseillé d’utiliser les indicateurs *IN01 à *IN24 ; de plus vous pouvez les renommer pour rendre plus lisible dans les programmes !

Pour ce faire, vous devez déclarer votre écran en INDARA pour indiquer que les indicateurs sont séparés du flux des données.

A* Niveau fichier dans le dds :
A INDARA

Dans le source du programme RPG :
dcl-f
MONECR WORKSTN
indds(DS_Ind)
;
Dans les déclaration :

Dcl-DS DS_Ind len(99);
// Touches de fonctions
Sortie ind pos(3);
Liste ind pos(4);
Reaffichage ind pos(5);
Creer ind pos(6);
Valider ind pos(10);
Annuler ind pos(12);

End-DS;

Conseil

Comme vous devez vous baser sur la NORME AUA , vous pouvez faire un include avec ces touches de fonction.

dans le code vous pouvez indiquer :


IF SORTIE ;

Comment déclarer les touches dans vos DDS ?
Vous pouvez les déclarer

  • au niveau du fichier, votre touche sera utilisable dans tous les formats.
    C’est le cas par exemple de CA03 pour sortir.
  • au niveau du format, on ne peut pas redéclarer une touche déjà décrite au niveau fichier

Exemple :


A* niveau fichier
A CA03(03)
A R PREMIER
A
A R DEUXIEME
A* niveau du format
A CA12(12)

vous pourrez utiliser :
CA03 sur le format PREMIER
CA03 et CA12 sur le DEUXIEME

Plus vous serez précis dans vos déclarations, plus vos programmes serons clairs et précis.
Toutes les touches déclarées dans les formats doivent être traitées dans le code.
Si vous utilisez une touche dans un programme et qu’elle n’est pas traitée … ça peut poser problème, du genre mise à jour sans lecture de l’écran.

Pourquoi CA et pas CF !?

Pour vous expliquer nous avons choisi de faire ce petit exemple (écran + programme RGPLE)

le programme CACF

**free                                
Ctl-Opt DFTACTGRP(*NO) ;              
Dcl-f CACF      WORKSTN ;             
dou *in07 or *in08                  ; 
  exfmt fmt01                       ; 
  dsply zone                        ; 
enddo                               ; 
*inlr = *on                         ; 

Et l’écran CACF

     A*%%TS  SD  20230914  164942  PLB         REL-V7R4M0  5770-WDS             
     A*%%EC                                                                     
     A                                      DSPSIZ(24 80 *DS3)                  
     A          R FMT01                                                         
     A*%%TS  SD  20230914  164942  PLB         REL-V7R4M0  5770-WDS             
     A                                      CA07(07)                            
     A                                      CF08(08)                            
     A                                  4 10'Test pour comprendre la différence-
     A                                       entre une touche CA et CF'         
     A                                      DSPATR(HI)                          
     A                                  9 10'Saisir une valeur ici '            
     A                                  9 33':'                                 
     A            ZONE           1A  B  9 35VALUES('1' '2')                     
     A                                  9 38'Veuillez saisir 1 ou 2'            
     A                                      DSPATR(HI)                          
     A                                 20 10'CA07==> Sortir sans lecture'       
     A                                 21 10'CF08==> Sortir avec lecture'       

Où il est possible d’utiliser les touches de fonction 07 déclarée CA et 08 déclarée CF.

f

Premier test

Vous tapez directement F7 ou F8, le comportement est le même si votre buffer n’a pas été modifié, il n’y a pas de lecture.
Pour déterminer si le buffer est modifié le système se sert d’un octet attribut (dans le format ou dans la zone) dans le quel on un MDT qui sera à *ON.
Si le buffer ou la zone à été modifiée. vous devrez forcer ce tag dans le cas ou contrôlez des données.

C’est le mot clé DSPATR(MDT) dans les DDS qui permet ça, vous pouvez le conditionner par un indicateur.

Deuxième test

Vous saisissez 9 dans l’écran.
F7 sort directement et tient pas compte de la saisie, c’est ce qui convient pour les touches F3 ou F12.
F8 déclenche une lecture avant de sortir et comme on a fait le choix de contrôler la valeur saisie à 1 ou 2, on est bloqué jusqu’à ce qu’on ait renseigné la zone à la bonne valeur,
C’est ce qui convient pour les touches F6 ou F10.
On imagine bien que si vous avez 10 zones avec contrôles, ça poser problèmes quel que soit le contrôle

Rappel sur l’ordre à faire sur vos contrôles

1) Contrôle de valeurs, gérer par VALUES() ou CHECK() dans le DDS, aucun code à traiter côté programme.

2) Contrôles de dépendance exemple borne début < borne de fin (toutes les informations de l’écran sont suffisantes pour le contrôle).

3) Contrôles nécessitants une ressource externe, le plus souvent en base de données (saisie d’un numéro de client à contrôler).

La règle si la valeur saisie n’est pas bonne ce n’est pas la peine de faire le contrôle suivant !

Conseil :
Soyez précis dans vos déclarations dans le niveau format ou tous les format au fichier.
et n’utilisez les touches CF que quand vous devrez traiter les données de l’écran.

Merci à Nicolas pour son aide !

, Tables avec informations de création et modification

Comment gérer simplement les informations de modifications sur les enregistrements
utilisateur + date de création ou de modification

Vous connaissez la méthode applicative par sql ou update

Vous connaissez la méthode par trigger after, vous modifiez les zones dans le buffer après avec les informations en cours.

Voici un solution ou vous n’avez rien à faire, vous laissez faire SQL

Soit la table suivante des applications :

CREATE TABLE APPLICATION1 FOR SYSTEM NAME APPLICAT1 (
DESCRIPTION_APPLICATION FOR COLUMN DES_APP CHAR(50) NOT NULL WITH DEFAULT,
APPLICATION_CODE FOR COLUMN APP_COD CHAR(8) NOT NULL WITH DEFAULT,

/* Informations de mise à jour */
APPAUSRCHG VARCHAR(18) GENERATED ALWAYS AS (USER),
APPATMPCHG TIMESTAMP FOR EACH ROW ON UPDATE AS ROW CHANGE TIMESTAMP NOT NULL,
APPAUSRCRT CHAR(18) NOT NULL DEFAULT USER IMPLICITLY HIDDEN,
APPATMPCRT TIMESTAMP NOT NULL DEFAULT CURRENT_TIMESTAMP IMPLICITLY HIDDEN
)
Explications :

GENERATED ALWAYS AS (USER), indique que la zone est systématiquement forcée avec l’utilisateur en cours
FOR EACH ROW ON UPDATE AS ROW CHANGE TIMESTAMP indique qu’a chaque modification, vous aurez la date en cours
DEFAULT USER indique valeur par défaut utilisateur en cours
DEFAULT CURRENT_TIMESTAMP indique valeur par défaut date en cours
HIDDEN indique que la zone n’apparaitra pas dans un select *

Exemple d’insertion

INSERT INTO GDATA.APPLICATION1 (
DESCRIPTION_APPLICATION,APPLICATION_CODE ) VALUES ( ‘TEST’, ‘TEST’ )

Exemple de mise à jour

UPDATE GDATA.APPLICATION1
SET
DESCRIPTION_APPLICATION = ‘TEST2’,
APPLICATION_CODE = ‘test2’
WHERE DESCRIPTION_APPLICATION = ‘TEST’

Visualisation du résultat

Sauf zones cachées


SELECT * ROM GDATA.APPLICATION1

Avec les zones cachés

SELECT DESCRIPTION_APPLICATION, APPLICATION_CODE, APPAUSRCHG,
APPATMPCHG, APPAUSRCRT, APPATMPCRT FROM GDATA.APPLICATION1

Remarques :
Les zones user devront être sur 18 en varchar
Vous devez utiliser le format explicite pour la création
Voila , Simple et efficace
Merci à Patrick pour son exemple de code

Ajouter de l’aide à vos DSPF

Vous voulez ajouter de l’aide à vos écrans DSPF ?

Nous allons vous présenter la méthode que nous utilisons en interne.

Nous avons choisi, comme format, les aides en UIM (panel de groupe).

Pour mettre en place de l’aide sur vos écrans vous devez faire 2 choses :

Mettre en place les mots clés dans le source de votre DSPF

D’abord au niveau fichier (au début du source) :

A                                      HLPTITLE('AIDE GPARAME')   
A                                      HLPPNLGRP(GPARAME GPARAME) 
A                                      ALTHELP(CA01)              
A                                      HELP                       
  • HLPTITLE indique le titre de votre fenêtre d’aide
  • HLPPNLGRP indique le nom du panel de groupe (conseil : mettre le même nom)
  • HELP pour pouvoir utiliser la touche de fonction Aide
  • ALTHELP pour indiquer que l’aide pourra être invoqué par F1, ce qui est le standard AUA

Ensuite au niveau du format (après la carte qui contient le R du format correspondant) :

A          H                           HLPPNLGRP('GPARAME/GLOG GPARAME')
A                                      HLPARA(*FLD GLOG)                
  • HLPPNLGRP indique le panneau d’aide et le groupe
  • HLPARA aire pour laquelle ce panneau sera affiché, *FLD pour indiquer une zone

https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=80-hlppnlgrp-help-panel-group-keyword-display-files

Créer votre panneau d’aide

Vous devez coder un source en UIM, qui correspond aux déclarations que vous avez indiqué dans votre DSPF :

                                       
:PNLGRP.                                        
:HELP NAME = 'GPARAME' .AIDE (GPARAME).         
:XH3. AIDE GPARAME.                             
:P.                                             
Ce programme vous permet de (ici descriptif général du programme)                
:EHELP.                                         
:HELP NAME = 'GPARAME/GLOG' .AIDE (GLOG).       
:XH3. AIDE GLOG.                                
:P.                                             
Cette zone (ici descriptif de la zone)                                 
:EHELP.  
...
:EPNLGRP.                                        

C’est relativement simple à faire, vous pouvez utiliser tout le langage UIM.

Pour en savoir plus sur UIM : https://www.ibm.com/docs/en/i/7.4?topic=interfaces-user-interface-manager

Vous devez compiler votre panel de groupe :

==> CRTPNLGRP PNLGRP(lib/pannel) SRCFILE(libsrc/QPNLSRC)

Voici un exemple de ce que cala donne en faisant <F1> sur une Zone ici numéro de série

Pour vous aider, nous proposons un outil qui vous permet de générer les mots clés nécessaires pour le DSPF et le squelette de votre panel de groupe. Vous pouvez trouver l’outil ICI il s’appelle GENUIMDSP :

https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/GENUIMDSP

Vous devez indiquer le fichier écran , le source avec les mots clés ici QDDSSRC, le squelette du panel ici dan QPNLSRC.

Remarque :

L’outil n’est pas parfait mais, il vous aide bien, si vous voulez contribuer, n’hésitez pas !

L’ajout des mots clés dans le DSPF ne change pas la commande de compile, ni les niveaux des formats dans lesquels vous ajoutez des aides.

La liaison est dynamique et si l’aide n’est pas trouvée, il n’y a pas de plantage donc pas de régression applicative, vous aurez « juste » le message suivant :

Ça peut être intéressant quand vous faites de la maintenance d’ajouter des aides, et avec notre méthode c’est rapide, simple et efficace.

Merci à Julien et Yoann pour leur aide.

IA et développement IBMI

Vous avez tous entendu parler de l’IA et de Chat GPT ou Bard (Google).

Nous avons décidé de faire quelques tests.

Tout n’est pas parfait mais le résultat est parfois bluffant.

Sur Chat GPT, ici https://chat.openai.com/

Nous avons fait des tests sur du CLP

Exemple :

Résultat

Nous avons fait des tests du RPG

Exemple

Résultat

C’est plus décevant il génére en colonné mais sur les demandes simples ce n’est pas mal du tout

Je ne sais pas pourquoi, il met **FREE au début ??

Du coup nous lui avons également demandé de traduire du code RPGLE colonné vers FREE
sur les carte c ce n’est pas mal

Et Sur les DDS

Voici la réponse

Sur BARD ici https://bard.google.com/u/1/

Il ne connait visiblement pas l’Ibmi, il n’y a pas de résultat probant ?

Conclusion:

Tout n’est pas parfait, mais ça progresse et les logiciels apprennent rapidement.
Le conseil, il faut être précis, n’hésitez pas à le conseiller

A suivre …

, , , Exemple de panel liste

C’est une solution à base d’UIM qui permet de gérer des sous fichiers sans écran DDS, en utilisant un panel de groupe et des API pour le manipuler.

Toutes les commandes WRKXXX de votre IBMi sont codées avec cette solution.

Nous allons vous présenter un exemple pour les PF par exemple vous trouverez le code sur github ici https://github.com/Plberthoin/PLB/tree/master/WRKPF

Cet article est inspiré à l’origine d’un article de mcpressonline, j’ai remis le RPG à jour

Vous devrez avoir un PNLGRP avec la structure suivante, pour indiquer les listes

:PNLGRP.

:CLASS.
:ECLASS.

:VAR.

:VARRCD.

:LISTDEF.

:KEYL.
:KEYI.
:EKEYL.

:PANEL.
.
.
:LIST.

:LISTACT.
:LISTCOL.
:LISTVIEW.
.
.
.
:ELIST.
.
:CMDLINE.
.
:EPANEL.
.
.
.
:HELP.
.
.
.
:EHELP.

:EPNLGRP.

Vous aurez un programme ici en RPG qui va utiliser les API suivantes :

Api Utilisation

QUIOPNDA Ouverture du panel création du Handle
QUIPUTV Renseignement variable
QUIADDLE Ecriture d’un poste dans la liste
QUIDSPP Affichage du panel
QUIDLTL Suppression du contenu de la liste
QUICLOA Fermeture du panel

Rappel, vous pouvez chercher les APIs disponibles sur votre IBMi avec API-FINDER disponible

ici https://www.ibm.com/docs/en/i/7.5?topic=interfaces-api-finder

Conclusion

C’est une solution standard qui ne nécessite pas de DSPF, mais qui nécessite de connaitre un peu le langage UIM.
Avec un squelette de PNL et de programme on peut créer des outils WRKXXX rapidement, idéal pour les outils d’administration par exemple

, , Traiter les membres d’un fichier

Vous avez parfois besoin de traiter tous les membres d’un fichier, par exemple pour analyser des sources ou des logs

Vous avez principalement 3 manières de le faire :

1) La manière historique par les fichiers modèles

C’est des fichiers qui sont dans qsys qu’on duplique et remplie le plus souvent avec le paramètre OUTFILE() de différentes commandes

dans un programme CLLE

DCLF FILE(QSYS/QAFDMBRL)

DSPFD FILE(LIB/file) TYPE(MBRLIST) OUTPUT(OUTFILE) OUTFILE(QTEMP/WAFDMBRL)
OUTMBR(*FIRST *ADD)

OVRDBF FILE(QAFDMBRL) TOFILE(QTEMP/WAFDMBRL)

RCVF

Votre traitement ici
DLTOVR FILE(QAFDMBRL)

2) En utilisant les services SQL

QSYS2.SYSPARTITIONSTAT

En sélectionnant la bibliothèque et le fichier, vous pouvez soit utiliser le résultat dans un programme CLLE.
Ou directement dans un select avec la fonctions SQL QCMDEXC

3) Sans générer de fichier

Cette méthode est moins connue, mais elle permet de traiter tous les membres d’un fichier sans générer de fichier intermédiaire

Vous allez avoir un programme CLLE, qui aura cette logique

Vous allez récupérer le premier membre
RTVMBRD FILE(LIB/FIL) MBR(*FIRSTMBR) RTNMBR(&MBR)
MONMSG MSGID(CPF0000) EXEC(do)
ENDDO

Vous allez ensuite boucler sur les suivants
RTVMBRD FILE(LIB/&FIL) MBR(&MBR *NEXT) RTNMBR(&MBR)
MONMSG MSGID(CPF3049) EXEC(leave)

Vous allez ainsi lire tous vos membres de votre fichier.

Vous pouvez également utiliser cette méthode pour traiter des membres de transfert qui arriveraient dans votre fichier.

Conclusion :

Vous avez 3 solutions pour les traiter les membres d’un fichier, à vous de choisir la méthode la plus adapter à votre traitement

, , RETROUVER UNE ADRESSE GRACE AUX API

Préambule

Cet article est une suite à l’article de Pierre-Louis BERTHOIN qui présente les fonctions géospatiales intégrées à DB2.

Choix de l’API

Sur le site https://adresse.data.gouv.fr/ En cliquant sur l’item « Outils et API », on accède librement à la documentation des API en rapport avec les adresses. Nous choisissons donc celle sobrement intitulée « API Adresse ». La documentation montre différentes manières d’utiliser cette API. Le retour est un geojson FeatureCollection respectant la spec GeoCodeJSON.

Récupération et manipulation des données

But du programme

Nous allons réaliser un programme qui permettra, en écrivant partiellement une adresse, de récupérer une adresse complète d’après une liste déroulante de 50 occurrences.

Nous choisirons pour notre programme une interrogation relativement simple et nous n’extrairons qu’une partie des données du geojson.

Nous écrirons les adresses dans un fichier, sous forme d’une fiche client contenant les éléments suivants :

  • Identifiant (integer auto incrémenté)
  • Raison Sociale (varchar)
  • Adresse (varchar)
  • Code Postal (varchar)
  • Ville (varchar)
  • Coordonnées géographiques (ST_POINT)

Préparation du fichier

create table GGEOLOC.MESCLIENTS
(ID int GENERATED ALWAYS AS IDENTITY (
START WITH 1 INCREMENT BY 1 
NO MINVALUE NO MAXVALUE     
NO CYCLE NO ORDER           
CACHE 20 ),
RAISOC varchar(64),
ADRESSE varchar(128),
CODEPOS varchar(16),
VILLE varchar(64),
COORDGEO QSYS2.ST_POINT);

Programme de saisie

**free
  ctl-opt dftactgrp(*no) ;

  // Fichiers
  dcl-f FORMCLIE workstn indds(DS_Ind) usropn;

  // Procédures
  dcl-pr  Touche_F4 EXTPGM('TOUCHE_F4');
    p_Sql char(1024) ;
    p_Titre char(35);
    p_Ret    char(116);
  end-pr;

  // Variables
  dcl-s reqSqlDelete varchar(2000);
  dcl-s reqSqlCreate varchar(2000);
  dcl-s reqSqlDrop   varchar(2000);

  dcl-s coordonees varchar(64) ;
  dcl-s queryapi varchar(64);
  dcl-s httpText varchar(256);

  dcl-s pIndicators Pointer Inz(%Addr(*In));


  // Pour F4 : liste des fichiers
  dcl-s w_Sql   char(1024) ;
  dcl-s w_Titre  char(35);
  dcl-s w_Ret    char(116);

  // DS Informations Programme
  dcl-ds *N PSDS;
    nom_du_pgm CHAR(10) POS(1);
    nom_du_prf CHAR(10) POS(358);
  end-ds;

  // Déclaration des indicateurs de l'écran
  Dcl-DS DS_Ind based(pIndicators);
    Ind_Sortie                        ind pos(3);
    Ind_Liste                         ind pos(4);
    Ind_Annuler                       ind pos(12);
    Ind_Valider                       ind pos(17);
    Ind_SFLCLR                        ind pos(40);
    Ind_SFLDSP                        ind pos(41);
    Ind_SFLDSPCTL                     ind pos(42);
    Ind_SFLEnd                        ind pos(43);
    Ind_DisplayCoord                  ind pos(80);
    Ind_RaisonS                       ind pos(81);
    Ind_5Lettres                      ind pos(82);
    Ind_CodePos                       ind pos(84);
    Ind_Ville                         ind pos(85);
    Indicators char(99)               pos(1);
  End-DS;

  // Paramètres en entrée
  dcl-pi *N;
  end-pi;

// SQL options --------------------------------------------- //
   Exec SQL
      Set Option
          Naming=*Sys,
          Commit=*None,
          UsrPrf=*User,
          DynUsrPrf=*User,
          Datfmt=*iso,
          CloSqlCsr=*EndMod;

//‚--------------------------------------------------------- //
// Contrôle taille écran
Monitor;
  Open FORMCLIE;
  On-Error;
    Dsply 'Nécessite un écran 27 * 132';
    *inlr=*on;
  Return;
EndMon;


  Dou Ind_Sortie or Ind_Annuler;

    znompgm = nom_du_pgm;
    znomprf = nom_du_prf;

    Exfmt FMT01;

    select ;
      when Ind_Sortie ;
        leave;
      when Ind_Annuler;
        leave;
      when Ind_Liste;
       if %len(%trim(zadresse)) <= 4 ;
         Ind_5Lettres = *on;
         iter;
       endif;
       traitementListe();
      when Ind_Valider;
       if zraisoc = *blanks;
         Ind_RaisonS = *on ;
       endif;
       if zcodpos = *blanks;
         Ind_CodePos= *on ;
       endif;
       if zville = *blanks;
         Ind_Ville = *on ;
       endif;
       if %subst(indicators:81:4) <> '0000';
         iter ;
       endif;

       Exec SQL
         insert into MESCLIENTS (RAISOC, ADRESSE, CODEPOS, VILLE, COORDGEO)
           values (:zraisoc, :zadresse, :zcodpos, :zville,
           QSYS2.ST_POINT(:zlongit, :zlatit)) ;

       Ind_DisplayCoord = *off;
       clear FMT01;

    endsl ;

  Enddo;

  *inlr = *on;

  //======================================================================== //
  // Procédures                                                              //
  //======================================================================== //

  //‚------------------------------------------------------------------------ //
  // Nom    : rechercheAdresse                                               //
  // But    : lister des adresses recueillies via une API                    //
  //          à partir d'une chaine de plus de 4 caractères                  //
  // Retour : N/A                                                            //
  //‚------------------------------------------------------------------------ //
  dcl-proc rechercheAdresse ;
    dcl-pi *n ;
      l_httpText varchar(256) value;
    end-pi;


    reqSqlDrop = 'drop table QTEMP/WADRESSE' ;
    Exec sql Execute immediate :reqSqlDrop ;

    reqSqlCreate = 'create table QTEMP/WADRESSE' +
       ' (address varchar(128), numero varchar(8), street varchar(128), ' +
       'postcode varchar(16), city varchar(64), coordinates blob)' ;
    Exec sql Execute immediate :reqSqlCreate ;

    reqSqlDelete = 'delete from QTEMP/WADRESSE' ;
    Exec sql Execute immediate :reqSqlDelete ;

    Exec sql
     insert into QTEMP/WADRESSE
     (select ltrim(ifnull(numero, '') || ' ' ||
             coalesce(street, locality, '') || ' ' ||
             postcode || ' ' || city),
             ifnull(numero, ''), coalesce(street, locality, ''),
             postcode,
             city,
             QSYS2.ST_POINT(longitude, latitude)
       from json_table(QSYS2.HTTP_GET(:l_httpText, ''), '$.features[*]'
        COLUMNS
        (numero varchar(8) PATH '$.properties.housenumber',
        street varchar(128) PATH '$.properties.street',
        locality varchar(128) PATH '$.properties.locality',
        name varchar(128) PATH '$.properties.name',
        municipality varchar(128) PATH '$.properties.municipality',
        postcode varchar(8) PATH '$.properties.postcode',
        city varchar(64) PATH '$.properties.city',
        longitude float PATH '$.geometry.coordinates[0]',
        latitude float PATH '$.geometry.coordinates[1]'))
        );

  end-proc ;

  //‚------------------------------------------------------------------------ //
  // Nom    : traitementListe                                                //
  // But    : Affichage d'une liste de 50 adresses maximum                   //
  // Retour : N/A                                                            //
  //‚------------------------------------------------------------------------ //
  dcl-proc traitementListe ;

    queryapi = %scanrpl(' ':'+':%trim(zadresse)) ;
    httpText ='https://api-adresse.data.gouv.fr/search/?q=' +
              queryapi + '&limit=50' ;
    rechercheAdresse(httpText);
    clear w_ret ;
    w_sql =
      'select address from QTEMP/WADRESSE' ;

    w_titre = 'Adresses proposées';

    touche_f4(W_Sql: W_titre : w_ret) ;
    if (w_ret  <> ' ') ;
      clear zadresse;
      clear zcodpos;
      clear zville;

      Exec SQL
        select
          ltrim(ifnull(numero, '') || ' ' || street), postcode, city,
          REPLACE(
             REPLACE(QSYS2.ST_asText(COORDINATES), 'POINT (', ''), ')', '')
            into :zadresse, :zcodpos, :zville, :coordonees
          from QTEMP.WADRESSE
          where address = :w_ret ;

      if sqlcode = 0 ;
        Ind_DisplayCoord = *on ;
        zlongit = %dec(%subst(coordonees: 1 : %scan(' ':coordonees)):15:12) ;
        zlatit =  %dec(%subst(coordonees: %scan(' ':coordonees) + 1
                        : %len(%trim(coordonees)) - %scan(' ':coordonees)):15:12) ;
      endif;

    endif ;

  end-proc ; 

Quelques explications sur les fonctions SQL utilisées

Tout d’abord nous choisissons de ne pas utiliser la propriété « label » proposée par l’API Adresse. En effet, si celle-ci semble pratique de prime abord, elle n’est pas toujours significative (voir photo du milieu qui où elle ne contient que le nom de la municipalité)

Nous, préférerons donc reconstituer cette adresse en concaténant des zones que l’on retrouve dans chaque occurrence du fichier JSON.

QSYS2.ST_POINT : Cette fonction est utilisée lors de la collecte des données fournie par l’API Adresse.

Elle permet de transformer les coordonnées longitude, latitude en une variable de type BLOB qui représente un point précis et qui est utilisable par les fonctions Géospatiales du SQL.

QSYS2.ST_ASTEXT : Cette fonction permet de transformer un champ géométrique (ST_POINT, ST_LINESTRING, ST_POLYGON, …) en un champ WKT (well-known-text) qui nous sera plus compréhensible.

Cinématique du programme

Ce programme est un simple écran qui nous permet la saisie d’un formulaire avec la possibilité de rechercher ou compléter une adresse en utilisant la touche F4 (la fonction externe appelée n’est pas décrite dans cet article). Une fois le formulaire validé, on l’efface.

Tout d’abord on commence à remplir le formulaire mais on ne connait pas précisément l’adresse.

Donc, après avoir tapé un morceau d’adresse on presse F4

On valide, le formulaire est alors complétement rempli

On presse F17 pour valider celui-ci (et réinitialiser l’écran).

Vérification des données enregistrées

Version BLOB

Version WKT (well-known-text)

Conclusion

Nous avons montré ici un exemple simple de l’utilisation d’une API couplée avec les fonctions géospatiales proposées par IBM. Il est possible d’envisager des requêtes plus complexes incluant le code postal, la ville ou encore le type de donnée (rue, lieu-dit ou municipalité). On peut aussi envisager des requêtes d’après les coordonnées géographiques pour retrouver une adresse. Le champ des possibles, comme le monde, est vaste …

Dans la dernière TR est apparue une nouveauté très intéressante « API RSE », c’est un ensemble d’API REST fournies avec votre système d’exploitation au travers du serveur ADMIN5.


Ces APIs sont utilisables depuis le web et permettent de lancer des commandes, accéder à l’IFS, de lancer de requêtes SQL…

Ce service ne fonctionne qu’en TLS vous devrez donc le sécuriser par l’administration http ://Votre_systeme:2001/HTTPAdmin

Vous devez ensuite le démarrer s’il ne l’est pas c’est le serveur ADMIN5

==>STRTCPSVR SERVER(*IAS) INSTANCE(admin5)

Ce serveur tourne par défaut sur le port 2012

https://Votre_systeme:2012/openapi/ui/

Vous devrez vous authentifiez pour commencer utilisez un user et un mot de passe ibmi, vous cliquez sur authorize

Nous allons tester une commnde CL

Vous cliquez sur try input

Vous avez un flux json avec vos commandes IBMI à l’intérieur vous cliquez sur execute

Vous avez alors le résultat

A noter que vous avez le lien, en haut pour l’intégrer dans vos applications

Conclusion
C’est gratuit c’est technologies actuelles, testez les possibilités de ce service

Pour en savoir plus


la pause café de volubis ici : https://www.volubis.fr/Pausecaf/PAUSECAF91.html

le site IBM : https://www.ibm.com/support/pages/node/6982701